RevendiquerVisite guidĂ©e : LĂ©gendes de Mortain : promenons-nous dans les bois Si vous ĂȘtes en charge de Visite guidĂ©e : LĂ©gendes de Mortain : promenons-nous dans les bois crĂ©ez gratuitement un compte sur ville-data. Vous pourrez gĂ©rer directement cette page. En amĂ©liorer le contenu, ĂȘtre informĂ© et rĂ©pondre aux avis. Recevoir

Promenons-nous dans les bois Chargement dans 10... Merci de patienter les enfants ;-[x] Passer la pub AUTRES COMPTINES POUR ENFANTS 04/04/2011 - Tel un véritable karaoké pour enfants, suivez les paroles de "Promenons-nous dans les bois" directement en regardant et en écoutant la vidéo de cette comptine " Promenons-nous dans les bois Pendant que le loup n'y est pas. Si le loup y était Il nous mangerait Mais comme il n'y est pas, Il nous mangera pas. Loup y es-tu ? Entends-tu ? Que fais-tu ? Je mets ma culotte. Je mets mes chaussettes Je prends mon fusil et jarrive."
Promenonsnous dans les bois Domaine : Langage oral : lexique, vĂȘtements, structure rĂ©pĂ©titive, forme interrogative Temps : simultanĂ©itĂ© Espace, math : positions relatives (sur, dans, plus tard, Ă  cotĂ©) Langage Ă©crit : crĂ©ation d’un livre avec des actions simples ; je me douche, je me lave illustrations Ă  crĂ©er. ï»żPromenons nous dans les bois comptine avec paroles Promenons-nous dans les bois paroles Promenons-nous dans les bois Pendant que le loup n’y est pas Si le loup y Ă©tait Il nous mangerait Mais comme il n’y est pas Il nous mangera pas Loup y es-tu ? Entends-tu ? Que fais-tu ? Le loup – Je mets ma culotte ! Promenons-nous dans les bois Pendant que le loup n’y est pas Si le loup y Ă©tait Il nous mangerait Mais comme il n’y est pas Il nous mangera pas Loup y es-tu ? Entends-tu ? Que fais-tu ? Le loup – Je mets mes chaussettes ! Promenons-nous dans les bois Pendant que le loup n’y est pas Si le loup y Ă©tait Il nous mangerait Mais comme il n’y est pas Il nous mangera pas Loup y es-tu ? Entends-tu ? Que fais-tu ? Le loup – Je mets ma chemise ! Promenons-nous dans les bois Pendant que le loup n’y est pas Si le loup y Ă©tait Il nous mangerait Mais comme il n’y est pas Il nous mangera pas Loup y es-tu ? Entends-tu ? Que fais-tu ? Le loup – Je vais vous manger !!!! plouf ! Achetez le livre de la comptine Le livre de la comptine Le livre de la comptine est disponible dans toutes les librairies sous le titre Si le loup y Ă©tait », Ă©ditions Milan. Trouvez-le dans une librairie Ă  cĂŽtĂ© de chez vous ou sinon en ligne sur Fnac ou sur amazon TĂ©lĂ©chargez les paroles de la comptine Imprimez les paroles de la comptine pour maternelles en cliquant sur l’image ci-dessous Les comptines s’exposent Si le loup y Ă©tait et les comptines de la rĂ©crĂ© des ptits loups vous plaisent ? Vous avez une mĂ©diathĂšque, une crĂšche, une bibliothĂšque dĂ©partementale ou un autre type de structures et vous voulez organiser une exposition interactive Ă  destination du trĂšs jeune public ? Nous venons de crĂ©er une exposition interactive pour les tout-petits sur le thĂšme des comptines dont vous trouverez le descriptif en cliquant ici. N’hĂ©sitez pas Ă  passer par la rubrique contact si vous souhaitez des prĂ©cisions sur le contenu ou la disponibilitĂ© de notre exposition comptines pour tout-petits. Illustration de Philippe Jalbert Retrouvez les plus belles comptines pour bĂ©bĂ©s, crĂšches et maternelles en cliquant ici ! SortieCulturelle Consultez les Horaires Avis sur cette Sortie Culturelle Mortain Visite GuidĂ©e : LĂ©gendes De Mortain : Promenons-nous Dans Les Bois Ajouter un lieu sur libre et c'est complĂštement gratuit ! Promenons-nous dans le bois, pendant que le loup n’y est pas
 Cette chanson vous rappelle des souvenirs? Probablement. Elle reprĂ©sente un classique de notre jeunesse, des jeux en famille et un rapprochement de la nature. Eh oui, une simple chanson fait revenir quelques bons souvenirs. Je vous propose ici de crĂ©er des souvenirs pour vos enfants, de les rapprocher de la nature et de leur faire vivre, peut-ĂȘtre, une expĂ©rience nouvelle. La nature propose toujours de multiples facettes, de multiples possibilitĂ©s qu’il nous faut saisir. Une promenade dans le bois est toujours agrĂ©able avec les enfants, mis Ă  part les quelques moustiques qui nous dĂ©vorent dĂ©pendamment des rĂ©gions. Plus jeunes et moins jeunes, tous peuvent partir en excursion dans le bois en famille. Que ce soit dans la forĂȘt derriĂšre chez vous ou dans des sentiers pĂ©destres sur une base de plein air par exemple, certaines rĂšgles de sĂ©curitĂ© doivent ĂȘtre appliquĂ©es pour Ă©viter que cette activitĂ© tourne au dĂ©sastre. Informez-vous de votre trajet. Si vous ĂȘtes dans la forĂȘt derriĂšre chez vous, vous le connaissez probablement. Par contre, si vous essayez un nouveau trajet, soyez prudents et Ă©tudiez la carte du trajet. Informez quelqu’un de votre dĂ©part un ami, un voisin ou encore inscrivez un mot sur la porte de votre maison. De cette façon, si vous vous perdez ou s’il vous arrive quelque chose, quelqu’un saura que vous ĂȘtes partis en excursion en forĂȘt. Ils sauront alors oĂč vous retrouver. Si vous pensez partir pendant quelques heures, prĂ©voyez un sac de survie comprenant une carte du sentier, une lampe de poche, une gourde d’eau, de la nourriture, des allumettes, des vĂȘtements chauds, un impermĂ©able, un sac de poubelle orange pour faire un abri ou pour vous vĂȘtir, une lotion chasse-moustiques, de la crĂšme solaire et des pansements. Cette trousse sera utile si vous vous perdez, mais aussi au cas oĂč un enfant se blesse ou a soif et, bien sĂ»r, pour Ă©loigner les moustiques. Apportez votre tĂ©lĂ©phone cellulaire, si vous en avez un. Éteignez-le pour profiter pleinement du calme de la forĂȘt, mais il sera bien utile si vous vous perdez ou si vous vous blessez. Avant de partir VĂ©rifiez la mĂ©tĂ©o. Organisez votre sac. Planifiez votre excursion. Pendant votre promenade Avec les enfants, ramassez des cailloux, des feuilles, des fleurs que vous pourrez faire sĂ©cher pour faire un bricolage. Prenez des photos pour pouvoir crĂ©er un album pour les enfants. Faites un petit piquenique. Prenez le temps d’arrĂȘter quelques minutes avec les enfants pour dĂ©guster un bon lunch. Pour les enfants plus jeunes, prĂ©voyez un mode de transport. Les enfants peuvent se fatiguer en marchant. Ayez un porte-bĂ©bĂ© pour les plus petits et un chariot pour les plus grands. DĂ©pendamment de l’état du sol, une poussette pourrait aussi convenir. MĂȘme si les enfants ne veulent pas s’assoir, la poussette pourra au moins transporter les bagages. Amusez-vous Ă  marquer votre chemin. Avant l’excursion, peignez des cailloux avec les enfants. Les enfants pourront dĂ©poser des cailloux colorĂ©s tout au long de leur route. Ils trouveront cela bien amusant de les ramasser au retour. Surtout, AMUSEZ-VOUS! Laissez tomber votre chapeau du policier des rĂšgles. Maintenez les rĂšgles de sĂ©curitĂ©, mais laissez les enfants s’amuser avec un peu de libertĂ©. Riez, prenez le temps d’explorer et de regarder ce qui vous entoure avec eux et de leur faire dĂ©couvrir de nouvelles choses. Cela vous donnera droit Ă  des moments simples et agrĂ©ables qui crĂ©eront de merveilleux souvenirs pour vos enfants. Plus tard, ils vous diront peut-ĂȘtre Te souviens-tu papa/maman, quand nous allions nous promener dans le bois? » Maude DubĂ©, Éducatrice spĂ©cialisĂ©e* n'est aucunement responsable du contenu de cet article. Toutes les informations mentionnĂ©es sont la responsabilitĂ© de son auteur et se dĂ©gage de toute responsabilitĂ© ou de tout litige dĂ©coulant de l'affichage dudit article.
LACOMPTINE revisitée par les Titounis : Promenons-nous dans les bois Prom'nons-nous dans les bois Pendant que le loup n'y est pas Si le loup y était Il nous mangerait, Mais comme il n'y est pas Il nous mang'ra pas. Loup y es-tu ? Que fais-tu ? Entends-tu ? Loup: \"Je mets ma chemise.\" Refrain Loup: \"Je mets ma culotte.\" Refrain

Promenons-nous dans les bois Pendant que le loup n'y est pas Si le loup y était Il nous mangerait Mais comme il n'y est pas Il nous mangera pas Loup y es-tu ? Entends-tu ? Que fais-tu ?

Promenonsnous dans les bois Pour cette danse vous pouvez selon vos Ă©lĂšves choisir de la danser en tresse ou non. A chaque question ou rĂ©ponse du loup le cortĂšge se retourne pour repartir au « promenons-nous » suivant dans le sens inverse (en rĂ©fĂ©rence au couplet prĂ©cĂ©dent). Temps Formations Façons de se tenir Trajets et mouvements Pas pour la danse Position de Sur le mĂȘme sujet Comptines de Toupie Il court, il court, le furet Il court, il court, le furet ! Mais oĂč est-il donc passĂ© ? Et si vous chantiez cette jolie comptine en karaokĂ© avec votre petit loup ? Les comptines de Toupie Le bon roi Dagobert, Il Ă©tait un petit navire, Dame Tarine, Il court il court le furet
 chantez toutes ces jolies comptines en karaokĂ© avec votre tout-petit ! Les... Comptines Les comptines de Pinpin et Lili Promenons-nous dans les bois Promenons-nous dans les bois, pendant que le loup n'y est pas. Si le loup y Ă©tait
 » voilĂ  une comptine que les tout-petits adorent ! Allez, on frissonne un peu avec... Pinpin et Lili 6 bricolages rigolos de paniers de PĂąques Pour partir Ă  la chasse aux Ɠufs, mieux vaut ĂȘtre Ă©quipĂ© d'un bon et assez grand panier
 encore mieux, un panier customisĂ© PĂąques rĂ©alisĂ© avec ses petites mains.... bricolages PĂąques Bricolages de PĂąques Un, deux, trois petits lutins Petit Papa NoĂ«l, Vive le vent, Mon beau sapin
 votre tout-petit adore ces comptines qui lui parlent de NoĂ«l. Vous avez oubliĂ© les paroles ? Retrouvez-les ! A entonner... Pour aller plus loin Les comptines de Pinpin et Lili J'ai perdu le do de ma clarinette En avant la musique ! Avec cette comptine, votre petit mĂ©lomane va pouvoir chanter et apprendre les notes de musique avec nos mascottes Pinpin et Lili. Les comptines de Pinpin et Lili Rock and roll des gallinacĂ©s VoilĂ  une chanson cĂ©lĂšbre qui donne envie de se dandiner
 c'est parti pour le rock des gallinacĂ©s en compagnie des poules, des dindons et des oies, mais surtout des... Les comptines de Pinpin et Lili Ah, mon beau chĂąteau Qui a le plus beau chĂąteau ? Tiens voilĂ  qui nous rappelle certaines disputes pour moins que ça... On regarde vite cette comptine des mascottes Pinpin et Lili ! Les chansons de Pinpin et Lili Au clair de la Lune "Au clair de la lune, mon ami Pierrot... PrĂȘte-moi ta plume, pour Ă©crire un mot..." En compagnie des petits lapins Pinpin et Lili, quel bonheur pour votre tout-petit... Pinpin et Lili Les comptines de Pinpin et Lili Sur le pont d’Avignon On y fait quoi sur le pont d’Avignon ? On y danse, bien sĂ»r, mais surtout on y chante en chƓur avec cette comptine en vidĂ©o spĂ©cial tout-petits en compagnie des... Pinpin et Lili
Dansla salle de motricitĂ©, nous avons jouĂ© au Loup. Promenons-nous dans les bois Pendant que le loup n’y est pas Si le loup y Ă©tait Il () Ecole maternelle de CouhĂ©. Rechercher : Rechercher dans le site. Accueil du site > Des activitĂ©s dans la classe de TPS-PS > Nos activitĂ©s >Promenons-nous dans les bois Promenons-nous dans les bois samedi 1er octobre 2016 par Ecole
Promenons Nous Dans Les Bois Maternelle Promenons Nous Dans Les Bois A Green Mouse Shazam. Promenons nous dans les bois + 36 min de chansons pour les petites heykids spotify . La célÚbre comptine promenons nous dans les bois. Plus de chants et berceuses avec paroles pour . Voir plus d'idées sur le thÚme loup, album maternelle, . Comptine promenons nous dans les bois toujours avec le loup , en ce moment ma petite b aime beaucoup surtout la chanson qui tourne en boucle . Plus de chants et berceuses avec paroles pour . Comptine promenons nous dans les bois toujours avec le loup , en ce moment ma petite b aime beaucoup surtout la chanson qui tourne en boucle . La célÚbre comptine promenons nous dans les bois. Les plus belles comptines pour bébé avec animation 3d Voir plus d'idées sur le thÚme loup, album maternelle, . Promenons Nous Dans Les Bois La Comptine En Video Les plus belles comptines pour bébé avec animation 3d Promenons nous dans les bois + 36 min de chansons pour les petites heykids spotify . Voir plus d'idées sur le thÚme loup, album maternelle, . Comptine promenons nous dans les bois toujours avec le loup , en ce moment ma petite b aime beaucoup surtout la chanson qui tourne en boucle . La célÚbre comptine promenons nous dans les bois. Plus de chants et berceuses avec paroles pour . Promenons nous dans les bois + 36 min de chansons pour les petites heykids spotify . Promenons nous dans les bois + 36 min de chansons pour les petites heykids spotify . Voir plus d'idées sur le thÚme loup, album maternelle, . Comptine promenons nous dans les bois toujours avec le loup , en ce moment ma petite b aime beaucoup surtout la chanson qui tourne en boucle . Plus de chants et berceuses avec paroles pour . Les plus belles comptines pour bébé avec animation 3d La célÚbre comptine promenons nous dans les bois. La célÚbre comptine promenons nous dans les bois. Promenons nous dans les bois + 36 min de chansons pour les petites heykids spotify . Comptine promenons nous dans les bois toujours avec le loup , en ce moment ma petite b aime beaucoup surtout la chanson qui tourne en boucle . Voir plus d'idées sur le thÚme loup, album maternelle, . Plus de chants et berceuses avec paroles pour . La Farandole Bienvenue Sur Le Site De L Association Des Assistantes Maternelles Agra C A C Es Du Secteur D Altkirch Comptine promenons nous dans les bois toujours avec le loup , en ce moment ma petite b aime beaucoup surtout la chanson qui tourne en boucle . Les plus belles comptines pour bébé avec animation 3d Promenons nous dans les bois + 36 min de chansons pour les petites heykids spotify . Voir plus d'idées sur le thÚme loup, album maternelle, . Plus de chants et berceuses avec paroles pour . La célÚbre comptine promenons nous dans les bois. Plus de chants et berceuses avec paroles pour . Plus de chants et berceuses avec paroles pour . Promenons nous dans les bois + 36 min de chansons pour les petites heykids spotify . Comptine promenons nous dans les bois toujours avec le loup , en ce moment ma petite b aime beaucoup surtout la chanson qui tourne en boucle . Les plus belles comptines pour bébé avec animation 3d Voir plus d'idées sur le thÚme loup, album maternelle, . La célÚbre comptine promenons nous dans les bois. Plus de chants et berceuses avec paroles pour . Promenons nous dans les bois + 36 min de chansons pour les petites heykids spotify . Les plus belles comptines pour bébé avec animation 3d Voir plus d'idées sur le thÚme loup, album maternelle, . Comptine promenons nous dans les bois toujours avec le loup , en ce moment ma petite b aime beaucoup surtout la chanson qui tourne en boucle . Atelier Lud Eveil Promenons Nous Dans Les Bois Au Bois Des Ludes Les plus belles comptines pour bébé avec animation 3d La célÚbre comptine promenons nous dans les bois. Plus de chants et berceuses avec paroles pour . Comptine promenons nous dans les bois toujours avec le loup , en ce moment ma petite b aime beaucoup surtout la chanson qui tourne en boucle . Promenons nous dans les bois + 36 min de chansons pour les petites heykids spotify . Voir plus d'idées sur le thÚme loup, album maternelle, . La célÚbre comptine promenons nous dans les bois. Les plus belles comptines pour bébé avec animation 3d Plus de chants et berceuses avec paroles pour . La célÚbre comptine promenons nous dans les bois. Promenons nous dans les bois + 36 min de chansons pour les petites heykids spotify . Voir plus d'idées sur le thÚme loup, album maternelle, . Comptine promenons nous dans les bois toujours avec le loup , en ce moment ma petite b aime beaucoup surtout la chanson qui tourne en boucle .
Traductionsen contexte de "les bois" en anglais-français avec Reverso Context : Before we head back to Saignelégier in Les Bois, we recommend a detour south of Les Breuleux via the "Jura Bike" route to Mont-Soleil with its countless windmills.

nathalie baye et johnny rupture PubliĂ© le 5 juin 2022 VidĂ©o recommandĂ©e par un internaute si disponible Texte lu 18142 fois ! Voir plus d'idĂ©es sur le thĂšme comptine maternelle, comptines, chansons maternelle. accepter le manque psychanalyse; plan courbevoie transport; . Y'a des coin », y'a des coin ». Comptines animaux de la ferme La mĂšre Michel La danse des canards Une souris verte Coucou Hibou Ah les crocodiles Nous n'irons plus au bois Il pleut bergĂšre Il court, il court, le furet La ferme Ă  Mathurin Coccinelle, demoiselle Alouette Trois petits chats Dans sa maison un grand cerf La Licorne et les Gros Crocodiles * RĂ©sumĂ© Des comptines pour bien articuler, des comptines pour rĂ©pĂ©ter des sons, des comptines pour travailler des structures de phrases, des comptines pour Ă©crire
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 Qu'il Ă©tait fort, qu'il Ă©tait beau. Comptine vive le vent. Chansons par thĂšme > Comptines La rubrique Comptines. Petit train. super top. Paroles Il Ă©tait un petit homme pirouette cacahuĂšte Paroles Malbrough s'en va-t-en guerre. doucement s' en va le jour paroles chanson; risotto lait de coco poulet; how to sell a horse in equestrian the game. Comptines. Je mets mon chapeau. Souris, souris, Un chat, Un petit lait sucrĂ©. Cliquez sur les bulles chaque lien donne accĂšs Ă  une sĂ©rie de comptines sur . C'est bientĂŽt l'heure des mamans C'est demain jeudi C'est l'automne C'est l'Ă©tĂ© trois petits moustiques C'est l'heure de faire dodo C'est l'hiver C'est la cloche du vieux manoir C'est la fĂȘte des mamans C'est la mĂšre Michel C'est la nuit de NoĂ«l C'est la poule C'est la rentrĂ©e C'est le criquet Bon, ok, je n'ai mĂȘme pas eu besoin de le leur apprendre, les grands frĂšres et grandes sƓurs s'en Ă©taient dĂ©jĂ  chargĂ©. Y'a des coin coin coin, coin ». surtout que certains connaissent dĂ©jĂ  la chanson le pont d'Avignon ». elle,elle,elle. Paroles de la comptine Monsieur Pouce va Ă  l'Ă©cole . A la volette TELECHARGER LE PDF. La comptine est dans un premier temps affichĂ©e dans le coin rĂ©union de la classe. 18 janv. En voici les paroles Les paroles de la chanson l'araignĂ©e gipsy !. Sur les bords du Nil ils sont partis n'en parlons plus. ComplĂ©ment Du Verbe Leçon, Alençon Lancrel Vente Maison, Pensionnat Catholique AbandonnĂ© Herault, RĂȘver D'un Mort Qui Revient Ă  La Vie, Asos Models Names 2020, Kidnapped Laura Kucera Brian Anderson Pictures, Conducir Moto 125 En Francia, Biblical References In Robinson Crusoe, Objectif Canon Eos Occasion, Au jardin de ma grand-mĂšre. ALBUM. . La politesse - chanson pour les enfants Tweet. . Tous les bƓufs, tous les bƓufs. Maternelle de Bambou Auteur de l'article 26 novembre 2019 Ă  2314. Paroles A la volette. Ă©couter ici la mĂ©lodie. Paroles Snowflake. Liste alphabĂ©tique de chansons et comptines de notre enfance Ă  retrouver pour les apprendre Ă  votre enfant. Chers parents et enfants, Voici un petit florilĂšge des chants et comptines mĂ©morisĂ©s et interprĂ©tĂ©s en classe de Moyenne section cette annĂ©e. Little Snowflake Kids Songs Super Simple Songs. Accueil. 1/ Je distribue les images illustrant chaque comptine ; les Ă©lĂšves doivent retrouver de quelles comptines il s'agit. Voici deux crĂ©ations en attendant qu'une troisiĂšme mĂ»risse. Hey! appelle moi casanova t'es la plus belle; oh ma jolie sarah partition pdf Comptines maternelle. Accueil. Mais la vache, mais la vache. Il lui faut un p'tit coeur de salade. Today. maternelle chanson africainecomment reconnaitre makita pro. 2021 - Explorez le tableau chansons maternelle » de Isabelle Charriau, auquel 509 utilisateurs de Pinterest sont abonnĂ©s. elle,elle,elle. Comptine pour enfants maternelle cycle 2 sur le thÚme d Paroles de la comptine l'araignĂ©e gipsy Mais le soleil a chassĂ© la pluie, L'araignĂ©e gipsy monte Ă  la gouttiĂšre, tiens voilĂ  la pluie, gipsy tombe par terre. Vous trouverez sur cette page les paroles de diffĂ©rentes chansons en format PDF. Comptine pour enfants maternelle cycle 2 sur le thÚme d Paroles de la comptine l'araignĂ©e gipsy Mais le soleil a chassĂ© la pluie, L'araignĂ©e gipsy monte Ă  la gouttiĂšre, tiens voilĂ  la pluie, gipsy tombe par terre. 20 mai 2018 - DĂ©couvrez le tableau "Chansons maternelle" de GeneviĂšve Champagne sur Pinterest. Pinterest. Commandez ici! Kiki the Koala - An Adorable Adventure Toy that Unplugs Play. Beaucoup contiennent des clips audios mp3 et midi et la partition. 30 L'homme De Cro-Magnon 31 Ne pleure pas Jeannette 32 33 34 35 C'est Gugusse. Un peu hors sujet, mais adaptĂ©e elle aussi aux plus petits, je finirai par une poĂ©sie sur un . Ressources pour la classe dĂ©marches pour apprendre des comptines, formulettes et jeux de doigts http 5 Archiver Les comptines, formulettes et jeux de doigts comme les chansons font l'objet d'une trace Ă©crite. PĂ©riode 1 -Pour apprendre Ă  Ă©couter -Pour dire le temps qu'il fait -Pour apprendre . Voici 6 comptines autour du printemps, des fleurs, les oeufs de PĂąques, la coccinelle, le papillon, le travail du jardinier mis en pages avec des fonds colorĂ©s.. Elles sont au format A5 soit 2 comptines par page A4. Voir plus d'idĂ©es sur le thĂšme comptines, chansons comptines, comptine maternelle. Paroles des comptines pour maternelles Ă  imprimer gratuitement J'aime la galette Si le loup y Ă©tait Si le loup n'y Ă©tait pas Si le loup revenait Paroles Ă  imprimer de la comptine pour maternelle Promenons-nous dans les bois Paroles Ă  imprimer de la comptine pour maternelle Une souris verte Paroles Ă  imprimer de la comptine Les crocodiles Une comptine originale pour attendre le pĂšre NoĂ«l Super Simple Songs - Kids Songs. Contact Vous trouverez les paroles de 200 comptines et berceuses traditionnelles Ă  dĂ©couvrir ou Ă  redĂ©couvrir en famille. La chanson est pourtant plus que probablement coquine, pleine d'allusions Ă©rotiques, et . Comptines et Chansons . Vous trouverez les paroles de 200 comptines et berceuses traditionnelles Ă  dĂ©couvrir ou Ă  redĂ©couvrir en famille. Si votre enfant est plus ĂągĂ©, vous pouvez imiter le furet et courir ensemble en chantant il court, il court ». Voir plus d'idĂ©es sur le thĂšme comptine maternelle, comptines, comptines enfants. La plupart incluent aussi une partition. Ressources maternelle - Mobiliser le langage dans toutes ses dimensions Partie - Lien oral-Ă©crit - Comptines formulettes et jeux de doigts http 8 Des comptines pour ‱ AmĂ©liorer la prononciation et l'articulation ‱ Commencer Ă  acquĂ©rir une conscience phonologique Comptines ou poĂ©sies de maternelle sur le froid et le rhume. 4 juil. J'ai un nom, un prĂ©nom. Notre site propose les paroles de comptines pour enfants, des musique de berceuse pour bebe, des chansons pour la martenelle, pour l'ecole. Voici deux crĂ©ations en attendant qu'une troisiĂšme mĂ»risse. La classe de MaĂźtre Guillaume et de Papouf. Y'a des coin » par-ci, y'a des coin » par-lĂ . OhĂ© du bateau. Commandez ici! 3ans rentreescolaire rentrĂ©e premiererentree rentreedesclasses . Les comptines permettent d'instaurer au quotidien des rituels, elles sont aussi l'occasion pour l'enfant de vivre au rythme des fĂȘtes et des saisons. Cela peut aider l'enfant Ă  choisir lui-mĂȘme une comptine/chanson, et ce dĂšs la toute petite section. » Demande Anastasia. Quant aux paroles, elles sont apparues dans Paris vers les annĂ©es 1790, et le succĂšs depuis ne s'est pas dĂ©menti, surtout chez les petits. Chacune comprend les paroles complĂštes dans sa langue originale et une traduction française. Paroles Alouette gentille alouette. Voici un recueil des paroles de quelques chansons et rimes qui s'accordent avec le thĂšme populaire de la petite enfance les dinosaures, et qui peuvent ĂȘtre utilisĂ©es lors de la planification d'activitĂ©s et de programmes pour les jeunes enfants en classe de maternelle par exemple. Chacune comprend les paroles complĂštes dans sa langue originale et une traduction française. comptine pour faire le silence en maternelletirade antigone texte. Recommander cette page Ă  un e ami e Commentaires sur cette comptine Le par jean-pierre. maternelle chanson africaine. le loup Je mets ma veste. Dans mon ciel,l'ombre et lumiĂšre se mĂšlent. problĂšmes familiaux synonyme; recrutement sans concours adjoint administratif ministĂšre de l'intĂ©rieur 2020 1 juil. Paroles originales et traduction française. Chansons comptines et poĂ©sies sur le thĂšme de l'Ă©tĂ© et des vacances en maternelle, comptines pour cĂ©lĂ©brer l'arrivĂ©e des vacances d'Ă©tĂ© en maternelle et en Ă©lĂ©mentaire, chansons comptines poĂ©sies Ă©tĂ© . Je vous propose une sĂ©rie de comptines pour les petits enfants de maternelle ou CP, pour rire des nez qui coulent et des Ă©ternuements. je n'ai jamais Ă©tait facile, toujours dĂ©terminer indocile, malgrĂšs mes silences et mon inpudence, elle devine mes souffrances. Y'a des centaines de canards, hiya hiya ho. Retrouvez les plus cĂ©lĂšbres comptines et chansons telles que " Promenons nous dans les bois ", " Il court, il court le furet ", " Une souris verte " etc. J'espĂšre que ça va plaire Ă  tes Ă©lĂšves ^^ 2021 - DĂ©couvrez le tableau "Comptines Maternelle" de Laetitia sur Pinterest. Voir plus d'idĂ©es sur le thĂšme comptines, comptine maternelle, chansons comptines. Je mets mes chaussettes. . Comptines pour la rentrĂ©e maternelle. Au Clair de la Lune comptine Hijo de la Luna MĂ©cano Ballade Ă  la . Super ! Paroles et partition Ă  imprimer pour les Ă©coles et pour les parents ! Petit macareux Comptine de Saint-Pierre et Miquelon La ballade du pĂȘcheur de truites Conte de Saint-Pierre et Miquelon Le phare, le caillou et l'oiseau Conte de Saint-Pierre et Miquelon Les puces de mer Conte de Saint-Pierre et Miquelon Tigre et tortue Conte de Guyane Jack, le petit ouistiti intelligent Conte de Guyane Le secret des anguilles aveugles du lac Lopolopo Conte de . Au clair de la lune TELECHARGER LE PDF. auxiliaire vĂ©tĂ©rinaire luxembourg salaire Les enfants 4 ans et demi et 20 mois ont vraiment adorĂ© le concert. Remi est trĂšs accessible et tout le monde participe ! C'est bientĂŽt la rentrĂ©e et je vous propose de commencer l'annĂ©e scolaire, par quelques petites notes de musique ! Mes premiĂšres chansons en dessins animĂ©s de comptines pour les enfants des Ă©coles maternelles avec vidĂ©os, illustrations, musiques et part. Super spectacle. A mimer, bien entendu ! Je mets mes lunettes. Une comptine de Corinne Albaut pour les plus jeunes " Les instruments de musique ". HygiĂšne - PropretĂ© - Chants - Comptines - Maternelle J'me lave les mains Air J'me brosse les dents Lave, lave, lave J'me lave les mains J'me lave les mains Avant d'manger Lave, lave, lave J'me lave les mains J'les lave trĂšs bien Pour qu'elles soient propres On va se laver les mains air de la ferme Ă  mathurin On va se laver les main hi y hi y ho On fait vite car on a faim hi. Vous dirai-je maman Fais dodo Colas mon p'tit frĂšre FrĂšre Jacques Maman les petits bateaux Comptines pour maternelles Il y a les paroles illustrĂ©es, et les bandes visuelles pour aider les enfants Ă  mĂ©moriser. 2/ Je distribue ensuite les paroles et les Ă©lĂšves doivent associer les images aux paroles, en cherchant des indices Ă©crits ils s'aident des rĂ©fĂ©rents de la classe. When the auto-complete results are available, use the up and down arrows to review and Enter to select. Coloriage Automne En Ligne Gratuit À Imprimer pour Comptine Automne Maternelle. Info. 12 mai 2022 - DĂ©couvrez le tableau "Comptine maternelle" de liza zouza sur Pinterest. Paroles de la comptine Dans sa maison un grand cerf Dans sa maison un grand cerf, Regardait par la fenĂȘtre, Un lapin venir Ă  lui, Et frapper ainsi Cerf, cerf . 12 fĂ©vr. La jolie p'tite chanteuse est . Pour achever leur derniĂšre annĂ©e de maternelle et commencer Ă  sentir le CP approcher Ă  grands pas, mes GS ont pu chantonner l'alphabet . Si vous voulez, vous pouvez remplacer le mot fusil par un autre mot. Chansons enfantines et comptines du monde entier. Mes chants et comptines en moyenne section 2017-2018. En voici les paroles Les paroles de la chanson l'araignĂ©e gipsy !. Chansons enfantines et comptines du monde entier. Va-t'en , va-t'en ! Shopping. Cela renforce la liaison Ă©cole-maison pour les petits, l'enfant pouvant facilement communiquer . La plupart incluent aussi une partition. Comptine petite abeille Par Julie Le 26 juillet 2021 Dans ActivitĂ©s Laisser un commentaire sur Comptine petite abeille Voici la comptine Petite abeille Ă  chanter sur l'air de FrĂšre Jacques. Tap to unmute. Et une version avec paroles signĂ©es Cet article a Ă©tĂ© publiĂ© dans BoĂźte Ă  comptines et marquĂ© escargot le 12 septembre 2016. . Pour l'occasion, allons faire un petit tour des comptines et chansons pour la rentrĂ©e en maternelle ! Voici les paroles illustrĂ©es de la chanson " Mains en l'air ", version maĂźtre Guillaume ^^. Cheque Differe Cora Flers 2020, Sujet Bac Pro Français 2013, Police CybercriminalitĂ© TĂ©lĂ©phone, Louis Bodin Et Sylvie Pinatel, HĂŽpital De Chartres Recrutement, Mois De Mars En Chiffre, Couleur Chat Signification Spirituelle, Arthrite Virale Covid, VidĂ©o recommandĂ©e par un internaute si disponible Texte lu 18142 fois ! Voir plus d'idĂ©es sur le thĂšme comptine maternelle, comptines, chansons maternelle. accepter le manque psychanalyse; plan courbevoie transport; . Y'a des coin », y'a des coin ». Comptines animaux de la ferme La mĂšre Michel La danse des canards Une souris verte Coucou Hibou Ah les crocodiles Nous n'irons plus au bois Il pleut bergĂšre Il court, il court, le furet La ferme Ă  Mathurin Coccinelle, demoiselle Alouette Trois petits chats Dans sa maison un grand cerf La Licorne et les Gros Crocodiles * RĂ©sumĂ© Des comptines pour bien articuler, des comptines pour rĂ©pĂ©ter des sons, des comptines pour travailler des structures de phrases, des comptines pour Ă©crire
 Un certain nombre d'exemples sont proposĂ©s. Au jardin de ma grand-mĂšre. Paroles Au clair de la lune. Beaucoup contiennent des clips audios mp3 et midi et la partition. YouTube. No products in the cart. Explore. teamprofs tiktokprof professeurdesecoles profdesecoles 
 Qu'il Ă©tait fort, qu'il Ă©tait beau. Comptine vive le vent. Chansons par thĂšme > Comptines La rubrique Comptines. Petit train. super top. Paroles Il Ă©tait un petit homme pirouette cacahuĂšte Paroles Malbrough s'en va-t-en guerre. doucement s' en va le jour paroles chanson; risotto lait de coco poulet; how to sell a horse in equestrian the game. Comptines. Je mets mon chapeau. Souris, souris, Un chat, Un petit lait sucrĂ©. Cliquez sur les bulles chaque lien donne accĂšs Ă  une sĂ©rie de comptines sur . C'est bientĂŽt l'heure des mamans C'est demain jeudi C'est l'automne C'est l'Ă©tĂ© trois petits moustiques C'est l'heure de faire dodo C'est l'hiver C'est la cloche du vieux manoir C'est la fĂȘte des mamans C'est la mĂšre Michel C'est la nuit de NoĂ«l C'est la poule C'est la rentrĂ©e C'est le criquet Bon, ok, je n'ai mĂȘme pas eu besoin de le leur apprendre, les grands frĂšres et grandes sƓurs s'en Ă©taient dĂ©jĂ  chargĂ©. Y'a des coin coin coin, coin ». surtout que certains connaissent dĂ©jĂ  la chanson le pont d'Avignon ». elle,elle,elle. Paroles de la comptine Monsieur Pouce va Ă  l'Ă©cole . A la volette TELECHARGER LE PDF. La comptine est dans un premier temps affichĂ©e dans le coin rĂ©union de la classe. 18 janv. En voici les paroles Les paroles de la chanson l'araignĂ©e gipsy !. Sur les bords du Nil ils sont partis n'en parlons plus. ComplĂ©ment Du Verbe Leçon, Alençon Lancrel Vente Maison, Pensionnat Catholique AbandonnĂ© Herault, RĂȘver D'un Mort Qui Revient Ă  La Vie, Asos Models Names 2020, Kidnapped Laura Kucera Brian Anderson Pictures, Conducir Moto 125 En Francia, Biblical References In Robinson Crusoe, Objectif Canon Eos Occasion, Au jardin de ma grand-mĂšre. ALBUM. . La politesse - chanson pour les enfants Tweet. . Tous les bƓufs, tous les bƓufs. Maternelle de Bambou Auteur de l'article 26 novembre 2019 Ă  2314. Paroles A la volette. Ă©couter ici la mĂ©lodie. Paroles Snowflake. Liste alphabĂ©tique de chansons et comptines de notre enfance Ă  retrouver pour les apprendre Ă  votre enfant. Chers parents et enfants, Voici un petit florilĂšge des chants et comptines mĂ©morisĂ©s et interprĂ©tĂ©s en classe de Moyenne section cette annĂ©e. Little Snowflake Kids Songs Super Simple Songs. Accueil. 1/ Je distribue les images illustrant chaque comptine ; les Ă©lĂšves doivent retrouver de quelles comptines il s'agit. Voici deux crĂ©ations en attendant qu'une troisiĂšme mĂ»risse. Hey! appelle moi casanova t'es la plus belle; oh ma jolie sarah partition pdf Comptines maternelle. Accueil. Mais la vache, mais la vache. Il lui faut un p'tit coeur de salade. Today. maternelle chanson africainecomment reconnaitre makita pro. 2021 - Explorez le tableau chansons maternelle » de Isabelle Charriau, auquel 509 utilisateurs de Pinterest sont abonnĂ©s. elle,elle,elle. Comptine pour enfants maternelle cycle 2 sur le thÚme d Paroles de la comptine l'araignĂ©e gipsy Mais le soleil a chassĂ© la pluie, L'araignĂ©e gipsy monte Ă  la gouttiĂšre, tiens voilĂ  la pluie, gipsy tombe par terre. Vous trouverez sur cette page les paroles de diffĂ©rentes chansons en format PDF. Comptine pour enfants maternelle cycle 2 sur le thÚme d Paroles de la comptine l'araignĂ©e gipsy Mais le soleil a chassĂ© la pluie, L'araignĂ©e gipsy monte Ă  la gouttiĂšre, tiens voilĂ  la pluie, gipsy tombe par terre. 20 mai 2018 - DĂ©couvrez le tableau "Chansons maternelle" de GeneviĂšve Champagne sur Pinterest. Pinterest. Commandez ici! Kiki the Koala - An Adorable Adventure Toy that Unplugs Play. Beaucoup contiennent des clips audios mp3 et midi et la partition. 30 L'homme De Cro-Magnon 31 Ne pleure pas Jeannette 32 33 34 35 C'est Gugusse. Un peu hors sujet, mais adaptĂ©e elle aussi aux plus petits, je finirai par une poĂ©sie sur un . Ressources pour la classe dĂ©marches pour apprendre des comptines, formulettes et jeux de doigts http 5 Archiver Les comptines, formulettes et jeux de doigts comme les chansons font l'objet d'une trace Ă©crite. PĂ©riode 1 -Pour apprendre Ă  Ă©couter -Pour dire le temps qu'il fait -Pour apprendre . Voici 6 comptines autour du printemps, des fleurs, les oeufs de PĂąques, la coccinelle, le papillon, le travail du jardinier mis en pages avec des fonds colorĂ©s.. Elles sont au format A5 soit 2 comptines par page A4. Voir plus d'idĂ©es sur le thĂšme comptines, chansons comptines, comptine maternelle. Paroles des comptines pour maternelles Ă  imprimer gratuitement J'aime la galette Si le loup y Ă©tait Si le loup n'y Ă©tait pas Si le loup revenait Paroles Ă  imprimer de la comptine pour maternelle Promenons-nous dans les bois Paroles Ă  imprimer de la comptine pour maternelle Une souris verte Paroles Ă  imprimer de la comptine Les crocodiles Une comptine originale pour attendre le pĂšre NoĂ«l Super Simple Songs - Kids Songs. Contact Vous trouverez les paroles de 200 comptines et berceuses traditionnelles Ă  dĂ©couvrir ou Ă  redĂ©couvrir en famille. La chanson est pourtant plus que probablement coquine, pleine d'allusions Ă©rotiques, et . Comptines et Chansons . Vous trouverez les paroles de 200 comptines et berceuses traditionnelles Ă  dĂ©couvrir ou Ă  redĂ©couvrir en famille. Si votre enfant est plus ĂągĂ©, vous pouvez imiter le furet et courir ensemble en chantant il court, il court ». Voir plus d'idĂ©es sur le thĂšme comptine maternelle, comptines, comptines enfants. La plupart incluent aussi une partition. Ressources maternelle - Mobiliser le langage dans toutes ses dimensions Partie - Lien oral-Ă©crit - Comptines formulettes et jeux de doigts http 8 Des comptines pour ‱ AmĂ©liorer la prononciation et l'articulation ‱ Commencer Ă  acquĂ©rir une conscience phonologique Comptines ou poĂ©sies de maternelle sur le froid et le rhume. 4 juil. J'ai un nom, un prĂ©nom. Notre site propose les paroles de comptines pour enfants, des musique de berceuse pour bebe, des chansons pour la martenelle, pour l'ecole. Voici deux crĂ©ations en attendant qu'une troisiĂšme mĂ»risse. La classe de MaĂźtre Guillaume et de Papouf. Y'a des coin » par-ci, y'a des coin » par-lĂ . OhĂ© du bateau. Commandez ici! 3ans rentreescolaire rentrĂ©e premiererentree rentreedesclasses . Les comptines permettent d'instaurer au quotidien des rituels, elles sont aussi l'occasion pour l'enfant de vivre au rythme des fĂȘtes et des saisons. Cela peut aider l'enfant Ă  choisir lui-mĂȘme une comptine/chanson, et ce dĂšs la toute petite section. » Demande Anastasia. Quant aux paroles, elles sont apparues dans Paris vers les annĂ©es 1790, et le succĂšs depuis ne s'est pas dĂ©menti, surtout chez les petits. Chacune comprend les paroles complĂštes dans sa langue originale et une traduction française. Paroles Alouette gentille alouette. Voici un recueil des paroles de quelques chansons et rimes qui s'accordent avec le thĂšme populaire de la petite enfance les dinosaures, et qui peuvent ĂȘtre utilisĂ©es lors de la planification d'activitĂ©s et de programmes pour les jeunes enfants en classe de maternelle par exemple. Chacune comprend les paroles complĂštes dans sa langue originale et une traduction française. comptine pour faire le silence en maternelletirade antigone texte. Recommander cette page Ă  un e ami e Commentaires sur cette comptine Le par jean-pierre. maternelle chanson africaine. le loup Je mets ma veste. Dans mon ciel,l'ombre et lumiĂšre se mĂšlent. problĂšmes familiaux synonyme; recrutement sans concours adjoint administratif ministĂšre de l'intĂ©rieur 2020 1 juil. Paroles originales et traduction française. Chansons comptines et poĂ©sies sur le thĂšme de l'Ă©tĂ© et des vacances en maternelle, comptines pour cĂ©lĂ©brer l'arrivĂ©e des vacances d'Ă©tĂ© en maternelle et en Ă©lĂ©mentaire, chansons comptines poĂ©sies Ă©tĂ© . Je vous propose une sĂ©rie de comptines pour les petits enfants de maternelle ou CP, pour rire des nez qui coulent et des Ă©ternuements. je n'ai jamais Ă©tait facile, toujours dĂ©terminer indocile, malgrĂšs mes silences et mon inpudence, elle devine mes souffrances. Y'a des centaines de canards, hiya hiya ho. Retrouvez les plus cĂ©lĂšbres comptines et chansons telles que " Promenons nous dans les bois ", " Il court, il court le furet ", " Une souris verte " etc. J'espĂšre que ça va plaire Ă  tes Ă©lĂšves ^^ 2021 - DĂ©couvrez le tableau "Comptines Maternelle" de Laetitia sur Pinterest. Voir plus d'idĂ©es sur le thĂšme comptines, comptine maternelle, chansons comptines. Je mets mes chaussettes. . Comptines pour la rentrĂ©e maternelle. Au Clair de la Lune comptine Hijo de la Luna MĂ©cano Ballade Ă  la . Super ! Paroles et partition Ă  imprimer pour les Ă©coles et pour les parents ! Petit macareux Comptine de Saint-Pierre et Miquelon La ballade du pĂȘcheur de truites Conte de Saint-Pierre et Miquelon Le phare, le caillou et l'oiseau Conte de Saint-Pierre et Miquelon Les puces de mer Conte de Saint-Pierre et Miquelon Tigre et tortue Conte de Guyane Jack, le petit ouistiti intelligent Conte de Guyane Le secret des anguilles aveugles du lac Lopolopo Conte de . Au clair de la lune TELECHARGER LE PDF. auxiliaire vĂ©tĂ©rinaire luxembourg salaire Les enfants 4 ans et demi et 20 mois ont vraiment adorĂ© le concert. Remi est trĂšs accessible et tout le monde participe ! C'est bientĂŽt la rentrĂ©e et je vous propose de commencer l'annĂ©e scolaire, par quelques petites notes de musique ! Mes premiĂšres chansons en dessins animĂ©s de comptines pour les enfants des Ă©coles maternelles avec vidĂ©os, illustrations, musiques et part. Super spectacle. A mimer, bien entendu ! Je mets mes lunettes. Une comptine de Corinne Albaut pour les plus jeunes " Les instruments de musique ". HygiĂšne - PropretĂ© - Chants - Comptines - Maternelle J'me lave les mains Air J'me brosse les dents Lave, lave, lave J'me lave les mains J'me lave les mains Avant d'manger Lave, lave, lave J'me lave les mains J'les lave trĂšs bien Pour qu'elles soient propres On va se laver les mains air de la ferme Ă  mathurin On va se laver les main hi y hi y ho On fait vite car on a faim hi. Vous dirai-je maman Fais dodo Colas mon p'tit frĂšre FrĂšre Jacques Maman les petits bateaux Comptines pour maternelles Il y a les paroles illustrĂ©es, et les bandes visuelles pour aider les enfants Ă  mĂ©moriser. 2/ Je distribue ensuite les paroles et les Ă©lĂšves doivent associer les images aux paroles, en cherchant des indices Ă©crits ils s'aident des rĂ©fĂ©rents de la classe. When the auto-complete results are available, use the up and down arrows to review and Enter to select. Coloriage Automne En Ligne Gratuit À Imprimer pour Comptine Automne Maternelle. Info. 12 mai 2022 - DĂ©couvrez le tableau "Comptine maternelle" de liza zouza sur Pinterest. Paroles de la comptine Dans sa maison un grand cerf Dans sa maison un grand cerf, Regardait par la fenĂȘtre, Un lapin venir Ă  lui, Et frapper ainsi Cerf, cerf . 12 fĂ©vr. La jolie p'tite chanteuse est . Pour achever leur derniĂšre annĂ©e de maternelle et commencer Ă  sentir le CP approcher Ă  grands pas, mes GS ont pu chantonner l'alphabet . Si vous voulez, vous pouvez remplacer le mot fusil par un autre mot. Chansons enfantines et comptines du monde entier. Mes chants et comptines en moyenne section 2017-2018. En voici les paroles Les paroles de la chanson l'araignĂ©e gipsy !. Chansons enfantines et comptines du monde entier. Va-t'en , va-t'en ! Shopping. Cela renforce la liaison Ă©cole-maison pour les petits, l'enfant pouvant facilement communiquer . La plupart incluent aussi une partition. Comptine petite abeille Par Julie Le 26 juillet 2021 Dans ActivitĂ©s Laisser un commentaire sur Comptine petite abeille Voici la comptine Petite abeille Ă  chanter sur l'air de FrĂšre Jacques. Tap to unmute. Et une version avec paroles signĂ©es Cet article a Ă©tĂ© publiĂ© dans BoĂźte Ă  comptines et marquĂ© escargot le 12 septembre 2016. . Pour l'occasion, allons faire un petit tour des comptines et chansons pour la rentrĂ©e en maternelle ! Voici les paroles illustrĂ©es de la chanson " Mains en l'air ", version maĂźtre Guillaume ^^. Cheque Differe Cora Flers 2020, Sujet Bac Pro Français 2013, Police CybercriminalitĂ© TĂ©lĂ©phone, Louis Bodin Et Sylvie Pinatel, HĂŽpital De Chartres Recrutement, Mois De Mars En Chiffre, Couleur Chat Signification Spirituelle, Arthrite Virale Covid,

CrĂ©ezgratuitement votre compte sur Deezer pour Ă©couter Promenons-nous dans les bois par Marcel Zaragoza, et accĂ©dez Ă  plus de 90 millions de titres. chansons pour enfants Promenons nous dans les bois Prom'nons nous dans les bois, Pendant que le loup n'y est pas Si le loup y Ă©tait il nous mangerait Mais comme il n'y est pas, il n'nous mangera pas Loup y es-tu ? Entends-tu ? Que fais-tu ? - Je mets ma culotte...etc Prom'nons nous dans les bois pendant que le loup n'y est pas Si le loup y Ă©tait il nous mangerait mais comme il n'y est pas il n'nous mangera pas Loup y es-tu ? Entends-tu ? Que fais-tu ? - Me voilĂ .... me voilĂ  VidĂ©o recommandĂ©e par un internaute si disponible Texte lu 14172 fois ! Commentaires sur cette comptine -> Pas de commentaires actuellement ! Promenonsnous dans les bois Copy link Watch on Via la chaĂźne youtube de notre partenaire "Monde des Titounis" Les paroles de la chanson "Promenons-nous dans les bois" Refrain : Promenons-nous dans Russia is waging a disgraceful war on Ukraine. Russia is waging a disgraceful war on Ukraine. Stand With Ukraine! Promenons-nous dans les bois traduction en anglais Artiste French Children's Songs Chansons Enfantines Françaises ‱InterprĂ©tĂ© aussi par French Children Songs Chanson Promenons-nous dans les bois Traductions anglais ✕ Promenons-nous dans les bois Pendant que le loup n'y est pas Si le loup y Ă©tait Il nous mangerait, Mais comme il n'y est pas Il nous mangera pas. Loup y es-tu ? Que fais-tu ? Entends-tu ?le loup Je mets ma chemise.le loup Je mets ma culotte.le loup Je mets mes bottes.le loup Je mets ma veste. Je mets mes chaussettes. Je mets mes bottes. Je mets mon chapeau. Je mets mes lunettes. Je prends mon fusil, j'arrive ! DerniĂšre modification par Fary Mar, 06/03/2018 - 1746 traduction en anglaisanglais Let's walk into the woods Let's walk into the woods While the wolf isn't there If the wolf were there It would eat us But since it is not It won't eat us. Wolf, are you there? What are you doing? Do you hear us?the wolf I am putting my shirt onthe wolf I am putting my pants onthe wolf I am putting my boots onthe wolf I am putting my jacket on I am putting my socks on I am putting my boots on I am putting my hat on I am putting my glasses on I am taking my riffle and I'm coming! PubliĂ© par Klou Lun, 15/05/2017 - 1915 AjoutĂ© en rĂ©ponse Ă  la demande de Zarina01 ✕ Ajouter une nouvelle traduction Ajouter une nouvelle demande Traductions de Promenons-nous dans ... » French Children's Songs Top 3 Music Tales Read about music throughout history Voiciquelques exemples de chants et comptines incontournables Ă  l’école maternelle classĂ©s par ordre alphabĂ©tique. Documents joints. A la claire fontaine, MP3, 2 Mo. A la volette, MP3, 2.8 Mo. Ainsi font font font, MP3, 763.2 ko. Alouette, MP3, 3 Mo. Bateau sur l’eau, MP3, 356.1 ko. Bonjour ma cousine, MP3, 488.2 ko. Cadet Rousselle, MP3, 1.7 Mo. C’est gugus, MP3, 756.8 ko. C’est En novembre et dĂ©cembre derniers, tels des sorciers, les enfants de grande section ont rĂ©ussi Ă  redonner vie Ă  de vieux morceaux de bois et ensemble nous avons fait apparaĂźtre des Triangule-arbres » ou arbres triangulaire. AprĂšs avoir triĂ© des branches, les enfants les ont positionnĂ©es au sol en forme de triangle. Certains triangles Ă©taient bien des triangles mais d’autres plutĂŽt carrĂ©s, d’autres plutĂŽt biscornus j’irais mĂȘme jusqu’à dire bizarres 
 Ce qui est certain, c’est que nous avons rĂ©visĂ© tous ensemble la gĂ©omĂ©trie avec des fou-rires et beaucoup de plaisir. Durant ce jeu de construction, les branches, elles, se sont par moment transformĂ©es en Ă©pĂ©es, en instruments de musique, en cannes, en fusils
. Les enfants, eux, sont alors devenus des chevaliers, des musiciens, certains d’entre eux sont mĂȘme devenus des oiseaux ils sont venus couver leur nid au cƓur de l’arbre triangle », puis ils se sont envolĂ©s dans une magnifique danse improvisĂ©e. Puis est venu le temps du montage en trois dimensions travail d’équipe et de coopĂ©ration. Certains ont tenu le tronc afin d’assurer l’équilibre de l’arbre, pendant que d’autres enfilaient patiemment les morceaux de bois, les empilant sur la tige mĂ©tallique. Les rĂŽles se sont ensuite inversĂ©s, personne n’est restĂ© de cĂŽtĂ©, tout le monde a participĂ©. Ce tour de magie n’aurait pas Ă©tĂ© possible sans la confiance des deux maĂźtresses de Grande Section merci Ă  elles. Merci Ă©galement aux enfants pour cette belle aventure au sein de leur classe. Christelle Parolesde chanson Comptine - Promenons-nous Dans Les Bois, lyrics, video. [Refrain] Prom'nons-nous dans les bois Pendant que le loup n'y est Paroles de la comptine Loup y es-tu » Promenons-nous dans les bois Pendant que le loup n’y est pas Si le loup y Ă©tait Il nous mangerait Mais comme il n’y est pas Il nous mangera pas Loup y es-tu ? Entends-tu ? Que fais-tu ? Le loup – Je mets ma culotte Promenons-nous dans les bois Pendant que le loup n’y est pas Si le loup y Ă©tait Il nous mangerait Mais comme il n’y est pas Il nous mangera pas Loup y es-tu ? Entends-tu ? Que fais-tu ? Le loup – Je mets mes chaussettes Promenons-nous dans les bois Pendant que le loup n’y est pas Si le loup y Ă©tait Il nous mangerait Mais comme il n’y est pas Il nous mangera pas Loup y es-tu ? Entends-tu ? Que fais-tu ? Le loup – Je mets ma chemise Promenons nous dans les bois Pendant que le loup n’y est pas Si le loup y Ă©tait Il nous mangerait Mais comme il n’y est pas Il nous mangera pas Loup y es-tu ? Entends-tu ? Que fais-tu ? Le loup – Je vais vous manger !!!! plouf ! Illustration et animation de la chanson parue en livre Ă  toucher aux Ă©ditions Milan sous le titre SI LE LOUP Y ETAIT que vous pouvez voir sur la chĂąine de comptines La rĂ©crĂ© des ptits loups. Promenons nous dans les bois et les autres comptines du loup font l’objet d’une exposition interactive pour les tout-petits de crĂšche et de maternelle. L’exposition comptine pour petites mains est ouverte Ă  la location pour les mĂ©diathĂšques, bibliothĂšques, salons du livres, etc
 pour plus de prĂ©cisions et de dĂ©tails sur l’exposition, conditions et disponibilitĂ©s cliquez sur l’onglet exposition comptines.

PromenonsNous Dans Les Bois La Comptine En Video Les plus belles comptines pour bébé avec animation 3d: Promenons nous dans les bois + 36 min de chansons pour les petites heykids spotify . Voir plus d'idées sur le thÚme loup, album maternelle, . Comptine promenons nous dans les bois toujours avec le loup , en ce moment ma petite b aime

Birdy HarpMembreOiseau sanguinaireAvatar Marie AvgeropoulosMessages 85Date d'inscription 11/11/2021Depuis que j'Ă©tais sortie de Malivore, il y a de cela environs 1 an, j'avais appris pas mal de choses sur ce nouveau monde. A commencer par le langage local, essentiel pour comprendre ce qui se disait. Mais dans l'ensemble, je n'avais pas fait Ă©normĂ©ment de rencontres qui ne s'Ă©taient pas terminĂ©es en bain de sang. Il faut dire aussi que j'Ă©prouvais une lourde haine envers les humains, et que si je pouvais retrouver les descendants de ceux qui avaient massacrĂ© mon peuple, je ne m'en priverais pas. Cela me donnait Ă©galement mauvais caractĂšre, mais, aprĂšs mille ans passĂ©e dans le noir, seule, qui pouvait me blĂąmer ? J'avais trouvĂ© une maison en bordure de forĂȘt. Je ne comprenais pas tout Ă  la nouvelle technologie qui l'habitait, mais au moins, je savais faire fonctionner une douche. C'Ă©tait tellement plus simple de se laver aujourd'hui, Et tellement plus relaxant... A chaque fois que j'y allais, j'y passais un certain temps. Comment se dĂ©tendre parfaitement... Mais il fallait bien, au bout d'un moment, en sortir, d'autant que j'avais aussi dĂ©couvert que tout nĂ©cessitait de l'argent. Et je ne pouvais dĂ©cemment pas menacer tout le monde pour qu'on m'offre l'eau chaude ou l'Ă©lectricitĂ©. J'Ă©tais bien forcĂ©e de trouver de l'argent, et surtout un compte en banque parce que maintenant, tout Ă©tait quasiment automatisĂ©. Ca aussi, je l'avais appris. En bref, je savais tout ce qu'il y avait Ă  savoir pour mener une vie un minimum dĂ©cente. Si ce n'est comment gagner de l'argent. Celui que je possĂ©dais Ă©tait tirĂ© de mes victimes, et ce n'Ă©tait pas Ă©norme puisque je ne pouvais pas accĂ©der Ă  leur compte en banque, seulement Ă  l'argent qu'ils possĂ©daient sur eux. C'Ă©tait un bien maigre revenu... Mais voilĂ  ! A peine sortie de la douche, je sortis de chez moi, direction la forĂȘt. Sans intention de tuer quiconque pour une fois, j'Ă©tais dĂ©jĂ  bien nourrie. Mains dans les poches, j'avançais, dĂ©terminĂ©e. C'est alors qu'une silhouette se dessina au loin. Je plissai alors le regard pour essayer de dĂ©tailler cette silhouette, tout en m'approchant. Plus prĂšs, je pus voir qu'il s'agissait d'une jeune fille, seule. Peut-ĂȘtre avait-elle, comme moi, choisi la voie de la promenade. Je dĂ©cidai de m'asseoir sur une souche sur le cĂŽtĂ© du chemin, attendant que la jeune fille passe Ă  mon Je ne m'attendais pas Ă  croiser quelqu'un ici... Ca peut ĂȘtre ton n'Ă©tait nullement celui d'une menace, pour une fois. J'Ă©tais curieuse de savoir ce que cette fille faisait ici, enfin si ce n'Ă©tait qu'elle se promenait. Et gĂ©nĂ©ralement, je croisais plutĂŽt des couples ou des hommes en chasse par ici, rarement de jeunes femmes seules. Mia De CastroMembreFanatique d’hĂ©moglobineAvatar Kristine FrosethMessages 65Date d'inscription 07/03/2022 Recherche ardente d’inspiration que je ne parviens pas Ă  trouver dans l’enceinte de l’établissement ni dans ces alentours, je me suis donc dĂ©cidĂ© Ă  me promener dans la forĂȘt. La nature a toujours eu d'Ă©normes bienfaits sur mon ĂȘtre, on se laisse facilement emporter par les multiples inspirations que celle-ci peut murmurer. Le pas lĂ©ger, je me laisse guider sans savoir oĂč sera ma destination. Une artiste se laisse attirer et ne rĂ©flĂ©chit jamais Ă  son point d'atterrissage. C’est un art que j’ai pu partager avec Klaus fut un temps, la seule chose qui avait su nous rapprocher malgrĂ© sa mĂ©fiance constante. S’il y a bien une chose que j’ai su peaufiner avec le temps, c’est bien ça. La mĂ©fiance qui rend la prudence encore plus importante pour ne pas se laisser emporter par une confiance trop excessive qui, dans mon humanitĂ©, m'a portĂ© souvent soleil traverse les branches des arbres, mais je n’arrive toujours pas Ă  me dĂ©cider de l’endroit oĂč je pourrais me poser pour dessiner un peu. En fait, c’est la nostalgie qui se dessine dans mon esprit alors, que l’un aprĂšs l’autre, mes pas se font m’éloignant un peu plus du passĂ© qui est le mien. Bien que mon esprit puisse se souvenir comme si c’était hier du visage des miens. Heureusement, la folie ne m’a pas pris comme celui qui m’a créé et parfois, je sens bien que par moment, je me laisse un peu trop emporter par l’amour de la beautĂ©, fiĂšre comme un paon de mes crĂ©ations sommeillant dans les musĂ©es et qui n’ont aucun Je ne m'attendais pas Ă  croiser quelqu'un ici... Ca peut ĂȘtre m’arrĂȘte me rendant compte que mon esprit, trop occupĂ©, ne m’a pas permis de remarquer la prĂ©sence de cette jeune femme. Sa phrase fait naĂźtre immĂ©diatement un instinct de mĂ©fiance. C’est Ă©trange de dire une telle chose mĂȘme si aucune menace ne ressortait de sa voix. > Fis-je tout simplement alors que je la regarde simplement > AprĂšs tout, pourquoi devrais-je ĂȘtre la seule dans le pĂ©trin ? In search of oneselfANAPHORE Birdy HarpMembreOiseau sanguinaireAvatar Marie AvgeropoulosMessages 85Date d'inscription 11/11/2021A mon Ă©poque, les femmes et les enfants Ă©taient rudement encadrĂ©s, ne serait-ce qu'Ă  cause de la menace que reprĂ©sentaient les miens. Du coup, j'avais un peu de mal Ă  assimiler que les mƓurs avaient changĂ©. Pourtant, aprĂšs un millĂ©naire, cela Ă©tait logique, les humains s'adaptaient vite, il fallait que j'en fasse autant. Surtout qu'une femme paumĂ©e comme j'avais pu l'ĂȘtre Ă  ma sortie de Malivore, ça ne passait pas inaperçue. Cette fille se promenait comme s'il n'y avait pas de danger. Pourtant, j'en Ă©tais un moi-mĂȘme, une chance pour elle que je n'Ă©tais pas en chasse. Surtout qu'elle sembla ne me repĂ©rer que lorsque j'entamais la conversation. J'aurais pu la tuer dix fois durant cette fenĂȘtre. Sa rĂ©action me fit sourire. Un chemin de santĂ©, hein ? Mais elle n'avait pas tort, ça pouvait Ă©galement paraĂźtre dangereux pour moi, il n'Ă©tait pas Ă©crit "harpie" sur mon front, et heureusement. De ce que j'avais appris, des gens traquaient les crĂ©atures comme moi. Ca n'avait jamais plu aux humains de ne pas ĂȘtre au sommet de la chaĂźne alimentaire, alors ils s'en prenaient Ă  ceux qui menaçaient leur hĂ©gĂ©monie. - C'est vrai, mais mĂȘme sur ce genre de chemin je croise rarement de jeunes filles seules. Il faut croire que quelque chose les tient ne pas rĂ©vĂ©ler ma vraie nature, mais je voulais savoir ce qui la diffĂ©renciait des autres filles, pour qu'elle ose s'aventurer sur ce tracĂ©. Je me levais de ma souche, pour venir Ă  son contact. Autant se parler dans les yeux, non ? Je voulais Ă©galement savoir si cette fille savait quelque chose Ă  propos des autres espĂšces, c'Ă©tait ainsi que je restais dĂ©libĂ©rĂ©ment vague, afin de voir si elle saurait de quoi je parle, sans que je ne me rĂ©vĂšle pour autant. Mia De CastroMembreFanatique d’hĂ©moglobineAvatar Kristine FrosethMessages 65Date d'inscription 07/03/2022 Pourquoi n’arrivais-je pas Ă  mettre un mot sur le sentiment qui m’assaille en cet instant ? Sans doute parce que je vis dĂ©jĂ  dans une mĂ©fiance constante et que je voulais faire comme les jeunes femmes de cette Ă©poque. Ne pas me laisser berner par la crainte qui peut naĂźtre en chacun de nous. J’avais dĂ©passĂ© ce stade depuis si longtemps aprĂšs avoir connu l’infamie avec le vampire qui a fait de moi ce que je suis aujourd’hui. Un ĂȘtre qui ne connaĂźt aucunement la date de sa propre fin. On arpente le monde Ă  la recherche de savoir, de vĂ©ritĂ©, de sensation pour agrĂ©menter notre immortalitĂ© ou bien toujours plus de pouvoir, voilĂ  bien une maladie en toutes races que j’ai pu croiser. Les Mikaelson n’en Ă©taient pas exempts, bien au contraire. Cependant, j’ai pu trouver en Elijah un berceau d’apaisement et de douceur, mais si ce n’était qu’éphĂ©mĂšre au vu de notre existence Ă  lui comme Ă  me promenant ici, je n’ai pas pu m’empĂȘcher Ă  ces moments oĂč lui et moi, nous nous baladions en discutant de tout et de rien. Je me souviens mĂȘme de ces mises en garde face Ă  ma mĂšre. J’aurais dĂ» l’écouter, mĂȘme Klaus. Mais j’avais tellement ce besoin de dĂ©couvrir mon identitĂ©, de connaĂźtre la vĂ©ritĂ© qu’ils n’ont pas pu me dĂ©tourner de mon but initial. Me voilĂ  Ă  prĂ©sent bien déçu, mais le regret ne sera pas prĂ©sent. Ce qui est dĂ©jĂ  un plus non-nĂ©gligeable. La seule chose que je devrais gĂ©rer Ă  prĂ©sent, c’est ma dĂ©ception qui est aussi vive qu’un feu qu’on ne cesse de oui, sans doute, suis-je en faute en me baladant l’esprit ailleurs en ne faisant guĂšre attention au danger. J’ai l’impression d’ĂȘtre prise en faute et pourtant, cette Ă©poque ne pousse plus Ă  ĂȘtre constamment en garde, surtout en journĂ©e. Contrairement Ă  mon Ă©poque oĂč nous devions faire constamment attention. Moi-mĂȘme, j’avais toujours un ou deux gardes pour m’accompagner dans mes C'est vrai, mais mĂȘme sur ce genre de chemin je croise rarement de jeunes filles seules. Il faut croire que quelque chose les tient un sourcil en l’observant. C’est presque une mise en garde ou bien une menace dĂ©guisĂ©e de la part de cette jeune femme. Mon instinct me dit qu’elle n’est pas mortelle. Pourquoi ? Simplement parce qu’une humaine n’aurait pas ce genre de propos en parlant Ă  une personne qu’elle aborde. J’ai vĂ©cu suffisamment de temps auprĂšs de la population mortelle pour me faire une idĂ©e sur l’évolution de leur comportement et leur façon de parler. > Des allĂ©es et retours constants de ces hommes et ces femmes pour vĂ©rifier qu’il n’y a pas de problĂšme. Ce chemin de santĂ© est souvent empruntĂ© donc surveillĂ©. > Autant jouer les ingĂ©nues, je veux savoir ce qu’il en est. Je finis par aller m’installer sur un banc posĂ© lĂ  et j’y dĂ©pose mes affaires. Carnet ouvert, je sors mon fusain. J’ai envie d’exploiter cet outil aujourd’hui et puis, c’est tellement plus simple Ă  transporter que le chevalet et les peintures. Ma mĂ©moire eidĂ©tique me permettra de dessiner cet endroit si l’envie d’utiliser de la peinture se fait sentir. > Une maniĂšre comme une autre de commencer une conversation. J’espĂšre qu’à travers les non-dits, je pourrais en savoir plus. In search of oneselfANAPHORE Birdy HarpMembreOiseau sanguinaireAvatar Marie AvgeropoulosMessages 85Date d'inscription 11/11/2021J'avais abordĂ© cette jeune fille, je me demandais encore pourquoi. AprĂšs tout, je pouvais paraĂźtre suspecte Ă  plus d'un titre, et ces mille ans passĂ©s au sein de Malivore n'avait pas aidĂ© Ă  me sociabiliser. J'avais mĂȘme plutĂŽt tendance Ă  penser le contraire, mille ans seule, dans le noir, il y avait de quoi devenir folle. J'aimais Ă  croire que j'Ă©tais relativement seine d'esprit, que mon dĂ©sir de vengeance m'avait gardĂ©e Ă  l'abri des dĂ©rives de la solitude et du manque de lumiĂšre. Mais la vĂ©ritĂ© Ă©tait que j'Ă©tais perdue, mĂȘme un an aprĂšs. Qu'est-ce donc qu'un an de libertĂ© par rapport Ă  un millĂ©naire ? Je ne pouvais pas me refaire une vie comme ça, en claquant des doigts. Notre discussion me sortit de mes pensĂ©es. Il fallait dire que j'avais eu le temps pour le faire, penser... Aujourd'hui, maintenant que j'avais une vraie interlocutrice en face de moi, qui ne semblait pas dĂ©sireuse de se battre, qu'allais-je faire ? Allais-je la pousser au combat ? Ou continuer cette discussion dont j'ignorais la destination ? Allais-je avoir envie de la tuer, ou pas ? Tant de question qui se posaient Ă  chaque fois que je rencontrais quelqu'un. Au fond, je n'Ă©tais peut-ĂȘtre pas si seine d'esprit. - Mais certaines arrivent quand mĂȘme Ă  passer, sinon nous ne serions pas regardais autour de nous. Je ne voyais nulle trace de sĂ©curitĂ© dans le coin. Alors soit les gardiens de ces lieux faisaient vraiment trĂšs bien leur travail, soit ils le faisaient trĂšs mal. Je penchais pour la deuxiĂšme solution, sinon ils auraient devinĂ© que mes intentions ne sont pas toujours trĂšs neutres. Dans mon esprit, il y aurait dĂ» y avoir des sortes de contrĂŽles aux entrĂ©es et sorties, mais aprĂšs j'Ă©tais passĂ©e par un chemin quelques peu... Enfin, certains auraient tendance Ă  appeler ça du "hors-piste". J'Ă©vitais ainsi les patrouilles de chasseurs qui pourraient me mettre en danger. Je la vis poser ses affaires sur un banc avant de sortir de quoi dessiner. VoilĂ  qui m'intriguait, les mĂ©thodes avaient changĂ©, mais certains Ă©taient visiblement de la vieille Ă©cole. Pourquoi dessiner quand il y a dĂ©sormais les photographies ? La technologie Ă©tait certes utiles, mais je devais avouer qu'il y avait toujours ce petit quelque chose dans le dessin que n'avaient pas les photos. - J'avais besoin d'air frais. J'ai toujours aimĂ© les bois pour ce qu'ils offrent. Aujourd'hui les villes sont... Trop grandes, trop polluĂ©es. Je prĂ©fĂšre la ne pas me rĂ©vĂ©ler, j'avais Ă©tĂ© oubliĂ©e de tous, en soi ça m'arrangeait, personne n'Ă©tait lĂ  Ă  me traquer. Mais je ne mentais pas, au diable toutes ces voitures qui dĂ©naturaient le paysage, tout comme ces grandes bĂątisses. Je vivais dans les bois comme Ă  l'Ă©poque, mĂȘme si Ă  mon Ă©poque, les villes n'Ă©taient pas aussi insupportables et suffocantes. L'ĂȘtre humain s'Ă©tait trĂšs Ă©tendu. Trop Ă©tendu. J'observais la jeune femme dessiner. Je ne venais pas derriĂšre elle cependant, je ne voulais pas paraĂźtre trop invasive, bien que j'Ă©tais curieuse de savoir ce qu'elle dessinait. Mia De CastroMembreFanatique d’hĂ©moglobineAvatar Kristine FrosethMessages 65Date d'inscription 07/03/2022 La nature a quelque chose de rĂ©confortant et de maternelle. Celle-ci me donne la possibilitĂ© de revenir Ă  un temps oĂč tout me paraissait simple. Bien avant que l’envie de connaĂźtre mes vĂ©ritables origines ne tiraille mon ĂȘtre. LĂ  oĂč l’innocence et la naĂŻvetĂ© m’étaient encore permis. Aujourd’hui, je vois les choses d’un autre Ɠil. Un Ɠil plus profond et oĂč il me semblait que je pouvais deviner le moi rĂ©el de ces gens que je rencontrais Ă  mesure que leurs paroles glissaient sur leur lĂšvre. Observatrice depuis toujours, j’ai toujours pensĂ© que ce bouclier me permettait de me protĂ©ger contre les ĂȘtres aux intentions malsaines. J’ai Ă©tĂ© surprise dans mon existence, prise de court au mal intense qui pouvait couler dans les veines de certains. Et je me laisse encore surprendre aujourd’hui, parce que ce monde porte des nouveautĂ©s depuis que le Malivor s’est montrĂ©. Qu’en dirait Klaus et Elijah s’ils Ă©taient encore de ce monde ? Sans doute qu’ils auraient tout fait pour anĂ©antir cette Mais certaines arrivent quand mĂȘme Ă  passer, sinon nous ne serions pas lĂ .> Les autres, il y aurait des pancartes. Simplement, que certains lieux sont plus Ă  mĂȘme de plaire Ă  des personnes habituĂ©es Ă  des randonnĂ©es oĂč l’on doit un peu plus donner de soi-mĂȘme. Plus long et lĂ©gĂšrement plus ardu, mais pas mon banc, j’observe les verdures devant moi et je me plais Ă  dessiner ce grand chĂȘne dans les moindres dĂ©tails. Je peux presque entendre l’histoire que cet arbre me raconte et qui doit, cependant, ĂȘtre plus jeune que moi. Sans doute, suis-je dĂ©jĂ  passĂ© ici fut un temps, mais je ne m’en souviens J'avais besoin d'air frais. J'ai toujours aimĂ© les bois pour ce qu'ils offrent. Aujourd'hui, les villes sont... Trop grandes, trop polluĂ©es. Je prĂ©fĂšre la nature.> J’ai moi-mĂȘme grandi dans un petit village sans grande prĂ©tention. Calme et paisible oĂč je pouvais voir la mer par la fenĂȘtre de ma chambre. Quand je me suis mariĂ©e, j’ai suivi mon Ă©poux, mais soucieux de mon bien ĂȘtre, il a fait en sorte que le balcon de notre chambre donne sur le jardin. Jardin qui donnait vers l’horizon oĂč je pouvais voir la mer et deviner le port de la ville. >In search of oneselfANAPHORE Birdy HarpMembreOiseau sanguinaireAvatar Marie AvgeropoulosMessages 85Date d'inscription 11/11/2021Je passais beaucoup de temps dans les bois depuis que j'Ă©tais sortie de Malivore. Me nourrissant grĂące Ă  ceux qui s'isolaient dans les bois, mais gĂ©nĂ©ralement c'Ă©tait plus des hommes que des femmes. Du moins, en solitaire. Ces sentiers Ă©taient dangereux, certes, l'on pouvait croiser des prĂ©dateurs Ă  plus d'un titre. Et, de ce que je savais, les humains pouvaient ĂȘtre de vrais prĂ©dateurs. C'Ă©tait dĂ©jĂ  le cas Ă  mon Ă©poque, oĂč mon peuple avait Ă©tĂ© le chasseur tout autant que le chassĂ©, et que finalement, je fus la derniĂšre de mon espĂšce. Alors Ă  chaque fois que je tuais, cela me faisait un bien fou, et ce mĂȘme si je savais que ma vengeance ne serait jamais accomplie, la seule chose que je pouvais faire Ă©tait, en gros, de m'en prendre aux descendants de ces ordures. Mais au fil des siĂšcles, certaines lignĂ©es s'Ă©taient Ă©teintes, d'autre avaient Ă©migrĂ© ailleurs, il faudrait un de ces quatre que je retourne lĂ  oĂč Ă©taient mes racines, en GrĂšce, mais toujours les descendances Ă  trouver, c'Ă©tait long. Et Oui, bien sĂ»r. C'est une question de bon sens. Mais, aprĂšs tout, la vie est dangereuse, il s'agit de flirter ou non avec ce avec le danger... Elle ne sentait visiblement pas Ă  quel point elle en Ă©tait proche, mais la rĂ©ciproque Ă©tait aussi vraie, j'ignorais qu'elle avait elle aussi une nature dangereuse. Je savais cependant que je n'Ă©tais pas la seule dans le coin Ă  traquer les humains assez fous pour s'isoler en ces lieux. Aussi, il y avait peut-ĂȘtre une raison pour laquelle je ne l'avais pas simplement Ă©tripĂ©e. IntĂ©rieurement, peut-ĂȘtre sentais-je qu'elle n'Ă©tait pas une proie facile. Le fait aussi que je n'Ă©tais pas venue pour tuer, ce qui permettait cette conversation et qui empĂȘchait un bain de sang. - L'humanitĂ© a toujours Ă©tĂ© envahissante. Et visiblement ces derniers temps c'est pire. DĂ©truire de merveilleux paysages pour y bĂątir des routes, des bĂątiments... Je ne parlais pas de mon Ă©poque, je comprenais que rĂ©vĂ©ler ma nature, en quelque dĂ©tails que ce soit, Ă©tait risquĂ©. Je dĂ©testais me faire passer pour une fille normale parce que tout ce que les gens d'aujourd'hui faisaient ne m'intĂ©ressait pas, mais il le fallait, si je ne voulais pas attirer l'attention. La discrĂ©tion Ă©tait aujourd'hui de mise, d'autant que la technologie permettait de vite faire tourner une nouvelle. Soudain, mon interlocutrice me demanda si je pouvais me mettre devant le chĂȘne devant elle, complimentant mes traits, pour pouvoir me dessiner. J'acquiesçais, avant de me positionner devant l'arbre en question. Ses compliments alimentaient mon Ă©go, bien que je le cachais Comme ça ? Je n'ai pas l'habitude de servir de ne m'avait jamais dessinĂ©e, j'Ă©tais curieuse. vendait-elle ses dessins ? Je savais que certains vivaient de ce genre de choses aujourd'hui, peut-ĂȘtre Ă©tait-ce son cas. Loin de moi l'idĂ©e de la juger, au moins ce serait quelque chose de stable, contrairement Ă  ce que je pouvais bien faire. Je devrais peut-ĂȘtre m'y mettre, mais il faudrait bien sĂ»r que je m'entraĂźne avant. Mia De CastroMembreFanatique d’hĂ©moglobineAvatar Kristine FrosethMessages 65Date d'inscription 07/03/2022 - Oui, bien sĂ»r. C'est une question de bon sens. Mais, aprĂšs tout, la vie est dangereuse, il s'agit de flirter ou non avec ce ce que j’ai pu observer Ă  travers mon existence, c’est que l’envie de flirter avec le danger reste quelque chose d’attirant pour les ĂȘtres. Qu’importe sa nature, l’inconnu attire plus que le quotidien qui peut ĂȘtre parfois bien monotone pour un ĂȘtre qui se lasse et a besoin de renouveau Ă  chaque fois qu’il se lĂšve. Cependant, la monotonie peut aussi manquer quand l’inconnu devient par trop dangereux. J’observe cette jeune femme et lentement, j’ai cette impression qui s’insinue en moi. En tant qu’artiste, j’observe le monde, comme mes pairs. Et Ă  force d’observer, nous obtenons une sorte de troisiĂšme Ɠil pour nous faire contempler l’invisible. Disons que c’est une prĂ©disposition que nous obtenons au fur et Ă  mesure du temps qui passe. C’est une chose qui m’a rapprochĂ© de mon Ă©poux, mais aussi d’Elijah. Un sourire se dessine en me souvenant de ces deux visages qui ont eu un impact consĂ©quent dans ma vie. Si j’ai vraiment aimĂ©, ce sont ces deux fois-lĂ .>J’ignore ce que cette jeune femme cache, mais j’ai l’impression que celle-ci n’est pas ce qu’elle semble ĂȘtre. Je sens que le danger est une extension de sa personne tout comme moi je peux l’ĂȘtre quand le sang coule. Les ƓillĂšres m’aveuglent alors et je ne rĂ©ponds plus de rien. Tout ce que j’ai pu haĂŻr chez mon crĂ©ateur ressort Ă  la premiĂšre L'humanitĂ© a toujours Ă©tĂ© envahissante. Et visiblement ces derniers temps c'est pire. DĂ©truire de merveilleux paysages pour y bĂątir des routes, des bĂątiments
> La faune que j’ai pu connaĂźtre autrefois, disparaĂźt. Une partie de la ville a tellement grandi que je peine Ă  retrouver les rues que j’ai pu emprunter. L’évolution peut ĂȘtre magnifique, mais pas quand la destruction est constante au point de perdre ce qui fait la beautĂ© d’un lieu. BeautĂ© que j’aime reproduire sous les derniers souvenirs qu’il me regarde mon interlocutrice qui prend place devant le chĂȘne. Souriant doucement, je vais pouvoir dessiner ce que je vois d’elle, mĂȘme si cela ne sera peut-ĂȘtre pas tout Ă  fait juste. Ce sera une reprĂ©sentation de son moi intĂ©rieur. J’aime montrer dans mon art ce qui est cachĂ©. En tout cas, cela a assez touchĂ© pour que mes Ɠuvres soient, au fil des siĂšcles, dans les Comme ça ? Je n'ai pas l'habitude de servir de modĂšle.> Le bloc de dessin sur moi, je regarde mon matĂ©riel hĂ©sitant entre un crayon et le fusain. C’est le second qui a ma prĂ©fĂ©rence. Doucement, je commence donc le dessin de la jeune femme. > Je souris. > Je ris ancrant mon regard dans le sien par moment. > Un village qui n’est plus qu’un souvenir dans ma mĂ©moire et qui a bien grandi aujourd’hui. Tout du moins, quand je l’ai quittĂ© ce n’était qu’un port bien modeste oĂč la nature nous entourait. Aujourd’hui, cet endroit a pris des allures bien plus importantes Ă©crasant la campagne, mais toujours aussi search of oneselfANAPHORE Birdy HarpMembreOiseau sanguinaireAvatar Marie AvgeropoulosMessages 85Date d'inscription 11/11/2021Bien sĂ»r que flirter avec le danger Ă©tait attirant. Cela ajoutait ce petit quelque chose qui donnait un sens Ă  toute vie. Bien sĂ»r, la frontiĂšre Ă©tait toujours mince entre courage et stupiditĂ©, il fallait savoir se replier lorsque les choses se gĂątent, et ceux qui voulaient se donner une raison d'exister finissaient la plupart du temps soit Ă  l'hĂŽpital, soit morts. Bien sĂ»r, je m'en fichais un peu, et quand ce danger venait de moi, rares Ă©taient ceux qui avaient la possibilitĂ© d'en parler ensuite, car je n'Ă©pargnais que rarement une victime. Bien sĂ»r, il m'Ă©tait arrivĂ© de tomber sur des ĂȘtres plus forts, dont je ne connaissais pas vraiment le genre de personnes qu'ils Ă©taient. Il y avait manifestement eu des nouveautĂ©s niveau espĂšces durant mon passage Ă  l'intĂ©rieur de Malivore. - Mais il faut bien Ă©videmment savoir se retirer Ă  un moment donnĂ©. Du moins, si on n'a pas de dĂ©sir de mort. La jeune femme Ă©tait sympathique. C'Ă©tait donc ça, de choisir la discussion au combat ? Je n'avais guĂšre eu le temps de discuter beaucoup, hormis pour apprendre ce nouveau langage, et pour me mettre Ă  la page des mille derniĂšres annĂ©es, du moins pour les plus importantes. Il n'y avait bien sĂ»r que peu de dĂ©tails sur les plus anciennes, la connaissance s'Ă©rodait avec le temps mais moi, j'avais l'impression que c'Ă©tait hier. J'Ă©tais du genre solitaire, seule pendant mille ans, j'avais plus ou moins perdu la fibre sociale, bien que cette conversation semblait aller dans le bon sens. Quelque chose me disait que cette fille pourrait m'en faire voir de toutes les couleurs, je sentais qu'il y avait quelque chose en elle, ce qui indiquait probablement que la prĂ©datrice en moi Ă©tait en train de se rĂ©veiller, puisque mon instinct semblait me dire de ne pas l'attaquer elle. - C'est malheureux tout de mĂȘme. Mais bon, je n'attends plus rien des ĂȘtres tout, je ne pouvais cacher mon ressentiment envers les humains. Eux qui avaient complotĂ© pour se dĂ©barrasser des miens, et moi possĂ©dant cette frustration de ne pas pouvoir me venger, Ă  part sur leurs descendants, qui Ă©taient clairement dispersĂ©s, et que je ne pouvais pas retrouver. Alors chaque humain que je tuais faisait temporairement redescendre cette pression, mais ce n'Ă©tait jamais assez. Je pris place devant le chĂȘne, comme la jeune femme me l'avait demandĂ©. Elle voulait me dessiner, pourquoi pas. Elle me demanda ensuite de rester naturelle, ça je savais faire, c'Ă©tait facile en mĂȘme temps, mais pas trop naturelle non plus, sinon cela signifierait lui rĂ©vĂ©ler ma vraie nature, nous n'en Ă©tions pas encore lĂ . Je ne bougeais plus vraiment, Ă  part ma respiration et le clignement de mes yeux bien sĂ»r. La jeune femme s'intĂ©ressa alors Ă  mon habitat de vie. Elle dĂ©duisit de mes dires que j'habitais en campagne, me dĂ©crivant l'endroit d'oĂč elle C'est presque ça. Ici je vis dans une petite maison Ă  l'orĂ©e de la forĂȘt. Mais sinon je viens de GrĂšce, bien que cela fasse... Bien trop longtemps que je n'y suis pas me disais que mes recherches auraient pu commencer par la GrĂšce, mais j'ignorais pourquoi je dĂ©sirais rester dans les parages de Mystic Falls. Le nom n'Ă©tait sans doute pas usurpĂ©, il y avait quelque chose de mystique qui, peut-ĂȘtre me poussait Ă  rester. Je restais immobile, me prĂȘtant au jeu du dessin, mais je ne pouvais m'empĂȘcher de me demander ce qui l'inspirait chez moi. Autant lui Pourquoi je vous inspire ? Mia De CastroMembreFanatique d’hĂ©moglobineAvatar Kristine FrosethMessages 65Date d'inscription 07/03/2022 Si l’on tend bien l’oreille, on finit toujours par traduire les paroles cachĂ©es. Et au cours de ma vie, j’ai eu largement de l’entraĂźnement pour pouvoir deviner ce que l’on ne dit pas. Si je ne parviens pas Ă  quelque chose de prĂ©cis, je peux au moins le ressentir. C’est pour cela qu’Elijah avait toujours eu du mal Ă  me cacher quelque chose ainsi que pour Klaus. J’étais loin d’ĂȘtre bĂȘte et si je n’avais pas l’esprit que j’avais, jamais je n’aurais attirĂ© l’attention de mon Ă©poux. Quand j’observe cette jeune femme, une chose me vient en tĂȘte. C’est qu’elle n’est pas ce qu’elle paraĂźt ĂȘtre. Je ne peux pas focaliser mon esprit sur une rĂ©ponse prĂ©cise, mais je le sens au fond de Mais il faut bien Ă©videmment savoir se retirer Ă  un moment donnĂ©. Du moins, si on n'a pas de dĂ©sir de un point pour moi. Quel humain parlerait de la sorte ? Pas un jeune en tout cas. Une vieille personne lassĂ©e de la vie certainement, une crĂ©ature ou un vampire oui. Sans doute les loups-garous. Mais rares sont les humains Ă  s’exprimer de la sorte, Ă  moins d’avoir vĂ©cu le C'est malheureux tout de mĂȘme. Mais bon, je n'attends plus rien des ĂȘtres une preuve que mon intuition n’a pas perdu de sa superbe. J’esquisse un sourire en prĂ©parant mon matĂ©riel, mais je me dis aussi que je dois faire acte de prudence. > Ne pouvais-je m’empĂȘcher de dire. > Se prĂ©occuper que de soi n’est pas un mal, ni une critique de ma part, au contraire c’est essentiel. Cependant, il faut savoir doser parce que le monde mĂ©rite qu’on fasse attention Ă  prĂ©sent devant l’arbre, je commence Ă  dessiner tout doucement levant par moment le regard vers elle pour ancrer l’image que je vois et que je veux reproduire tel qu’il me vient Ă  l’ C'est presque ça. Ici je vis dans une petite maison Ă  l'orĂ©e de la forĂȘt. Mais sinon je viens de GrĂšce, bien que cela fasse... Bien trop longtemps que je n'y suis pas GrĂšce ? VoilĂ  qui est intĂ©ressant, je peux utiliser cette information pour donner un effet plus juste Ă  mon dessein qui me menait Ă©trangement dĂ©jĂ  vers cette idĂ©e. > Fis-je en le regardant souriant doucement. > Y retourner, c’est encore plus me dire que les miens ne sont plus de ce monde. MĂȘme si cela fait fort longtemps, la douleur en est parfois toujours aussi Pourquoi je vous inspire ?>In search of oneselfANAPHORE Birdy HarpMembreOiseau sanguinaireAvatar Marie AvgeropoulosMessages 85Date d'inscription 11/11/2021Je semblais attirer la curiositĂ© de mon interlocutrice. Pour chacune de mes paroles, ça avait l'air de faire tilt dans sa tĂȘte. Elle le portait sur le visage, cet air qui voulait tout dire. Ce n'Ă©tait pas un air suffisant, non... Je ne pouvais pas non plus dire en quoi elle le portait sur le visage, mais c'Ă©tait un discret minois peut-ĂȘtre satisfait, je ne pouvais trop le dire, mais j'avais l'impression de lui donner des rĂ©ponses rien qu'en parlant. Se posait-elle autant de questions sur moi que moi sur elle ? AprĂšs, je n'avais jamais vraiment expĂ©rimentĂ© le fait de cacher ce que j'Ă©tais. AprĂšs tout, il y a un millĂ©naire c'Ă©tait bien diffĂ©rent, et j'avais passĂ© tant de siĂšcles seule dans le noir et le vide de Malivore, que me cacher n'Ă©tait guĂšre l'un de mes points forts. Alors oui, j'avais sans doute des mimiques, des expressions qui pouvaient permettre de laisser entrevoir que je n'Ă©tais pas une simple humaine. La jeune fille hypothĂ©tisa que je semblais avoir vĂ©cu le pire de la part du genre humain. Ces paroles m'arrachĂšrent un petit sourire qui ne contenait aucune satisfaction, un sourire de façade en Vous n'avez pas alors la suite de son petit Je n'ai pas vraiment eu le temps de choisir une cause. Et puis, Ă  quoi bon ? De toute façon, il y aura toujours quelqu'un pour tout gĂącher. Si ce n'est pas nous, c'est notre voisin. Si ce n'est pas notre voisin, c'est sa femme... Et cetera. Finalement, justement se prĂ©occuper de sa propre personne est peut-ĂȘtre la meilleure des n'avais pas honte de paraĂźtre Ă©goĂŻste, et pas seulement de paraĂźtre d'ailleurs. Je l'Ă©tais bel et bien, je l'assumais, aprĂšs tout la vie m'avait appris qu'on ne pouvait compter que sur soi-mĂȘme. Elle commença alors, une fois que je fus positionnĂ©e correctement, Ă  me dessiner. Je n'avais encore jamais croisĂ© quiconque qui eĂ»t l'envie et l'inspiration de me dessiner. La discussion ne s'interrompit pas pour autant, nous continuĂąmes et le sujet en vint Ă  nos pays d'origine respectifs. La GrĂšce, pour ma part, l'Italie, pour la sienne. J'avais eu le temps de m'informer sur cette nouvelle Ă©poque, et sur les frontiĂšres d'aujourd'hui, bien que celles-ci semblaient en mouvement perpĂ©tuel, au fil des multiples guerres ayant marquĂ© l'Histoire. Histoire qui ne me permettait pas de reprendre foi en l'humanitĂ©. - Je devrais y retourner un jour, mĂȘme s'il n'y a personne qui m'attend. Ce n'est pas forcĂ©ment une mauvaise chose, ça m'Ă©vite de devoir choisir une date et de m'y tenir. Je peux y aller quand ça me chante, sans prĂ©venir pris une Je ne suis jamais allĂ©e en Italie. Mais de ce que j'en ai entendu, c'est un pays lui demandais alors pourquoi je l'inspirais, je n'avais pas cette notion d'inspiration. Elle m'expliqua alors, comparant ceci au fait de respirer. Cela semblait si naturel pour elle... J'en aurais presque des regrets, des regrets de ne pas avoir pris le temps de me poser pour rĂ©flĂ©chir, chercher cette fameuse inspiration dans un domaine ou dans l'autre. Elle m'indiqua Ă©galement qu'elle sentait plus ou moins ce que je ressentais. Dans mon regard, qui lui indiquait que j'Ă©tais perdue et en colĂšre. Elle Ă©tait perspicace, je ne pouvais pas lui enlever Bien vu. Effectivement je suis Ă  la fois perdue et en colĂšre, vous l'aurez sans doute constatĂ© Ă©tant donnĂ© mon ressentiment envers l'humanitĂ©. Mais... j'aime Ă  croire que ça s'apaisera un n'allais pas lui dire que je dĂ©vorais des humains Ă  la fois pour me nourrir et pour me venger, l'on en Ă©tait pas encore lĂ , je savais que je ne pouvais pas tout dĂ©baller Ă  n'importe qui. Alors je gardais ce mystĂšre pour moi, elle n'avait pas besoin de tout savoir. Je gardais ma pose pour qu'elle puisse me dessiner correctement. Mia De CastroMembreFanatique d’hĂ©moglobineAvatar Kristine FrosethMessages 65Date d'inscription 07/03/2022 - Vous n'avez pas regard se plonge dans celui de la jeune femme qui me fait face. En avais-je une idĂ©e ? Oh que oui, je sais Ă  quel point le genre humain peut ĂȘtre mauvais avec ceux qui sont diffĂ©rents d’eux. Surtout Ă  cause de la peur que cela engendre. J’ai passĂ© une partie de mon existence humaine Ă  cacher le fait que j’étais une sorciĂšre. Si je fus acceptĂ© par mes parents et mes frĂšres adoptifs autant que mon Ă©poux. Les autres ignoraient ce dont j’étais capable. Et soyons sĂ©rieux, je n’étais pas capable de grand chose Ă  l’époque. La thĂ©orie m’était facile d’apprentissage, mais la pratique Ă©tait un domaine qui m’échappait totalement parce que je n’avais personne pour me guider. J’avais Ă©tĂ© abandonnĂ© Ă  mon sort dans tous les sens du si je sais que les humains sont odieux, les crĂ©atures quelles qu’elles soient le sont tout autant. J’ai connu le machiavĂ©lisme d’un vampire, la hargne des loups, le besoin de pouvoir des sorciers, l’étrangetĂ© malsaine de certaines crĂ©atures qui n’étaient que des lĂ©gendes dans ma mĂ©moire depuis peu. Tout n’est qu’une question d’acceptation et de comprĂ©hension sans pour autant bercer dans une parfaite Je n'ai pas vraiment eu le temps de choisir une cause. Et puis, Ă  quoi bon ? De toute façon, il y aura toujours quelqu'un pour tout gĂącher. Si ce n'est pas nous, c'est notre voisin. Si ce n'est pas notre voisin, c'est sa femme... Et cetera. Finalement, justement se prĂ©occuper de sa propre personne est peut-ĂȘtre la meilleure des causes.> Ou de les empirer, mais nous n’avons pas rien sans rien, c’est ainsi que l’histoire se construit. > Qu’importe l’ĂȘtre, nous sommes souvent prompts Ă  aller d’un extrĂȘme Ă  l’autre. J’ai pu le constater auprĂšs des Mikaelson. Les grands mĂ©chants de l’histoire, mais j’ai eu la chance Ă©galement de connaĂźtre leur bon Je devrais y retourner un jour, mĂȘme s'il n'y a personne qui m'attend. Ce n'est pas forcĂ©ment une mauvaise chose, ça m'Ă©vite de devoir choisir une date et de m'y tenir. Je peux y aller quand ça me chante, sans prĂ©venir si je comprends son point de vue, pour ma part, c’est plus difficile. Je suis de ces personnes qui s’attristent quand personne ne vous attend quelque part. Sans doute parce que j’ai perdu tellement de gens et que j’ai manquĂ© tant de choses. L’immortalitĂ© n’est parfois pas autant un cadeau qu’on peut le croire. Je m’attriste de ne pas pouvoir partager un moment avec Elijah qui savait si bien me consoler de tout cela. Il me manque Bien des fois, je verse une larme en repensant Ă  ces moments vĂ©cus avec lui, dans ces bras la plupart du Je ne suis jamais allĂ©e en Italie. Mais de ce que j'en ai entendu, c'est un pays lui souris alors que mon fusain fait son Ɠuvre sur la feuille, ce qui me permet de mettre de l’ordre dans mon esprit. > Le mot en est faible, mais on peut largement sentir l’émotion dans ma Bien vu. Effectivement je suis Ă  la fois perdue et en colĂšre, vous l'aurez sans doute constatĂ© Ă©tant donnĂ© mon ressentiment envers l'humanitĂ©. Mais... j'aime Ă  croire que ça s'apaisera un jour.> Je souris en repensant Ă  l’aĂźnĂ© des Mikaelson qui me disait cela pour calmer l’impulsivitĂ© de la vampire que j’étais. ÂgĂ©e pour certains, mais encore si jeune pour lui. Je souris avec douceur alors que mon dessin prend forme. Cette nature d’ici, mais avec mon modĂšle vĂȘtu comme une amazone. De l’idĂ©e que je m’en fais tout du moins. > In search of oneselfANAPHORE Promenons nous dans les bois... - Mia&BirdyPermission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum

Dateset Informations Consultez les Horaires, Avis, Plan, Tarifs. Mortain Visite Guidée : Légendes De Mortain : Promenons-nous Dans Les Bois Ajouter un lieu sur libre et c'est complÚtement gratuit !

Promenons-nous dans les boisPendant que le loup n'y est pasSi le loup y étaitIl nous mangeraitMais comme il n'y est pas Il nous mangera pasLoup, y es-tu? -OuiQue fais-tu? -Je mets ma chemise Aaaaaaah Promenons-nous dans les boisPendant que le loup n'y est pasSi le loup y étaitIl nous mangeraitMais comme il n'y est pasIl nous mangera pasLoup, y es-tu? -OuiQue fais-tu? -Je mets ma culotte Aaaaaaah Promenons-nous dans les boisPendant que le loup n'y est pasSi le loup y étaitIl nous mangeraitMais comme il n'y est pasIl nous mangera pasLoup, y es-tu? -OuiQue fais-tu? -Je mets mes chaussettes Aaaaaaah Promenons-nous dans les boisPendant que le loup n'y est pasSi le loup y étaitIl nous mangeraitMais comme il n'y est pasIl nous mangera pasLoup, y es-tu? -OuiQue fais-tu? -Je prends mon fusil Aaaaaaah Promenons-nous dans les boisPendant que le loup n'y est pasSi le loup y étaitIl nous mangeraitMais comme il n'y est pasIl nous mangera pasLoup, y es-tu? -OuiQue fais-tu? -J'arriveAaaaaaah Promenons-nous dans les boisPendant que le loup n'y est pasSi le loup y étaitIl nous mangeraitMais comme il n'y est pasIl nous mangera pasEt voilà!

Comptinepromenons nous dans les bois .. - Comptine promenons nous dans les bois toujours avec le LOUP , en ce moment ma petite B aime beaucoup surtout la chanson qui tourne en boucle chez nounou du coup , en cherchant sur le net

Promenons nous dans les bois... Hier soir, je propose Ă  mon fils pour notre journĂ©e en amoureux, que l'on parte se promener en forĂȘt... Je lui dis qu'on prendra son vĂ©lo, il est super passe une belle nuit, rĂ©veil Ă  8h40, le chocolat du matin et on se prĂ©pare et d'ailleurs pour la 1Ăšre fois il veut se prĂ©parer le 1er...Ça fait un moment que j'attends qu'il fasse beau, je voulais une sortie pour mon fils sans qu'on se dise il fait quel temps demain? Il pleut? Il y a du vent? Bref je regarde le temps Ă  la fenĂȘtre de ma cuisine dĂšs mon rĂ©veil et voyant ce soleil je me dis qu'il est temps d'y aller et voyant le temps de cette aprĂšs-midi j'ai bien fait...Sam prend son vĂ©lo, il me dit "tiens maman" afin que je puisse installer le vĂ©lo dans la arrive sur place, je descend son vĂ©lo, sors mon appareil photo et s'est parti... Mon ange, ce sourire sur ton doux visage ce matin m'a remplit de joie... Sur le trajet tu n'arrĂȘtais pas de me dire "attends-maman"...Il est tombĂ© 2 fois mais on a bien rigolĂ© et le petit truc rigolo c'est qu'il a demandĂ© Ă  mettre son pull avec le Loup...ForcĂ©ment on sortait dans les bois;Alors promenons nous dans les bois... Ce que vous avez prĂ©fĂ©rĂ© lire
Créezgratuitement votre compte sur Deezer pour écouter Promenons-nous dans les bois par Petit Ours Brun, et accédez à plus de 90 millions de titres. Petit Ours Brun. Promenons-nous dans les bois. Petit Ours Brun | Durée : 01:33 Paroles. Promenons-nous dans les bois Pendant que le loup n'y est pas Si le loup y était Il nous mangerait Mais comme il n'y est pas Il nous mangera

Harry Potter 2005 ~€~ Autres Lieux Magiques ~€~ Grande-BretagneCiarĂĄn A. MerrowSerdaigle Re Promenons-nous dans les bois...CiarĂĄn A. Merrow, le Dim 4 Juin - 417 Les pulsions. Ou quand le corps prend les commandes. Quand le cerveau, lui, passe en arriĂšre plan et regarde faire. ChloĂ© n'avait rĂ©pondu qu'Ă  son corps lorsqu'elle avait pointĂ© Edward avec sa baguette magique. À cet instant, son cerveau ne contrĂŽlait plus rien. Ses sentiments n'avaient plus leur mot Ă  dire. C'Ă©tait presque comme si quelqu'un d'autre avait pris possession de son propre corps. Comme si elle n'avait mĂȘme plus le temps de rĂ©flĂ©chir. Étrangement, cela lui rappelait une partie sombre de son passĂ©. Elle se revoyait, le visage cachĂ© derriĂšre un masque, faisant taire son humanitĂ© dans l'unique but de servir le Seigneur des TĂ©nĂšbres. Elle se revoyait, le regard froid, le coeur glacĂ©, menacer des inconnus avec le bout de sa baguette magique. Elle se revoyait leur ĂŽter la vie. Sans remords aucun. Juste des actions superposĂ©es. InsensĂ©es. La Greenwood n'avait pas pensĂ© un seul instant Ă  la rĂ©action du garçon. Pendant un instant, elle avait presque pris du plaisir Ă  invoquer la peur en lui. Presque. Mais son amusement inhumain prit fin lorsqu'elle le regarda dans les yeux. Son regard avait perdu toute trace d'assurance. DĂ©sormais, il ne pouvait plus ĂȘtre certain de rien, avec elle. Il venait tout juste de le comprendre. Peut-ĂȘtre regrettait-il d'avoir Ă©tĂ© naĂŻf? En tous les cas, il eut l'intelligence de vouloir en savoir plus sur elle. Sur son passĂ©. Questions vagues mais intĂ©ressĂ©es. — Poudlard est une trĂšs bonne Ă©cole, tu sais. Tu vas y apprendre Ă©normĂ©ment. J'ai enseignĂ© la DĂ©fense Contre les Forces du Mal, qu'elle ne finisse elle-mĂȘme par plonger du mauvais cĂŽtĂ©. Mais elle lui Ă©pargna cette information. Son cerveau, qui semblait avoir repris les commandes, lui intima de se taire. Elle dĂ©cida Ă©galement d'omettre certaines vĂ©ritĂ©s Ă  propos de son pĂšre. Hors de question qu'elle se confie Ă  un enfant. Qui plus est, Ă  un inconnu. — Je ne l'ai pas depuis que j'ai franchi la porte du Hogwarts Express le jour de ma premiĂšre rentrĂ©e Ă  Poudlard. Elle s'en souvenait comme si c'Ă©tait hier. Ce jour-lĂ , il avait fait Ă©tonnamment froid pour la saison. Peut-ĂȘtre que la tempĂ©rature extĂ©rieure pouvait expliquer l'humeur glaciale de son pĂšre, en cette journĂ©e si importante pour ChloĂ©. Ou peut-ĂȘtre savait-il dĂ©jĂ , Ă  ce moment-lĂ , qu'il allait partir pour ne plus jamais revenir. Peut-ĂȘtre avait-il dĂ©jĂ  pris conscience qu'il ne reverrait plus jamais ses deux filles. Peut-ĂȘtre que cette idĂ©e ne le touchait pas plus que ça. Tout simplement. Il avait simplement portĂ© les valises de la cadette sur le quai de la gare, puis rapidement embrassĂ© ses cheveux pour ensuite la regarder s'Ă©loigner, sans qu'un seul mot ne vienne frĂŽler ses lĂšvres. MĂȘme pas un au revoir. ChloĂ© lança un regard noir Ă  Edward. Son visage s'Ă©tait refermĂ©. — Si tu ne veux pas que je parle de ton pĂšre, Ă  l'avenir, Ă©vite de mentionner le mien. La seule diffĂ©rence entre toi et moi, c'est que, de ton cĂŽtĂ©, il est mort, et que moi je ne sais pas encore s'il l'est. C'est tout ce que tu as Ă  savoir. Puisqu'il Ă©tait trop curieux, l'ancienne professeur allait continuer l'apprentissage. Mais, en silence. Elle informula un Convulso Crispo en direction du jeune homme. AussitĂŽt, son corps d'adolescent fut secouĂ© de spasmes. ChloĂ© avait choisi ce sort parce qu'elle savait qu'il ne ressentirait aucune douleur, mais aussi parce que les mouvements incontrĂŽlĂ©s de son corps l'empĂȘcheraient de parler pendant quelques minutes. Et, surtout, parce qu'il s'agissait d'un sortilĂšge presque anodin. La derniĂšre chose qu'elle aurait voulu, c'Ă©tait le guider vers le mal. InvitĂ© Re Promenons-nous dans les bois...InvitĂ©, le Lun 5 Juin - 2346 Edward commençait Ă  se demander s’il devait fuir au plus vite. Il avait de moins en moins confiance en ChloĂ©. Il se sentait de nouveau mal Ă  l’aise en sa prĂ©sence. Elle lui ressemblait mais en version fĂ©minin. Quelqu’un de gentille Ă  premiĂšre vue mais qui Ă  l’intĂ©rieur de soi, possĂšde une partie sombre. Un ouragan de colĂšre qui peut s’échapper Ă  tout moment. Il l’avait bien vu dans ses yeux quand il avait mentionnĂ© son pĂšre. A prĂ©sent, il ne devait plus faire ni dire n’importe quoi. Chaque phrase qu’il prononcerait serait au prĂ©alable rĂ©flĂ©chi pour Ă©viter les ennuis. Pourquoi avait-il acceptĂ© qu’elle lui donne quelques conseils pour se dĂ©fendre ? Ed rĂȘvait d’ĂȘtre dans son lit Ă  dĂ©vorer un bouquin sur la botanique. Au lieu de ça, il suivait un cours de dĂ©fense dirigĂ© par une inconnue rencontrĂ© dans les bois. - Poudlard est une trĂšs bonne Ă©cole, tu sais. Tu vas y apprendre Ă©normĂ©ment. J'ai enseignĂ© la DĂ©fense Contre les Forces du Mal, lĂ -bas. »Dans le journal intime de sa mĂšre, elle avait mentionnĂ© toute sa scolaritĂ© Ă  Poudlard. Elle y dĂ©crivait un endroit magnifique oĂč l’on apprend au mieux Ă  se servir de la magie. Edward avait tout lu avant de recevoir la lettre pour son inscription lĂ -bas. Si ChloĂ© avait Ă©tĂ© professeur de DĂ©fense Contre les Forces du Mal, elle devait s’y connaĂźtre Ă©normĂ©ment sur les moyens de se dĂ©fendre. Et puis, elle l’avait enseignĂ© donc il n’avait en fin de compte peut-ĂȘtre rien Ă  craindre d’elle. Il Ă©tait juste un de ses Ă©lĂšves pour un unique cours. - Je ne l'ai pas depuis que j'ai franchi la porte du Hogwarts Express le jour de ma premiĂšre rentrĂ©e Ă  Poudlard. »Son comportement venait de changer. Le visage de ChloĂ© s’était assombrit. Elle n’avait donc pas vu son pĂšre depuis de nombreuses annĂ©es. Edward avait connu ce mĂȘme sentiment puisque cela faisait 12 ans que sa tendre mĂšre Ă©tait partie rejoindre les Ă©toiles. 12 ans Ă  pleurer chaque soir pour qu’elle revienne. 12 ans Ă  grandir sans amour maternel. 12 ans Ă  souffrir en silence. 12 ans Ă  haĂŻr les Dieux de lui avoir enlevĂ© sa maman. En fin de compte, ils n’étaient pas si diffĂ©rents que ça. Mais pour ChloĂ©, c’est son pĂšre qui l’avait dĂ©libĂ©rĂ©ment abandonnĂ©e Ă  l’ñge de 11 ans en plus. Quel parent pouvait-il faire cela Ă  sa fille ? On conçoit des enfants pour les aimer, les chĂ©rir. Pour leur apprendre le fonctionnement de la vie, pour parfaire leur Ă©ducation et leur culture. Autant ne pas en faire si c’est pour les abandonner ou les frapper quelques annĂ©es aprĂšs leur naissance. - Si tu ne veux pas que je parle de ton pĂšre, Ă  l'avenir, Ă©vite de mentionner le mien. La seule diffĂ©rence entre toi et moi, c'est que, de ton cĂŽtĂ©, il est mort, et que moi je ne sais pas encore s'il l'est. C'est tout ce que tu as Ă  savoir. »Edward dĂ©glutit. Une nouvelle fois, il avait peur pour sa vie. Baguette en main, il recommença Ă  trembler. Au timbre de sa voix, il savait qu’il lui avait fait beaucoup de mal en posant cette question concernant son pĂšre. Sans qu’il ne comprenne pourquoi, il commença Ă  ĂȘtre secouĂ© de spasmes. Cela devenait de plus en plus intense. Il avait l’impression qu’il allait rendre son petit dĂ©jeuner Ă  ses pieds. Ed commença Ă  devenir rouge. Au bout de quelques minutes dĂ©sagrĂ©ables, cet Ă©trange phĂ©nomĂšne s’arrĂȘta. Il mit quelques instants Ă  reprendre ses esprits. Etes-ce ChloĂ© qui Ă©tait responsable de tout ça ? Pourtant, il ne l’avait pas entendu prononcer un sortilĂšge. - Ecoute, je suis dĂ©solĂ©, j’ai Ă©tĂ© bĂȘte de penser que je pouvais te poser des questions sur ton pĂšre. Je veux juste que tu m’apprennes Ă  me dĂ©fendre. D’ailleurs, c’est toi qui m’a lancĂ© un sortilĂšge ? »Il y avait de la peur dans sa voix. Si c’était elle la responsable, il devait vite s’en aller. Que lui arriverait-il si elle lui lançait un autre sortilĂšge plus violent ? Il ramassa ses affaires et commença Ă  s’en aller. Des brindilles craquaient sous ses pas. Edward tremblait de tous ses membres. Il n’entendait plus que les oiseaux qui chantaient au-dessus de sa tĂȘte. Il se retourna timidement et lança - DĂ©solĂ© mais je crois que ma tante m’attend pour dĂ©jeuner, au 
 au revoir. »Il fĂźt volte-face et ferma les yeux. Ed Ă©tait dĂ©sormais une cible facile de dos. Il supplia ChloĂ© Ă  tout bas de le laisser tranquille. En fin de compte, cette inconnue ne lui avait fait que du mal. Il voulait oublier cette rencontre au plus vite. D’effacer ce passage de sa mĂ©moire et de reprendre une vie normale. CiarĂĄn A. MerrowSerdaigle Re Promenons-nous dans les bois...CiarĂĄn A. Merrow, le Jeu 8 Juin - 1600 Lorsque les effets du sortilĂšge prirent fin, les yeux d'Edward ne criaient rien d'autre que de la peur. Un regard hurlant son envie de fuir. De partir. Loin, trĂšs loin. Partout, mais surtout ailleurs. Facile Ă  comprendre, quand on savait que la jeune femme Ă  l'origine des convulsions n'Ă©tait pas dĂ©rangĂ©e le moins du monde par la souffrance silencieuse et indolore du jeune homme. Il ne faisait pas de doute que sa jeunesse et son manque de maturitĂ© certain ne pouvaient pas l'aider Ă  aborder cette situation courageusement. Quoique, dans un Ă©lan de naĂŻvetĂ© et d'audace, il avait demandĂ© Ă  une ancienne Mangemort qui lui Ă©tait totalement inconnue si elle pouvait lui donner des cours de dĂ©fense. Quel doux paradoxe. Peut-ĂȘtre cette leçon aurait-elle le mĂ©rite de rĂ©veiller chez lui la mĂ©fiance qui s'Ă©tait endormie tout prĂšs de son innocence. ChloĂ© savait dĂ©jĂ  comment Edward allait rĂ©agir. Bien sĂ»r qu'il allait partir. Bien sĂ»r qu'il allait la fuir. C'Ă©tait une rĂ©action totalement normale, et s'il avait agi autrement, la vĂ©lane l'aurait trĂšs certainement pris pour un fou. Un fou totalement naĂŻf. Pour la premiĂšre fois depuis le dĂ©but de leur rencontre, le jeune garçon avait une rĂ©action saine et comprĂ©hensible. Comment pouvait-elle l'en blĂąmer? Comment pouvait-elle en vouloir Ă  un adolescent de ne pas savoir se protĂ©ger? À cet Ăąge-lĂ , c'est encore le goĂ»t du risque qui fait vibrer. Mais, maintenant, il semblait en avoir assez de mettre sa vie en pĂ©ril avec une femme qui n'avait que faire de Greenwood se sentait presque attendrie devant son manque de connaissances. Il n'Ă©tait qu'au dĂ©but de sa formation Ă  Poudlard, et n'avait pas l'air d'avoir entendu parler de sortilĂšges informulĂ©s. Mais il n'Ă©tait pas bĂȘte ; mĂȘme s'il avait pris le soin de lui poser la question, il savait parfaitement au fond de lui qu'elle Ă©tait la seule personne Ă  avoir pu l'attaquer de la sorte. Il avait demandĂ©, comme si lui-mĂȘme n'arrivait pas Ă  y croire. Comme si seule la rĂ©ponse positive de la vĂ©lane pourrait l'en persuader. Mais elle ne rĂ©pondit pas. Devant son silence, il commençait Ă  plier bagages. L'ex Serdaigle ne bougea pas et se contenta de le laisser faire. Infecte comme elle l'avait Ă©tĂ©, il valait mieux le laisser partir et accepter de le regarder s'en aller. Au fond d'elle, ChloĂ© savait que cette expĂ©rience le ferait rĂ©flĂ©chir. Qu'elle avait agi pour le mieux, et qu'il n'avait juste pas encore assez de recul sur cet instant pour s'en rendre compte. Mais dĂ©sormais, il se mĂ©fierait. DĂ©sormais, il arrĂȘterait de faire confiance Ă  des inconnus. Et maintenant qu'il avait profitĂ© d'un avant-goĂ»t, l'envie de bavarder en cours de DĂ©fense contre les Forces du Mal le quitterait. Tout ça, il ne le savait simplement pas encore. Il lui prĂ©senta une excuse des plus ridicules, pour Ă©viter de dire tout haut qu'il s'enfuyait parce qu'il avait peur. N'importe quel humain aurait rĂ©agit pareil. Pourtant, il n'avait pas de raison de la craindre. Enfin, plus aujourd'hui. Mais ça non plus il ne le savait pas. Il y avait tant de choses dont il n'avait pas connaissance Ă  propos d'elle. La vĂ©lane le regarda lui tourner le dos. Edward s'attendait Ă  ce qu'elle l'attaque de nouveau. Elle le savait. Mais elle ne bougea pas, se contentant de ranger sa baguette lĂ  oĂč elle avait initialement trouvĂ©e, Ă  l'intĂ©rieur de sa veste. Dans un dernier sourire, elle attendit qu'il passe la porte de sa maison pour se retourner Ă  son tour et quitter ces lieux oĂč elle n'avait trouvĂ© aucune rĂ©ponse. C'Ă©tait Ă  Edward de mettre la main sur les siennes. Dans un souffle, elle chuchota — À bientĂŽt, Edward. — Fin du RP — InvitĂ© dĂ©placementInvitĂ©, le Mer 21 Juin - 902 Pv EllyQuelques jours aprĂšs s'ĂȘtre Ă©chappĂ© de prison, Vladimir Estragon se trouvait sur les routes d'Angleterre. AprĂšs un rapide passage par Londres afin de s'acheter une baguette avec les derniers deniers qu'il possĂ©dait sur lui, il s'Ă©tait Ă©chappĂ© de la capitale sans ĂȘtre vu. ArmĂ©, Ă  prĂ©sent et tout Ă  la fois dĂ©sarmĂ©, le jeune vagabond s'Ă©tait demandĂ© dans quelle direction il pourrait se mettre en route. Paradoxalement, Vladimir se sentait bien. Cela faisait un long moment qu'il ne s'Ă©tait pas senti aussi libre. Peu importait la famine qui le toucherait bientĂŽt et la soif qui la tiraillait importait la chaleur qui lui faisait penser que ce n'Ă©tait pas la saison des Ă©vasions. Un jour Ă  vivre en libertĂ©, fut ce dans la pire souffrance physique en valait mille sous les verrous. Cependant qu'il marchait Ă  travers champs en Angleterre, l'homme s'Ă©tait plusieurs fois surpris Ă  crier de joie. Lorsqu'il avait de la chance, un passant lui donnait de quoi boire ou manger. Plus il montait vers le nord et plus le temps se faisait clĂ©ment. Parfois, un coup de baguette magique permettait de chasser un lapin au dĂ©tour d'un chemin et de faire un feu pour le faire cuir, mais alors...De deux choses l'une. D'une part, il craignait que le MinistĂšre ne le retrouve par l'utilisation de sa magie, d'autre part, il constatait avec effroi que la magie Ă©tait de moins en moins puissante en lui. Il manquait de pratique. C'Ă©tait d'ailleurs la raison pour laquelle il se rendait vers le nord. Dans sa libertĂ©, le jeune homme dĂ©sirait rejoindre l'Ă©cosse pour retrouver PrĂ©-au-Lard. LĂ -bas, se trouvaient ses anciens enseignants dont l'un pourrait peut-ĂȘtre l'aider. Un sorcier n'est rien sans magie Au moins les moldus avaient ils l'habitude de se dĂ©brouiller par des procĂ©dĂ©s dont celui-ci n'avait pas mĂȘme l' jour que la chaleur Ă©tait nĂ©anmoins particuliĂšrement intense, vers l'aube du mois de juillet Vladimir Ă©tait Ă©puisĂ©. La chaleur accablante semblait tout Ă©craser sous un ciel d'azurite. Ce clochard ne trouva rien de mieux que d'entrer dans une forĂȘt pour se protĂ©ger du soleil. LĂ , une riviĂšre coulait comme un trĂ©sor liquide. Se penchant pour boire, Estragon observa son reflet. Cela lui faisait bien de la peine de se voir ainsi. Il Ă©tait mal rasĂ©, peu musclĂ©, ses cheveux avaient poussĂ© plus que de raison et on pouvait observer des cernes sous ses yeux aussi profonde que la riviĂšre en face de laquelle il se trouvait. Mais ce qui Ă©tait surprenant, dans ce reflet que l'ombre des feuillages rendait un peu plus opaque, c'Ă©tait qu'il ne se voyait pas seul. Au-dessus de son Ă©paule gauche, un vieux fermier se regardait dans l'eau tout comme marcheur ambulant qui n'avait pas vu un visage depuis plusieurs jours cru d'abord Ă  une hallucination. Mais se retournant pour mieux l'apprĂ©cier, il n'eut d'autre choix que de constater l'existence de ce qu'il voyait. C'Ă©tait bien un vieil homme, court sur patte, avec une chemise Ă  carreaux. Probablement un moldu. Sur les ailes de son nez, la trace de lunettes fraĂźchement retirĂ©es laissaient penser qu'il avait Ă©tĂ© interrompu dans une activitĂ©, sans doute par la prĂ©sence d'un inconnu dans le bois qui longeait sa propriĂ©tĂ©. Bonjour.'jourVous devez avoir fait une longue route et ĂȘtre fatiguĂ©. Suivez moi, je vais vous aider Ă  vous reposer. »Le moldu Ă©tait effectivement un fermier qui possĂ©dait une ferme non loin du bois dans lequel s'Ă©tait engouffrĂ© Vladimir. Il l'invita donc Ă  rentrer et lui proposa un lait de chĂšvre que l'ancien bagnard ne se voyait pas en mesure de refuser. Finalement, comme la fin de l'aprĂšs-midi approchait Ă  grandes enjambĂ©s, un lit fut couvert dans la grange pour permettre au sorcier de passer la nuit avant de reprendre la route avant qu'il ne fasse trop chaud le lendemain une de ces granges habituelles dans lesquelles un silo permettait de stocker le grain. Au fond, une armoire trĂŽnait, poussiĂ©reuse et semblant venir tout droit d'une autre Ă©poque tout comme la moissonneuse batteuse qui se trouvait juste Ă  cĂŽtĂ©. Ce genre d'engins ne devait plus servir depuis bien longtemps. Sous la charpente de laquelle tombait quelques araignĂ©es, des poules avaient fait leurs nids avec de la paille sĂšche. VoilĂ , vous serez trĂšs bien, ici, dit le fermier en fermant la porte de la grange au grand damne de Vladimir. Bonne nuit. »La porte se ferma et la piĂšce fut plongĂ©e dans le noir le lus complet jusqu'Ă  ce que ses yeux se fussent adaptĂ© au manque de luminositĂ©. Il Ă©tait enfermĂ©... A nouveau. Un bruit se fit entendre. Puis une nouvelle fois. Il apparaissait comme venant du fond de la piĂšce. A y regarder de plus prĂšs, comme le soleil traversait par endroit la charpente en crĂ©ant des halos de poussiĂšre, il semblait que cela vĂźnt de l'armoire. S'approchant, l'homme sortit sa baguette. Pas Ă  pas, en suant Ă  grosse goutte, il commençait Ă  trembler. Lorsqu'il arriva devant la porte de cette armoire en bois brut, il l'ouvrit d'un coup. Mais il ne trouva rien Ă  l'intĂ©rieur. Lumos Une faible lumiĂšre s'illumina au bout de sa baguette, laissant entrapercevoir le fond de la commode. Étrangement, celle ci lui semblait plus petite qu' lumiĂšre s’éteignit. Le manque de pratique, sans doute. Un autre bruit se fit entendre, comme s'il venait de la grange entiĂšre. C'Ă©tait ce genre de grincement que fait parfois le bois lorsque l'air devient froid. Soudain, quelque chose bougea, il en Ă©tait sĂ»r. Cela semblait venir de la porte barrĂ©e de l'Ă©difice. En la fixant, il ne voyait rien. Puis le son se fit entendre Ă  nouveau et cette fois, il en Ă©tait certain, c'Ă©tait la grange qui bougeait. Il Ă©tait enfermĂ© avec quelque chose, sans avoir la possibilitĂ©, ni de sortir, ni de voir ce que c' murs. Le son venait des murs. La poussiĂšre que le soleil continuait d'Ă©clairer faiblement par endroit bougeait sur les murs. Celui du fond et de devant Ă©taient... Mais... Il semblait que la piĂšce fĂ»t dĂ©jĂ  devenu deux fois plus petite. Et cela continuait. Les murs, dĂ©finitivement, avançaient dans sa direction comme pour l'Ă©craser. Il allait mourir, lĂ , Ă©touffĂ©. DĂ©vorĂ© sans raison par cette prison d'un nouveau genre, par ce bĂątiment qui continuait de se refermer sur lui comme un piĂšge. Vladimir tenta de crier, d'appeler, mais aucun son ne sortait de sa gorge. L'armoire se retrouva bientĂŽt broyĂ©e comme elle se trouvait entre la moissonneuse et le mur. Elle disparut sous ce dernier dans un craquement sinistre comme un hurlement que le bois aurait sa baguette, l'homme se demandait ce qu'il allait faire. Il se demandait si tout allait se terminer comme ça. Mourir Ă©crasĂ© par une grange, il y avait de quoi rire. Rire, c'Ă©tait ce Ă  quoi il avait pensĂ© au dĂ©part, sans doute cette armoire recelait elle un Ă©pouvantard. Mais ce qui se dĂ©roulait sous ses yeux n'avaient finalement rien d'un Ă©pouvantard. La terreur, au fond de lui, qui lui enserrait la gorge, Ă©tait la mĂȘme. Cet effroi qui ne lui permettait pas de faire un geste. Il tremblait... De tous ses membres. Les murs Ă©taient de plus en plus prĂšs, bientĂŽt il connaĂźtrait le mĂȘme sort que l'armoire. Le soleil s'Ă©tait dĂ©finitivement couchĂ©, la nuit Ă©tait tombĂ©e. Il ne voyait plus rien du se coucha sur le sol. AllongĂ© sur le cĂŽtĂ©, il attendait que les bords de cette charpente viennent l'Ă©craser sous le poids de l'Ă©difice. Il avait peur, mais il se refusait Ă  la panique. Trop longtemps enfermĂ©, sans doute l'homme ne voulait plus que cela arrive. La fin Ă©tait proche. Il ne s'entendit mĂȘme pas rĂ©citer la formule comme si cela pouvait changer quelque chose. Riddikulus. Non, il ne lui semblait pas l'avoir prononcĂ©. De toute façon, cela n'avait eu aucun effet, la piĂšce continuait de se resserrer sur enfermĂ© aprĂšs avoir rĂ©ussi Ă  s'Ă©chapper d'Azkaban. Il n'avait pas de raison d'avoir peur. Deux ans dans la prison Ă©taient bien trop astronomiques face Ă  ce qu'il vivait en ce moment-mĂȘme. Et quand bien-mĂȘme il mourrait, cela Ă©tait peut-ĂȘtre mieux que de toujours se cacher. Il riait. Mourir... Haha, mais quel joli destin pour celui qui craignait qu'on ne le renvoie Ă  Azkaban par la force. Hahaha, il riait de plus en plus fort sans raison apparente, tel que pris par la folie qui vous touche lorsque vous avez suffisamment souffert pour le restant de vos jours. Il riait, il riait de plus en plus fort et les murs se feraient encore plus rapidement jusqu'Ă  ce que l'Ă©pouvantard soit totalement neutralisĂ© par le rire sans qu'il ait eu Ă  prononcer la formule ou Ă  imaginer quoi que ce soit de plus drĂŽle que son propre destin. AprĂšs tout, c'Ă©tait vrai, il n'avait plus peur du tout, au contraire, il riait de toutes ses forces. Il riait aux Ă©clats, Ă  gorge dĂ©ployĂ© et la pauvre crĂ©ature n'avait alors plus aucune emprise sur ombre sembla disparaĂźtre dans la fente au milieu de la porte de la bĂątisse et tout redevint normal d'un seul coup. Les murs semblaient ne jamais avoir changĂ© de place et l'armoire Ă©tait magiquement revenue Ă  la sienne. Vladimir se coucha dans le lit qui avait Ă©tĂ© prĂ©parĂ© pour lui mais, toujours tremblant, il ne parvenait plus Ă  trouver le sommeil. Finalement, il se rĂ©solut Ă  sortir pour passer la nuit Ă  la belle Ă©toile. Il ne pouvait plus s'endormir sans voir le porte s'ouvrit sans lendemain, lorsque le fermier vint lui apporter un petit dĂ©jeunĂ©, le vagabond Ă©tait dĂ©jĂ  parti. Vanille FleurySerpentard Re Promenons-nous dans les bois...Vanille Fleury, le Mar 27 Juin - 727 Retrouves moi...PV avec KohaneAutorisation de reprendre le sujet par cours, sans m'arrĂȘter, je ne sais pas comment j'ai pu me retrouver ai absolument rien Ă  faire au fond, je ne cherche plus de raison, n'ai plus envie de me battre pour quoi que ce soit. Ce monde n'en vaut pas la peine, plus rien ne compte d'autre que cette douleur insupportable qui me broie l’estomac sans je crie... NuĂ©e d'oiseau qui s’envole, extĂ©rioriser la douleur qui me ronge mĂȘme si ça ne change tout ce conclut toujours d'un Ă©chec. Parce que j'ai mal, je n'arrive plus Ă  rĂ©sonner, seule reste la et moi, nous. MĂȘme si dĂ©sormais nous ne formons qu' de rage, de colĂšre et de douleur monde Ă  jamais transformĂ© pour mes un autre visage, un facette bien ne suis plus fantĂŽme, je ne suis plus rien...Je ne suis plus que rage, la vraie, celle qui vous consume et vous alimente en mĂȘme qui est mon unique raison de yeux se posent sur un arbre, je m' mes poumons Ă  terre, vomissant le contenu de mon estomac vide,goĂ»t acide sur mes lĂšvres, odeur du sans quand celui-ci rejoint le noir, monde de songe. Plus de vie, peut-ĂȘtre une simple envie. Le fil est perdu, comment finir la trame ?Des erreurs regrettĂ©e mais le monde continue de tourner, pensant me battre alors que j’ plus rien d'autre qu'une poussiĂšre, besoin intense de vengeance,dĂ©truire ce qui m'a conduit jusqu'ici. Impossible. Et pourtant je les pieds avancent toujours. Mais nul but, nulle ce besoin de continuer, alors que tout est perdu, que plus jamais le cƓur ne battra de coups, le sang coule abondement, en moi, empoisonnĂ©e de mes princesse n'est plus, rongĂ©e par la qu'une demi vie, comme si les aiguille s'arrĂȘtaient pour fatale, cicatrice banale. Tombant de haut sans avoir appris Ă  de brume, monde de fou encore bien trop flou. PaupiĂšres closes. Aveuglette, les jambes en un sens, une vois, comme si c'Ă©tait possible. Comme s'il existait quelque non, rien que le noir, la brume... Contours d'une nuit sans entre les arbres. Mains caressant les troncs sĂ©chĂ©s de vie. Simple oubliant les paroles de la chanson. Croyant que tout pourrait ĂȘtre monde, lui... Moi ? Mensonge. IncapacitĂ©. N'Ă©tant apte Ă  elle ? Viendra-elle ? Regard au sol. RĂ©signation. La peur d'ĂȘtre Ă  nouveau seule, Pas cette fois, non. Promettant de se battre pour que cela n'arrive sans avoir le moindre mot Ă  les dĂ©mons tiennent les pantin...La tĂȘte prise entre les mains enfantines. En apparence du de fois le sang a t-il dĂ©jĂ  eu l'occasion de couleur entre les doigts blancs ? Trop, beaucoup de folies, dĂ©libĂ©rĂ©s. L'adrĂ©naline qui circule si vite. Doux plaisir, cruel sourire. Une danse au pouvoir danse macabre. Tant d'excuse perdue au loin, emportĂ©e des vents si lourds. Ne cherchant plus le moindre pardon. Les mains se sont tendues, les chances ont Ă©tĂ© donnĂ©es, les bras on jamais mĂ©ritĂ©. Monde remplit de mensonge, de fausses victime. N'en Ă©tant pas une, me sentant si si profitant, je finissais par me laisser sombrer dans le de mes pires cauchemar. Voulant mettre son cƓur disparu Ă  l' veux la voir. Elle. La retrouver et chercher un soupçon d' que mon cƓur n'est pas partit avec que je me sers Ă©galement d'elle ?N'Ă©tant plus sĂ»re de rien. Doutant de moi. Je me retrouve Ă  implorer un quelconque Dieu pour qu'elle ne vienne pas, ne me trouve pas. Et soudain les jambes s'affaissent, la douleur grandit. Tombant le nez contre la terre, sentant les douces odeurs boisĂ©es qui s'enroulent autour de viens Ă  douter de mon propre nom, ne suis mĂȘme pas sĂ»re de savoir qui je sang est en train de couler dans mes veines. Je m' larmes ne coulent plus, plus depuis lui, depuis la diablesse qui a tant jouer avec est-ce finalement l'inverse. Je n'en sais trop rien... Soupir. Un souffle. Je crie son nom. Kohane...RĂ©sonnant en Ă©cho contre les arbres et dans le m'oublie pas... Kohane W. UnderlindenMDJ-GestionnaireHarryPotter2005 Re Promenons-nous dans les bois...Kohane W. Underlinden, le Mar 27 Juin - 1831 C'est comme l'annonce d'une mauvaise nouvelle. Ce vent. Ce ciel. Si lourd et si comme si la dĂ©tresse contenue dans sa lettre venait Ă  se reflĂ©ter dans l' lettre raturĂ©e, abĂźmĂ©e, recommencĂ©e. Des mots qui flottent et appellent Ă  l'aide. Phrases de la petite fille qui ne sait plus oĂč se poser dans ce vaste longtemps que j'ai pas eu de ses ne s'est pas passĂ© grand-chose aprĂšs notre rencontre dans les a gardĂ© sa place dans mon coeur. Elle a créé son cocon dans mon Ăąme. Mais elle a fait sa vie. J'ai fait la mienne. Une distance qui s'est imposĂ©e tout aujourd'hui, la voilĂ  qui revient. Qui bout d'une plume, ses traits tracĂ©s sur un parchemin Ă  travers les lettres et les mots qu'elle a tristesse et sa n'en sais pas sais seulement qu'elle a besoin de pour ça que je suis lui tenir la main. Parce que je lui ai promis que je pouvais l'aider Ă  faire un nouveau pas dans le monde. Parce que je ne peux la porter indĂ©finiment. Mais je peux lui tenir la main et tenter de la que je sais que j'ai autant besoin d'elle qu'elle a besoin de et feuillages. Sous un ciel gris. Qui pourrait bientĂŽt se mettre Ă  pleurer, qui sait. Arbres et feuillages. Odeurs me poser plus de questions, je me mets en route. Un pas, deux, craque sous la semelle. Le vent agite les branches, froisse le tissu des ne sais pas pourquoi, rĂ©ellement, elle a Ă©crit cette lettre. Pourquoi se sent-elle si mal. Pourquoi, pourquoi, pourquoi...Et je m'en savoirpourquoiparce que je ne suis pas lĂ  pour elle veut en donner les raisons, je l'Ă©couterai. Mais avant tout, je suis lĂ  pour silencieuse compagnie pour un peu de tenir la main pour un peu d' m'est si envie de l' que je l'aime, sans doute. La raison premiĂšre de ma venue ici. Une amie. Un fantĂŽme. Une soeur de douleur. Une bien-aimĂ©e. Elle est tout Ă  la me sens si proche d' veux l'aider. Et l' mot que l'impression qu'il renvoie Ă  ce passĂ© lointain que je regrette, cet Ăąge d'or qui m'apparaĂźt presque comme un vieux rĂȘve tellement il me semble renvoie Ă  cette Ă©poque oĂč le sourire Ă©tait si simple. L'amour si lĂ©ger. Les questions ne se posaient pas. Et j'aimais le tout me paraĂźt si d'amour Ă  donner et ne pas savoir comment le donner. Ne pas rĂ©ussir Ă  le donner. Ne pas trouver le courage d'en faire l'impression de ne plus rĂ©ussir Ă  ouvrir son coeur. Voguer, un visage, deux visages, trois... sans jamais parvenir rĂ©ellement Ă  Ă©videmment, j'ai de l'amour pour ceux qui m'entourent et me sont proches. Pour ces amis sur qui je sais pouvoir compter. Pour ces amis prĂ©sents, jamais absents, toujours de l'amour pour eux car c'est bien cela qui consolide toute le terme d'amoureuse ne signifie plus grand-chose pour moi. Je sais juste m'abandonner Ă  des bras, connus ou inconnus. Sans jamais rien ressentir de ne sais pas. Pas dans le fond, je le sens. Elle est diffĂ©rente. Des mon sentiment pour elle aussi, est tout aussi ne sont pas Ă  ses bras que je veux m'abandonner. Mais Ă  son coeur. C'est lui, que j'aimerais coeur, son Ăąme. Jumelle veux d'elle bien plus que je n'en ai voulu des autres. ExceptĂ© un regard, un sourire, une pulsation commune que je dĂ©sire. C'est ce qu'elle est au plus profond d'elle-mĂȘme que je veux. Je ne cherche pas que la surface des choses. Pas avec elle. Je veux le coeur de tout qu'elle la cherche. Ne trouve des feuilles sous le n'entends que ma propre soudain, une voix dĂ©chire le voile du silence. Une voix forte, un cri sorti de l'Ăąme. Qui ne porte qu'un mot. Qu'un sais alorsque je l'ai j'augmente l'allure, allonge le pas, suis les derniĂšres notes retombĂ©es du arbres dĂ©filentje ne vois rienentends encore rĂ©sonner, au fond de mes tympans,sa voixet l'appellancĂ© au ciellancĂ© Ă  la naturequi frĂ©mit sous le ventsa voixqui me demandaitmoic'est moiqu'elle veutpour la rattraperau-dessus du videne pas la lĂącherla ramenerprĂšs de moije ne te lĂącherai pasje te tiendraiĂ  bout de bras, Ă  bout de forceje ne te lĂącherai pasje te ramĂšnerai prĂšs de moipour t'Ă©treindre et te rassurertu ne seras pas seuleje serai lĂ Ă  te tenir la mainje te relĂšveraiet on avanceraencoreune foisun est vois son ne vois pas son peux l' elle est lĂ . C'est l' je m' Ă  deux dans cette forĂȘt. Pour crier le m' la main, saisis son bras pour prĂ©venir de ma de ne sais que dire. Je sais seulement que ne l'oblige pas Ă  se retourner pour voir son visage peut-ĂȘtre je m'accroupis pour ĂȘtre Ă  la hauteur de son corps assis et je l'Ă©treins doucement pour la silence d' bras se referment sur son corps. J'appuie mon menton sur son ne la regarde regarde paysage qui se dĂ©roule sous ses yeux. Sous les miens aussi, paysage d'arbres et feuilles. De nuages lourds et de ciel bras se ne parle n'est pas Ă  moi de ne suis lĂ  que pour rassurer. n'ai rien Ă  dire. Pour l' peux l'Ă©couter, si elle le peux la calmer. Par cette embrassade humaine empreinte d'amour et d' n'es pas seuleTu m'as attendueJe suis lĂ . Vanille FleurySerpentard Re Promenons-nous dans les bois...Vanille Fleury, le Jeu 29 Juin - 1033 Je perds toute notion du dans un monde de vide manquant cruellement de cherche quelque chose Ă  quoi me raccrocher. Me prouver que je suis toujours qu'il et parti depuis que le diablesse m'a gelĂ© le cƓur, j'ai peur ne n'ĂȘtre plus rien qu'un simple reflet de cette autre Ellana que je pensais alors connaĂźtre. Je ne reconnait plus mon visage, mains tremblantes lorsqu'elles sĂšment la douleur pour les autres. Comme une douce vengeance, parce que je ne suis pas capable, se battent ces autres qui souffrent ? Ceux qui se perdent dans l'ombre sans avoir besoin de faire du voir le sang couler pour vivre. Je vous admire, poussiĂšres de ce d'un peu de plus, vous envolez,un peu plus loin, toujours. MĂȘme quand les ailes manquent Ă  l' je ne suis pas comme vous,je n'y arrive pas...La colĂšre me prend Ă  la gorge. Comme un millier de petite veux me battre, j'ai besoin de leur faire tous les sourires que je regretter Ă  ces imbĂ©ciles le fait mĂȘme d'ĂȘtre Ă©goĂŻsme ? Sans doute...Coup de poignard, caresse des lames, je suis une vague qui monte en moi, encore plus, toujours j'ai envie de les dĂ©chirer, ces enfants heureux comme ceux qui ne devrait pas l' donc cela que tu cherches Ellana ? Un monde oĂč tous sont comme toi ?Les questions se multiplient. Je ne rĂ©pond me rend coupable...À chaque des branches, des feuilles sous les ne suis plus seule au milieu de cet qui se ferment, un presque noir sans reste rĂ©veillĂ©e. Pour quelques minutes de ce qu'elle arrive Ă  moi. Alors lĂ  je pourrais sombrer, lĂ  je pourrais me il me faut encore un peu...Tu es sens ta prĂ©sence,cette main sur mon coup mon visage s’apaise,les trais soulagĂ©s dĂ©nouent la gorge de sa qui doucement se relĂąche. Je ne bouge pas, pas un geste, pas un tu es venues, puisque tu es me serres doucement dans tes ne peux voir ton visage mais sens ton cƓur qui le mien qui doucement se Je ne parviens plus Ă  y jamais pu comprendre Ă  quel point tu m'avais en vĂ©ritĂ© si loin, si loin de toi. Mais aujourd'hui rien n'a si les sentiments avaient simplement attendus le bon tu reviennes les reprendre entre tes Tes mains sont si pose mes paumes sir tes mains qui m'enserrent,et dĂ©licatement j'ouvre les moindre Ă  Ă©trangement retrouver des si tout brillait un peu plus que tu es Ă  mes cĂŽtĂ©s, que t'as prĂ©sence me rend un peu de Kohane, merci d'ĂȘtre lĂ  pour et d'avoir un cƓur assez grand pour m' Petite traĂźtresse repoussĂ© bien des mains, mais pas les il n'en est pas question. Jamais. Mon cƓur est brisĂ©, laissant s’échapper la vie de j'ai gardĂ© une partie intacte. Pour toi...On peut faire un pas, on pourrait...Encore un de plus, mĂȘme si j'ai mal, si toi que je n'ai pas mal de toi, comme j'ai mal de la mes "je t'aime" ne sont pas des mensonges comme pour ne jouerais pas avec toi. serais bien incapable, cela causerait ma toi je pourrais les offrir, ses trois toi je pourrais promettre, de t' que tu n'es pas comme elle...Parce que je t'aime alors que je ne pensais plus ça voulu vĂ©rifier. J'ai osĂ© lancĂ© les voilĂ  comme serre dĂ©licatement tes que je suis toujours en ce n'est pas juste un cadavre que tu encore de l'espoir. Parce que tu es que ce sont tes bras qui me qu'il n'est plus lui je lui avait promis, jurĂ© de ne jamais l’abandonner, de toujours l'aimer. Mais j'ai faillit Ă  ma mission, j'ai pris peur et me suis enfuie. Alors que mon cƓur me criait de lui demander pardon. Alors que c'est pour lui qu'il continue de battre...Pour lui et pour toi. on se perd Ă  trop aimer, Ă  toujours ce soit volontaire ou non. Ça fait si mal, enlĂšve l'envie de se que je suis trop faible, pas assez si c'est sans doute ma que je ne le nie me retourne criant sous la doigts avancent vers ta joue,j’effleure ta peau comme pour me rendre compte que tu es un mirage, ni une douce la sĂ©rĂ©nitĂ© reviens juste un peu sur les trais es lĂ ...Murmure envolĂ© au quatre mains passent derriĂšre ton t'enlace en posant mon visage contre tes Kohane...Chuchotement contre ton un secret, comme un es belle Kohane, si ne savais plus ou j' tremblement Ă  peine d'ĂȘtre venue me rejoindre,me prouver que j'ai encore un peu d'amour Ă  surtout que j'ai eu raison de te l'offrir. Kohane W. UnderlindenMDJ-GestionnaireHarryPotter2005 Re Promenons-nous dans les bois...Kohane W. Underlinden, le Mer 5 Juil - 1547 MusiqueLe corps, tendu de rage ou de tristesse. Peut-ĂȘtre les deux. Sans doute les reste silencieuse et immobile. Mes bras qui l'enserrent de la lĂąche pas. Je veux qu'elle sente. Qu'elle sache. Que je suis lĂ . Oui, je suis venue. Pour toi. Je suis lĂ . Pour te tenir la main. Contenir ta colĂšre. Essuyer tes larmes. Etirer tes lĂšvres d'un sourire. Encore un, encore un, pour se dire qu'on en est suis venue, suis suis je sens ses Ă©paules qui, doucement, se relĂąchent. Une forme d'apaisement contagieux. Mes propres bras autour d'elle se dĂ©tendent. Je n'ai plus peur qu'elle fuie. Qu'elle explose. Qu'elle s'Ă©vapore. Je sais qu'elle paupiĂšres se ferment un court instant -soulagement aprĂšs tout, je ne la libĂšre pas. Et la garde contre ce silence Ă©ternitĂ©. Parfois agitĂ© de quelques bruits de j'Ă©coute et j' au moindre mouvement, au moindre tellement Ă©trange de la retrouver. La retrouver d'y ĂȘtre, je ne savais pas bien comment cela allait pouvoir se d'y ĂȘtre, je n'Ă©tais pas sĂ»re de ce que j'allais fantomatique rencontre au milieu de la nuit me paraĂźt si loin ! Et si rapide. Un simple Ă©clat dans une vie, lueur Ă©phĂ©mĂšre, disparue aussi vite qu'elle est apparue. Si bien qu'aprĂšs cela, je ne savais plus vraiment. Plus vraiment oĂč j'en Ă©tais. Ni mĂȘme si mes sentiments pouvaient ĂȘtre durables. SincĂšres et spontannĂ©s, ils l'Ă©taient, pour sĂ»r. Mais sauraient-il rĂ©sister Ă  la cruelle morsure du Temps ?Et, Ă  prĂ©sent que j'y suis, je rien n'a Temps n'a pas su effacer Ă  prĂ©sent que j'y suis, je m'a que je n'en avais pas conscience. Mais, dans le fond, sa non-prĂ©sence faisait un vide. Un vide que je n'ai jamais su combler. Un vide qu'on ne m'a jamais laissĂ© l'oportunitĂ© de Ă  son dos, je respire son suis heureuse. De l'avoir petit corps blotti contre le mien. La calmer pour mieux je sens ses mains, doucement, se poser sur les miennes. Les enserrer, comme signe de vie, de force. Oui, elle est encore lĂ . Encore lĂ . Elle peut ĂȘtre debout. Elle peut ĂȘtre forte. Elle peut affronter la Vie, ses Monstres et ses DĂ©mons. Je le sais. Sa main qui serre la mienne avec tant de vigueur me le mince sourire se dessine sur mes suis si heureuse que tu sois lĂ , en chair et en os. Que tu m'aies attendue. Que tu aies voulu me que les sentiments d'avant, si rapidement exprimĂ©s, besoin de toi. Tu as besoin de un nouveau ce silence d'Ă©ternitĂ©. Pour sceller des temps des mots n'est pas encore une affection muette, des gestes qui valent mille rester ainsi, que la scĂšne se fige, comme sur une photographie plus rien ne bouge. Pas mĂȘme nous. Uniquement continuer d'entendre les battements de son coeur. Savoir qu'elle est vivante. Entre mes bras. Savoir que je peux encore la tenir contre peux encore ĂȘtre lĂ  pour toi, qui sait ce que nous rĂ©serve l'avenir ?Je n'ai jamais rĂȘvĂ© un futur exclusif Ă  tes cĂŽtĂ©s. Pour moi, tu Ă©tais juste un fantĂŽme-reflet, celle en qui je me reconnaissais et que j'aimais tendrement pour la belle alchimie de nos douleurs. Tu Ă©tais ce fantĂŽme passant, que je savais pouvoir retrouver et aimer de nouveau si je le souhaitais. Ce fantĂŽme qui fait sa vie tandis que je fais la aujourd'hui, justement, ma vie, ce n'est plus moi qui la fais, qui la vie n'est presque plus la si je ne la possĂšde pas moi-mĂȘme, comment pourrai-je t'en offrir des parts ?Avec larmes, haine et rĂ©signation, j'ai acceptĂ© d'abandonner mon Futur aux obligations familiales et au poids de l'argent. Il ne me reste plus grand chose. Plus grand chose que je possĂšde encore de mon grand-chose que je puisse encore t'offrir, t'aime et je ne veux pas t' vĂ©ritĂ©. Je ne t'abandonnerai. choses risquent juste d'ĂȘtre bien mĂȘme je voudrai tout t'offrir de moi, je ne le pourrai plus. Je n'ai plus de pouvoir sur rien. Alors, aujourd'hui, c'est un peu de ce rien qui me reste que je te Ă©tant venue. Pour pouvant encore te serrer contre mon en me disant queje t' mouvement brise l'aspect figĂ© de la elle tourne la tĂȘte. Un visage dĂ©fait, douloureux. Et en mĂȘme temps, je sais qu'il est plein de doigts viennent effleurer ma ne bouge pas. Me contente de la regarder de mes pupilles suis vivante,moins fantomatique que la derniĂšre fois, peut-ĂȘtre,je suis vivante, de chair et d'os, en tout cas,ne t'en fais pas pour ses mots coulent tout doucement, comme un minuscule les laisse aller, ses bras autour de mon cou, son visage contre moi, sa voix au creux de l' dernier appel de la je serai lĂ  pour te parfois du mal Ă  me soutenir moi-mĂȘme. Mais Ă©trangement, je veux tout faire pour relever les propres bras gardent leur Ă©treinte autour de son fait tellement du bien de sentir que quelqu'un est lĂ . Qu'elle est Dame Oiseau je vois aujourd'huis en plein oĂč tu es. Je serai lĂ . Pour mumure, le sais, n'est-ce pas ?Je serai toujours lĂ  pour qu'il me restera encore un peu de ce rien qu'on me laisse, tant que je peux encore t'offrir de ce rien qui m' reçu ton appel en dĂ©tresse. Et je suis finis par desserrer mon Ă©treinte et Ă©loigner un peu mon visage pour pouvoir la regarder dans les pupilles des Ă©toiles au milieu du voile de tristesse et perdition au-dessus. Pour tenir le je sais que tu sauras t'en dĂ©barrasser, de ce voile la regarde, la contemple en est belle aussi en plein jour. Elle est diffĂ©rente. Sa beautĂ© n'est plus la mĂȘme. Mais elle continue de briller encore un peu. De cette force qui attend seulement d'ĂȘtre dĂ©couverte. Cette force qui la poussera Ă  avancer. Une fois qu'elle aura pleurĂ©, explosĂ©, pose une main sur sa ne parle dans mon oeil, seulement la t'arrive-t-il ? Vanille FleurySerpentard Re Promenons-nous dans les bois...Vanille Fleury, le Dim 9 Juil - 1107 j'ai pas de musique mais la tienne est parfaite <3Comme une impression d’irrĂ©alitĂ©, peut-ĂȘtre que c'est mieux ainsisans doute la douleur serait-elle moins grande, je ne suis plus sĂ»re de rien,Ă  ses cĂŽtĂ©s le monde semble retrouver des couleur oubliĂ©es, un bonheur merveilleux qui m'enserre la gorge de sa beautĂ©, comme si mes yeux n'avaient Ă©tĂ© capable de le dĂ©celer plus tĂŽt, si simplement je n'Ă©tais pas apte, pas prĂȘte Ă  le voirmais maintenant tout est diffĂ©rent elle est lĂ  et ce n'est qu'au moment ou son visage rĂ©apparait devant mes yeux que je me rends compte Ă  quel point j'ai pu souffrir loin d'elle, je l'observe les yeux brillants d'une sensation de plĂ©nitude intense, l'impression qu'un rideau se dĂ©chiremettant les douleurs de cĂŽtĂ©s, au moins pour un instantjuste un petit temps plus qu'apaisant, elle est si proche tout en me semblant si loin, je ne sais que penser alors je fais taire ma raison, qu'importe la taille de cette folieelle ne m'a jamais Ă©tĂ© pleinement utile et j'ai l'impression que le destins se fiche de moij'ai Ă©tĂ© fantĂŽme et Ăąme brisĂ©e mais ma faiblesse ma reconduite dans d'autres bras,je me suis perdue dans cette instabilitĂ©, prĂȘte Ă  mentir et Ă  tromper, pour survire,pour avoir l'impression de tenir ma vie en main, de tout contrĂŽler alors que ce n'est pas le casque cela ne l'a sans doute jamais Ă©tĂ© pour personnepas de ce monde en tout casje sens la douce caresse d'un renouveau, elle ne m'a pas oubliĂ©e, encore moins abandonnĂ©e,j'ai presque du mal Ă  croire Ă  ma chance, ne comprenant pas ce qui la pousse Ă  me retrouverou peut-ĂȘtre comprenant trop bien et alors que tout aurait pu s'arrĂȘter, que nos chemins auraient si facilement pu se sĂ©parer, la revoilĂ  prĂšs de moi, serrant mon corps entre ses bras, comme pour prouver que tout n'est pas fini, qu'il reste encore un peu d'espoir, un peu de vieune raison de se battre, du lutter, toujours plu longtemps, mĂȘme alors que tout va malou du moins que c'est ce que l'on penseet moi je suis lĂ  Kohane, il y a un vide en moi qui ne demande qu'Ă  ĂȘtre comblĂ©non un vide banal que n'importe qui pourrait prendreta place celle qui tu t'es faite dans mon cƓur cette nuit lĂ que tu garde encore aujourd' suis plus forte qu'Ă  notre derniĂšre rencontre, plus forte et plus perdue,les secondes ont filĂ©es, pas mal de choses ont changĂ©es et pourtant je suis toujours profondĂ©ment la mĂȘme,j'imagine que pour toi c'est pareil, que le monde Ă  mainte fois Ă©tĂ© cruel, mais la douleur n'a pas changĂ©, pas toutparce qu'au fond nous sommes toujours les mĂȘme, parce qu'en nousnous ne sommes que toujours deux enfants perdues au fonds des cachots,deux Ăąmes empreintes d'une douce insomnies, d'une alchimie de douleur qui peut rendre plus forteet c'est ce que je veux ĂȘtre moiplus fortepour toi, peut-ĂȘtre aussi pour moi, qu'importe, les DĂ©mons plus jamais ne m'auronts'il faut je deviendrais plus redoutable, froide, distante, s'il faut je me battrais, regarderais leur sang couler sans le moindre remord, les regrets n'ont plus le loisir d'exister dans l'obscuremais malgrĂ© cela, je garderais mon cƓur, je ne veux pas ĂȘtre une machine,je veux garder une place pour toi, juste ici, en moi,parce que je te sens prĂ©sente, tu sais, depuis cette nuit tu m'alimentes,la douleur de l'absence ne me fait que trouver nos retrouvailles encore plus merveilleuseset pourtant rien n'a changĂ©, nous sommes toujours lĂ ,l'une pour l'autre mĂȘme si ça aurait pu sembler impossiblepuis tes paroles explosent, comme une saveur sous ma langue,et je veux crier, que je t'aime, plus fort, plus loin que je ne l'aurais cru possiblecomment peux-tu donc ĂȘtre comme ça Kohane, comment parviens-tu Ă  me faire ça ? en un claquement de doigts tu rends les couleurs Ă  mon Ăąme, tu parviens Ă  me rendre ce que j'ai failli dĂ©truire,tes mots volent jusqu'Ă  moi et percutent mon cƓur avec une douceur infinieles larmes veulent couler mais je les retiens,je ne permettrais pas cela, pas aujourd'hui, je veux juste ĂȘtre heureuse, de ta prĂ©sence, fĂȘter ton retour du mieux que je peux, ouvrant mon cƓur Ă  la joie de te sentir de nouveau prĂšs de moiet je voudrais pouvoir te parler, formuler ce que je n'ai pas pu Ă©criremais j'ai du mal, je n'y arrive pas, cruelle injustice de ce monde qui me bloque la gorgeje veux pester, rĂąler mais tout dĂ©borde bien trop d'inutilitĂ©alors je me perds dans ses yeux parce que tu m'as manquĂ©comme une simple justification, qui n'aurais pas vraiment sa placemais la voix est enfantine, le cerveau ne rĂ©sonne plus contact de sa main contre ma joue, je ferme un instant les yeux, parce que ça fait tant de bienque j'avais presque oubliĂ© cette sensation, ses doigts comme les ailes d'un papillon, dĂ©licats et protecteursje ne veux plus rĂ©flĂ©chir Ă  quoi que ce soit, pas maintenant, pas aujourd'hui,juste ĂȘtre, avec elle et pour elleme perdre et m'oublier, mes ses yeux interrogateur me demande,pas comme un ordre mais une invitation, un acte de prĂ©sence, me dire qu'elle est lĂ  et que je peux parler,mais dois-je donc vraiment Ă©voquer Kalsi ? Ne serai-ce donc pas un peu dĂ©placĂ© ?mais j'ai confiance en elle, plus qu'en n'importe qui, cette relation tissĂ©e entre nous est si uniqueque je doute qu'elle puisse laisser de la place Ă  une jalousie stupidej'ai Ă©tĂ© amoureuse soupir, comme une simple rĂ©signation, oui je suis retombĂ©e,dans les bras d'un homme qui plus est, je me suis blessĂ©e et brĂ»lĂ©e vive, par ma faute et non la siennemais une diablesse Ă  jouĂ© avec moi, elle m'a ensorcelĂ©e de son corps, me rendant dĂ©pendante Ă  ellej'ai tentĂ© de lutter puis j'ai pris goĂ»t au jeu et quand il nous a surpris je...une hĂ©sitation, j'ai mal d'Ă©voquer ces jours de douleur, fuyant son regard pour dĂ©poser ma tĂȘte contre son Ă©paule,la sentir prĂšs de moi et puisse une force dans sa prĂ©senceje me suis rendue compte du mal que mon instabilitĂ© allait lui faire,j'ai prĂ©fĂ©rĂ© mentir, lui dire que je ne l'avais jamais aimĂ©, j'ai prĂ©fĂ©rĂ© le laisser partir...je fini dans un souffle, serrant mes bras autour d'ellecomme pour me raccrocher Ă  quelque chose, lui dire que je l'aime aprĂšs çamais je l'aime... un simple murmure, je retrouve les yeux de mon Ăąme jumelle, fermant soudain les paupiĂšres pour un geste inconsidĂ©rĂ©, mes lĂšvres se posent dĂ©licatement sur les siennestendre baiser sans doute interdit, je ne veux plus la lĂącher, ma main passe doucement dans ses mĂšches foncĂ©es,comme si je pouvais rester ici Ă  jamais. Kohane W. UnderlindenMDJ-GestionnaireHarryPotter2005 Re Promenons-nous dans les bois...Kohane W. Underlinden, le Dim 30 Juil - 2250 MusiqueJe ne sais comment j'avais rĂȘvĂ© ces fait, je ne les avais peut-ĂȘtre pas ne les avais pas que je ne voulais plus te je ne me projetais pas. Pas avec vivais au jour le jour en sachant qu'un jour, tu me reviendrais, je te reviendrais, nous nous ce jour,C'est aujourd' es lĂ . Si prĂšs de mieux ni moins bien. Juste. Equilibre parfait. Tu es parfaite. Dans ces teintes d'ombre-lumiĂšre sous les arbres. MĂȘme ton air attristĂ© et sombre s'accorde avec l'aspect sans tĂąche de ces retrouvailles. Je te contemple. Et te trouve plus belle que toujours quand j'arrive pour te rattraper que je te trouve toujours quand tu te tournes vers moi, quand tu as besoin de moi, quand tes bras se tendent vers moi que je te trouve Ă©clatante. Alors mĂȘme que tes yeux pourraient ĂȘtre sombres, voile de larmes sur le globe tu es belle comme regardSon regardL'un perdu dans l'autreL'autre entremĂȘlĂ© dans l'unEt on se retrouve. Et je sais que, mĂȘme si je ne me faisais aucun projet, aucun rĂȘve sur cet instant-lĂ , je l'attendais avec impatience depuis toujours. Depuis qu'on s'est quittĂ©es dans les cachots. Depuis que je l'ai dĂ©couverte fantĂŽme, que j'ai aimĂ© sa douleur, que j'ai aimĂ© sa personne. Depuis que j'ai fait un pas vers elle, elle vers n'en avais pas pris c'est suis si heureuse qu'elle soit m'as prononce ces mots alors mĂȘme qu'ils me traversent l' les sort alors mĂȘme que mes lĂšvres voulaient les a Ă©tĂ© la plus nos cƓurs Ă©taient accordĂ©s en au mĂȘme rythme doux. Pour un sentiment prononcĂ© Ă  la forĂȘt, venu du fond de la gorge, simple elle est si proche de doit l'avoir doit l'avoir qu'elle lit en moi. Et que les mots sont sait,peut-ĂȘtre,Que j'ai pensĂ© Ă  elle quand elle n'Ă©tait pas lĂ , que j'ai continuĂ© de l'aimer quand elle n'Ă©tait pas lĂ , qu'inconsciemment, j'ai espĂ©rĂ© la revoir alors qu'elle n'Ă©tait pas la vois fermer doucement les volets s'abattent sur les main figĂ©e sur sa sens sa peau chaude sous mes doigts. Y'a le sang qui circule dans son corps, pulse dans les veines, la font vivre alors qu'on pourrait la croire fantĂŽme. Y'a le sang qui coule et sais qu'elle est bien sur les fil des rĂ©vĂ©lations, j'attends. Je n'ose pas encore esquisser un pas, un peu malhabile ou maladroite dans ma discipline. J'attends seulement. Qu'elle doit donner le signal du enfin, ses mots. Disent. Sortent de la l'Ă©coute sans tĂȘte vient trouver refuge sur mon Ă©paule. Comme si elle ne parvenait plus Ă  affronter mon regard. Ou le voile des souvenirs se dressant entre elle et son cƓur. En peine. PiĂ©gĂ©. TourmentĂ©. a ressens son amertume. La douleur provoquĂ©e par l'autre. Y'a pas de nom. Y'a seulement le qualificatif. La diablesse. Qui s'est ri de tout cela. A saisi au vol le cƓur trop brĂ»lant d'amour. Pour se jouer de lui. L'ensorceler et provoquer sa son tĂȘte posĂ©e contre mon effectif ma main sur ses et souffle toujours plus finir sur la terrible je l'aime...Je sens mon cƓur se serrer. A ces derniers mots. Non pas une pointe de jalousie. Mais des souvenirs aussi, j'aurais pu dire je l'aimeEt pourtant, je l'ai que je l' y'a longtemps. Mais ça reste comme une plaie jamais cicatrisĂ©e. C'est si dur. D'abandonner volontairement ce que l'on au bout des lĂšvres, le couteau dans le connais tout en se disant qu'on soudain, me tirant de mes rĂ©flexions, je sens ses lĂšvres chaudes contre les de baiser. Tendre et si longtemps refoulĂ©. Le baiser au milieu de nulle part, une bulle rien qu'Ă  nous avec, Ă  l'occasion, quelques arbres autour. Mais c'est surtout nous, notre bulle qui m' j'accueille. Que je rends. Sa main qui vient se mĂȘler Ă  mes mĂšches. J'ai l'impression qu'Ă  nouveau, la terre tourne. Alors qu'elle est lĂ . Si prĂšs de moi. Ses lĂšvres contre les miennes. On est deux. A valser dans l'univers. Instant-temps Ă©ternel. La scĂšne pourrait se figer. Elle resterait Ă©ternellement contre moi. Sa main dans mes cheveux. .........Tout s'est arrĂȘtĂ©...........Et pourtant, nos cƓurs continuent de battre dans nos de l'un Ă  l' tape et amitiĂ©-amoureuse, deux oiseaux perdus qui s'aiment pour l'alchimie de leur douleur. Mais peut-ĂȘtre pour quelque chose de plus aussi...Finalement, par la force des choses, je finis par rompre ce baiser de larmes, d'amertume et de un peu mon visage. La pourrais te redonner espoir. Essayer. Essuyer tes larmes. Te tenir la main. Te soutenir. Je sais que tu as besoin de vais faire de mon toujours terrible de partir, laisser partir alors qu'on ses Ă©paules de mes garde serrĂ©e contre yeux se perdent sur le de sommes regrettes ? Si tel est le cas, tu as encore la possibilitĂ© de faire marche arriĂšre. Ou plutĂŽt de courir aprĂšs ce que tu as abandonnĂ©. Il n'est peut-ĂȘtre pas trop tard. Il te suffit seulement de te lancer. Et courir sans t'arrĂȘter. Jusqu'Ă  l'avoir rattrapĂ©. Il n'y a que toi qui puisse dĂ©cider de le faire ou pas. Si tu ne te lances pas dans cette course, il te faudra alors faire le deuil de cet amour. C'est possible. Mais c'est voix se brise un peu sur les derniers contre les rĂ©cifs. Qui se jettent et ne l'Ă©branlent Ă©clatent en mille et une gouttelettes, autant de larmes que j'aurais pu verser moi aussi par amour. Stupide sentiment. Pourquoi faut-il que cela fasse si mal ?Je ferme les yeux quelques sa douce l'affĂ»t des bruits environnants. Mais rien. Sinon sa respiration. La mienne. Mon cƓur. Dans mes m'a parlĂ©. M'a confiĂ©. Une part. Un bout. D'elle-mĂȘme. Moi aussi. Je peux faire. Un pas. Vers elle. Et sais, y'a longtemps, j'ai fais la mĂȘme chose que toi. J'ai abandonnĂ© ce que j'aimais. Mais je ne me suis pas retournĂ©e. Je n'ai pas couru aprĂšs. Ca a Ă©tĂ© si dur. Un deuil, c'est jamais facile. Je ne regrette pas mon choix. Car je sais que je ne pouvais faire autrement. Je l'aimais. Mais je devais partir. Je ne regrette pas. Je sais juste que... c'est dur. Les larmes et l'amertume qui restent au creux de la gorge. Les questions, les pourquoi Ă  la chaĂźne, les et si tout Ă©tait diffĂ©rent...Si c'est un deuil, que tu veux faire,Va falloir te prĂ©parer Ă  tout Ă©treinte se je serai sur moi. Vanille FleurySerpentard Re Promenons-nous dans les bois...Vanille Fleury, le Ven 11 AoĂ» - 2038 Musique...Nous Ă©tions bien peu de chosece matin dans la douceur d'une atmosphĂšre boisĂ©edeux enfants fuyant un monde d'illusion je restais contre toi car pour la premiĂšre fois j'avais cette impression de vivresentant ton cƓur battre en accord avec le mienalors que tes lĂšvres au goĂ»t sucrĂ© m'offraient une nouvelle saveurun peu de moi, un peu de toi, d'un nous que j’espĂ©rais retrouveret comme si rien n'avais changĂ©, depuis cette nuitce noir dans les cachots quand je t'ai vue brillante d'une beautĂ© oubliĂ©eje t'ai aimĂ©e Kohane, tu sais ? un peu trop vite peut-ĂȘtremais le temps ne comptes pluscomme il n'a jamais comptĂ© jusqu'ici alors que des mois ont passĂ©snous sommes toujours lĂ un peu plus forte que cet autre soirelle est intrigante comme si malgrĂ© l'impression de la connaĂźtre je pouvais dĂ©couvrir des milliers de chose de plus en elleet c'est sans doute le cas bien que je ne sois sans doute pas capableque je n'ai pas la subjectivitĂ© de ce temps si Ă©trangej'aimerais Ă  tout jamais rester lĂ et pourtant mon baiser prend finalors je me rend compte que pas un instant, je n'avais douter de son commencementelle aurait pu ĂȘtre pu, me repousser, me dire un simple "non"est-ce que je ne viens pas de lui avouer oĂč Ă©tait une grosse partie de mon cƓur ?peut-ĂȘtre qu'elle s'en moque, je ne sais pas, ou alors trop biencomme si au dessus de cela nous ne pouvions Ă©prouver jalousieun simple bonheur de voir l'autre heureuse comme de l'ĂȘtre ensemblej'Ă©tais comblĂ©e de ce partage que l'on aurait pu penser impossiblemais qui pourtant vivrait en nous sans le moindre complexe avec toi Kohane, toutes les convenances se voient chamboulĂ©eselle me parle, ses bras m'entourent je suis... bienjuste comme ça sans avoir besoin d'autre choseelle et doucement ses paroles s'offrant Ă  moicomme un torrent, une cascade viveque doucement je remonte jusqu'Ă  son Ăąmepour y dĂ©couvrir une autre histoireun passĂ© semblable Ă  mon prĂ©sent il ne me reste qu'un choixme retourner ou fermer les yeuxet je doute pouvoir le faire, j'ai peurde passer Ă  cĂŽtĂ© du bonheur comme de forcer quelque chose de dĂ©jĂ  mortcomment savoir sans essayer ?me voilĂ  perdue entre deux possibilitĂ©sincapable de dĂ©cider quel chemin emprunter si seulement je pouvais me perdre, Kohanedans ton Ă©treinte, tes bras rassurants qui me tiennent chaudslĂ  si prĂšs de mon cƓur allumĂ© qui bat alors qu'il se devrait sans doute Ă©teint j'ai peur de me retrouver seule une fois que tu ne sera plus lĂ tu sais, les couleur sont tellement plus belle Ă  cĂŽtĂ© de toiune vie qui se veux paraitre moins difficile pour me laisser un temps de rĂ©pit, un temps avec toitu es si belle, je suis incapable de comprendre pourquoi tu restes encore prĂšs de moimais je te vois brillante Ă  cĂŽtĂ© de mon Ăąme salie, tu scintilles d'un aura presque magiqueune merveilleuse symphonie que j'entends rĂ©sonner Ă  mes oreillesje voudrait te demander, Kohane, comment on fait pour ĂȘtre toi ?Alors que se tais la douceur de sa voix vibrante d'une Ă©motion qui me traverseparce que chacun de ses mots ont un sens, toutes ses phrases vibrent de vĂ©ritĂ© Ă  mes yeuxje sais, je vois, sa douleur qui pourrais ĂȘtre la mienneson passĂ© dans mon futur et nos destins liĂ© pur hasard ? un soupçon de magie... dans ce monde qui perd un peu de grisun peu de silence, avant qu'elle ne reprenneallumant mes yeux, mon cƓur, cette amour tendre que je lui porteune promesse diffĂ©rente de celle qu'offre les amours innocentspuis ce que je sais qu'elle la tiendra, que c'est grĂące Ă  elle, qu'encore mon cƓur batparce que j'ose compter sur toi, j'en ai besoin aussiet un regard vers le ciel, l'attente que les mots viennent Ă  moij'ai peur, maladroite, mais je sais qu'avec elle il n'y a pas de place Ă  la gĂšne les craintes s'envolent une Ă  une au rythme de ma respirationaccepter l'idĂ©e d'un nous, si belle promesseje ne veux pas le laisser fuir, j'en suis incapablele bonheur s'est arrĂȘtĂ© trop tĂŽt, je veux le retrouvermais je me vois comme un monstre, j'ai peur de lui faire malcomme Ă  toi Kohane, mais pourtant tout est si diffĂ©rentque se passe t-il donc entre nous ? pourquoi ne fuis-tu donc pas ?le voix se brise, persuadĂ©e d'avoir raisonpresque prĂȘte Ă  la voir partir alors mĂȘme que l'idĂ©e me semble si irrĂ©alisable et attachĂ©e tu sais qu'elle non plus tu ne saurais la laisser fuircomme Peter auquel tu es toujours attachĂ©ealors qu'il vaudrait sans doute mieux laisser partiril n'y a pas assez de place dans un cƓur pour y placertant de personnedu moins je crois, mais ne suis plus sĂ»re de rien Ă  prĂ©sentseulement d'une chosesi mon cƓur bat encore c'est sans doute grĂące Ă  toi. Kohane W. UnderlindenMDJ-GestionnaireHarryPotter2005 Re Promenons-nous dans les bois...Kohane W. Underlinden, le Lun 4 Sep - 2325 MusiqueLa prĂ©sence douce Ă  cĂŽtĂ© de est tout Ă  la fois aujourd'hui. Calme et paniquĂ©e, douce et violente comme une mer dĂ©chaĂźnĂ©e Ă  l'intĂ©rieure de son cƓur, ici et lĂ -bas. Elle ne sait plus oĂč elle est. Et moi, j'aimerais lui tenir la main lui dire tu es lĂ , avec moi, tu es lĂ , ne crains aux ailes coupĂ©s qui ne peut que sautiller, sautiller en piaillant de toutes ses forces au monde. Sautiller, n'aller jamais assez vite et trop petit pour que le monde le regarde avec attention. Trop fragile pour passer seul l'hiver. Il avait trouvĂ© un sourire, il avait trouvĂ© une paume de main rĂ©confortante, il avait trouvĂ© un foyer. Et, pour une raison bien personnelle, il s'est enfuit alors mĂȘme que ses ailes coupĂ©es ne le portaient toujours pas. Il s'est enfuit ; peur de blesser l'autre. Et c'est vers moi qu'il se tourne. Je pourrais te recueillir au creux de ma main, charmant oiseau blessĂ© de vie. Mais me fuiras-tu moi aussi ? Sautilleras-tu loin de moi, par peur de... peur d'un je-ne-sais-quoi ?Je ne veux pas que tu alors, si tu dois t'en aller, je veux pouvoir espĂ©rer que tu n'en ai jamais douter, je dois toujours fait confiance au Destin sur ce plan-lĂ . Je savais que tu reviendrais -ou que je aujourd'hui, cette promesse tient-elle toujours ?Lorsque nous nous sĂ©parerons tout Ă  l'heure, ta prĂ©sence sera-t-elle encore lĂ , dans l'atmosphĂšre, dans cette bulle qui m'entoure et m'enveloppe ? Ta prĂ©sence invisible sera-t-elle promesse de futures retrouvailles ?Je ne l'ai jamais rĂ©alisĂ©. Mais je crois. Que tu m'as perdu, oiseau sans te porterai dans l'hiver, Ă  travers le froid et la neige. Je te rĂ©chaufferai sous le givre. J'Ă©clairerai la nuit lorsqu'elle sera trop noire. Je soignerai tes plaies, panserai tes blessures. Mais, s'il-te-plaĂźt, moi, au moins, ne me fuis sais, non, en fait, tu ne sais pas, mais tu es apparue dans ma vie Ă  un moment trouble. Un moment oĂč plus rien n'allait. Un moment oĂč j'Ă©tais perdue. Comme nous Ă©tions Ă©garĂ©es dans les cachots. Une ombre qui se cherche et qui en trouve une es apparue dans ma vie Ă  un moment oĂč j'avais besoin de moment oĂč je vacillais, mes appuis se dĂ©litaient sous appuis Ă©taient si peu solides. S'Ă©vaporant dans la perdais Rachel, je me perdais moi, je perdais ma famille parfaite et rĂȘvĂ©e. ConfrontĂ©e subitement au dur monde adulte, un monde duquel j'Ă©tais Ă©pargnĂ©e jusque lĂ . Je tanguais et titubais dans le il y a eu les mains qui m'ont un peu rattrapĂ©e. Les prĂ©sences que je n'attendais pas et qui, pourtant, Ă©taient lĂ , solides, indĂ©fectibles. Il y a eu AsclĂ©pius. Puis il y a eu toi, Ellana, sƓur de douleur, belle Ăąme, bien aimĂ©e. Tu es apparue Ă  un moment oĂč les sentiment se faisaient la malle. Un moment oĂč plus rien ne m' en te voyant, fantĂŽme de la nuit, j'ai mon cƓur m'appartenait quoi qu'en dise les autres. MĂȘme si les autres tentent de le mĂȘler Ă  de foutus combines, d'histoires de titres et d'argent. Il ne l'auront pas. te voyant, j'ai si ma vie ne m'appartenait plus, mon cƓur, lui, resterait Ă  jamais en ma t'ai t'ai aimĂ©e. Je t'ai m'as tant appris !Et lĂ , aujourd'hui, tu me dis que tu as peur. De faire tu me demandes pourquoiPourquoi toi, moi, se passe alchimie des douleurs qui va bien au-delĂ  de la simple compassion ou de la simple familiaritĂ©. Alchimie des douleurs qui en vient Ă  crĂ©er quelque chose de nouveau. Quelque chose de plus beau. Bien au-delĂ  de la douleur. Qui contrebalance mĂȘme cette dĂ©chirure de l'Ăąme au couteau tendresse que je trouve chez toi. Dans ton me rappelle que le cƓur bat toujours un peu pour les affection que nous partageons sans t'aimeEt je sais dĂ©sormais que je peux t'aimer comme en aimer d'autre sans culpabilitĂ©. Car mon cƓur m'appartient. Il n'appartient Ă  personne d'autre. Pas mĂȘme Ă  toi, en fait. Pas entiĂšrement, du moins. Tu en dĂ©tiens une partie. Comme moi je dois possĂ©der une part du tien. Mais jamais dans sa vogues vers d'autres horizons, d'autres visages. Sans fais de c'est comme ça qu'on s' chacune Ă  voler dans l'hiver et se retrouver au sens sa voix se briser sur les derniers vague heurte le en mille et une gouttes qui s' sens ta peur, peut-ĂȘtre regrets te dire de courir, jusqu'Ă  t'Ă©puiser, courir aprĂšs les regrets pour les rattraper, les empĂȘcher de cavaler davantage. Choppe-les au vol ! Tords leur le trop dur de vivre avec des trop dur. De tourner la page vie est rendue lourde. Elle avance si lentement !Tu ne peux pas dire que tu aimerais cela et faire l' tellement terrible de vivre en sachant qu'on aurait dĂ» faire cela mais qu'en pleine connaissance de cause, on a choisi le chemin opposĂ©. Sans jamais rien y lĂšve les yeux vers la cime des bouffĂ©e d'air forestier rentre dans mes me sens si bien. Ici. Avec aurais-je peur ?J'ai surtout peur que cette belle promesse d'une relation en fil de funambule ne tienne pas. Peur qu'elle casse sous notre poids. Que toi, moi ou nous la brisions d'un coup de ciseau involontaire. Peur qu'Ă  nouveau, tout se fasse la sais, aujourd'hui, tu es, dans mon monde, une des seules choses stables qui me m'accroche Ă  toi comme Ă  un dernier point de repĂšre. Phare sur cette mer trop agitĂ©e qu'est ma ne fuis pas parce que je n'ai aucune raison de fuir, je rĂ©ponds en baissant de nouveau les yeux sur elle. Je ne fuis pas parce que je sais que tu n'es pas un monstre. Tu as seulement du mal Ă  t'accepter. Avec tes parts d'ombre et de lumiĂšre. Pourtant, on est tous comme ça. A la fois noir et blanc. Un coup noir un coup blanc. Et il faut l'assumer, parvenir, d'abord, Ă  l'accepter soi-mĂȘme pour ensuite parvenir Ă  contrĂŽler tout ça, apprivoiser ses dĂ©mons et se faire accepter des tends le bras, prends sa main dans la mienne, la tiens et la garde de sa peau contre la que c'est je t'aime comme ça, Ă  la fois ombre et lumiĂšre, fantĂŽme et humaine. A prĂ©sent, il faut que tu parviennes toi aussi Ă  t'aimer si tu refuses de le laisser partir, lui, alors tu n'as pas le choix. Cours. A moins que tu ne sois prĂȘte Ă  vivre avec un Ă©ternel poids de regret sur les yeux se perdent dans ses la secondes. dois rĂ©apprendre Ă  voler, oiseau blessĂ©. Ne laisse pas les lames plus profondĂ©ment plantĂ©es en toi. Retire-les comme on retire une grosse Ă©charde. Et peut-ĂȘtre que la premiĂšre Ă©tape pour pouvoir les retirer, c'est te mettre Ă  je lĂąche sa corps se me mets Ă  la aux cette position si fiĂšre et position que j'aime parce que je refuse dĂ©sormais de mordre de nouveau la poussiĂšre. BlessĂ©e sans rien pouvoir lui tends la main. Pour qu'elle s'en saisisse de nouveau. Et la premiĂšre Ă©tape pour voler, c'est d'arrĂȘter d'ĂȘtre au sol. Vanille FleurySerpentard Re Promenons-nous dans les bois...Vanille Fleury, le Sam 30 Sep - 1026 MusiqueDĂ©solĂ©e pour le retard Mes yeux ont tant croisĂ©, des millions d'Ă©toiles, de regard offerts, jetĂ© Ă  la sur chaque ĂȘtre j'ai posĂ©, un nom, un souffle, comme mes yeux pouvaient les voir, les aimer, fĂ©e, ange ou papillon. Et je n'ai pas rĂ©ussit, Ă  la dĂ©crire en un mot, lui faire trouver sa place dans une unique appellation, parce qu'elle est trop, juste parfaitement tout - soupir - l'odeur douce des bois qui flotte en une ronde autour de moi, et cette fois je suis battements d'un cƓur perdu qui se demande encore pourquoi il ne parviens pas Ă  rester de marbre, fissurĂ© Ă  tant d'endroit, de coups des autre, de coups de moi. S'oublier Ă  trop se voiler la face, je ne sais lus qui je suis rĂ©ellement, les masques tombent et avec elle je redeviens une enfant. Cette amitiĂ© amoureuse qui consume ma peur, entre tes bras je n'ai jamais y a une Ă©tincelle dans ton douce passerelle qui me fait passer de l'autre cĂŽtĂ© du dans cette forĂȘt, hors du temps, loin des le silence d'un toi, pour nous, je vis... Je vois, au fur et Ă  mesure que te paroles viennent rĂ©sonner contre mes tympans, la beautĂ© du trĂ©sor que tu caches comme une perle Ă  l'intĂ©rieur de toi. Alors que dans tes cernes je peux voir, la douleur de ton existence qui pĂšse de plus en plus sur tes Ă©paules, pourtant tu t'envoles encore plus lĂ©gĂšre qu'avant. Je ne sais comment tu fais Kohane, explique-moi s'il te plait... La vie, la peur, l’oubli. Je voudrait ĂȘtre aussi forte, relever la tĂȘte et me battre, tu penses que c'est possible ? Alors que mes doigts frĂȘles trembles autant que mon sourire ? J'ai envie de voler, avec toi, contre toi, m'oublier un peu plus dans cette douceur que tu poses tout contre ma douleur, changeant le sud et le nord de leurs places respectives, me perdant pour mieux me brille. Mes yeux contemplent sans se lasser cette flamme qui Ă©mane de son ĂȘtre comme capable d'Ă©clairĂ© le monde tout entier. Je suis sĂ»re que mĂȘme au plus profond de l'enfer sa douce lumiĂšre resplendirait toujours, Ă  mes yeux en tous cas, j'ai perdu depuis longtemps de vue un quelqu'un but, aujourd'hui mon cƓur entier ne souhaite plus que de rester Ă  ses cĂŽtĂ©s pour encore profiter de sa chaleur, sa tendresse, son amour qu'elle parvient Ă  me donner sans long discord. Parfois les paroles sont inutiles, futiles et pourtant... Avec toi il n'y a pas besoin de parler, je peux comprendre, d'un seul regard, ce qui nous lie, la raison de ta prĂ©sence ici mais j'aime entendre ta voix qui chante une mĂ©lodie Ă  mon cƓur meurtri, croire la vĂ©ritĂ© de tes tirades qui m'emporte dans un autre monde plus doux, plus Ă  suis petite fille malade, d'une robe blanche d’hĂŽpital, un masque sur le visage. J'ai peur de lui faire du mal, peur de la contaminer mais c'est elle, qui d'un geste dĂ©licat viens dĂ©lier mes lĂšvres, m'enlevant cette protection inutile Ă  ses yeux. Je ne suis pas malade. Et si je doit mourir, si je dois m'Ă©teindre, alors je veux le faire Ă  tes cĂŽtĂ©s, sentir ton regard chargĂ© d'Ă©tincelles et m'en aller d'un dernier "je t'aime". Je veux poser une main sur ton cƓur pour le sentir battre Ă  mille Ă  l'heure, me dire que nos Ăąmes croisĂ©e on si bien fait de se trouver. Au cƓur d'un forĂȘt oĂč, tu sais, le loup Ă  tant hurler son amour Ă  la lune. Comme j'ai fait signer de l'encre aprĂšs toi pour Ă  nouveau pouvoir me perdre Ă  ta voix, te mains, ton tout. Je ne suis plus rien sans toi...C'est un rĂȘve comme posĂ© sur la rĂ©alitĂ©, l'impression de renaĂźtre alors que les aiguilles se sont ne sais plus rien, perdue dĂ©boussolĂ©e, les sentiments se battent en moi sans que je ne puisse envie, besoin aussi peut-ĂȘtre, de trouver la clef, de choisir la bonne porte et d'y entrer, ta main dans la je t'aime, comme une Ă©vidence, sans mĂ©fiance, juste une derniĂšre suis folle, peut-ĂȘtre dĂ©rangĂ©e, je ne sais trop bien. Le cƓur partagĂ© entre tant de personne et ses paroles qui doucement se collent Ă  mon Ăąme pour m'assurer qu'Ă  courir je pourrais tenter de la rattrapĂ©, se retourner, regarder en arriĂšre comme de tout façon bien incapable de faire quoi que ce soit d'autre, j'ai laissĂ© au passĂ© une partie de moi que je ne peux pas me rĂ©soudre Ă  abandonner. Une volontĂ© qui ne me permet simplement pas de baisser les bras, Ă  moins que ce soit simplement par et blanche... DĂ©sĂ©quilibre pourtant alors que je me sens une main qui me lĂąche, je perds pied, la peur de l'effondrement me prend Ă  la gorge. Non... Tomber pour mieux se relever et ses doigts vers moi se tendent alors que le soulagement se fait si puissant en moi. Sans hĂ©sitation j'attrape sa main et me remet sur mes jambes, lĂ  Ă  ses cĂŽtĂ©s je souris. Pleinement, vĂ©ritablement, les yeux brillants posĂ© dans les siens. La chaleur de sa main me maintenant en vie, fait battre mon cƓur et me soulage, je suis ! Alors un pas, un second. Les pieds posĂ© sur le sol qui cherche Ă  rĂ©apprendre Ă  marcher. Le sourire presque enfantin collĂ© au lĂšvre alors que sa main m'empĂȘche de vais y arriver, courir. Plus loin, plus vite, heureuse. Et le regard qui se fait nouveau sur les bois qui me semblent tellement plus lumineux qu'il y a quelques instants. Ensemble... Alors le souffle court, battement de cƓur irrĂ©gulier. Les jambes se mettent Ă  marcher, de plus en plus vite, jusqu’à la sensation de l'envol, se perdre et se retrouver. Ce n'est plus une fuite, une traque, juste un Ă©lan de vie vers l'infini. Et sa main toujours dans la mienne alors que comme une comĂšte je file d'Ă©toile en Ă©toile. Puis doucement un arrĂȘt, les cheveux emmĂȘler vienne se mĂȘler aux siens, je me perds dans son regard, les joues un peu rosie par la brise et un doux rire qui rĂ©sonne dans ma tĂȘte. Mes mains viennent caresser sa joue et d'une envie incontrĂŽlĂ©e, incontrĂŽlable, mes lĂšvres rejoignent les sienne pour me perdre complĂ©tement. Cet infini...[Fin du RP ] GaĂ«lle PanyellaSerdaigle Re Promenons-nous dans les bois...GaĂ«lle Panyella, le Mer 25 Oct - 1936 PV EnfantOuais comme ça, pasque j'crois que y'a un besoin Tu m'en veux pas hein ? Par contre c'paoufMusique pas obligĂ©eParce que les roulottes tournent, roulant sur la terre battue, avec leurs marchandises Parce que ça tangue, les aiguilles s'affolent, Ă  moins qu'il n'y en ai qu'une danse de la boussoleLe nord est parti au sud, empĂȘchant les neurones de s'y retrouver Au fond ça pue, nous sommes perdu dans la nature de la viePire que l'Amazonie, c'est une vĂ©ritable course folle qui est partout Et elle s'enfonce dans les bois, dans la vie, dans le puits Il n'y a plus de solutions Tout s'Ă©croule de partout, comme si on la dĂ©vorait Et elle est rapide pourtant, elle va de plus en plus vite au fil du temps qui s'Ă©couleLes arbres eux-mĂȘmes flanchent faces aux masses Aux tronçonneuses qui s'emparent de leurs vies Et malgrĂ© les appels Ă  l'aide, il y a cette solitude Elle cherche du rĂ©confortsEux-aussi Mais ils n'en trouvent pas Et alors que les couteaux s'emparent de la chair Qu'ils tentent tous de protĂ©ger Elle se voit tĂȘte dans le sol Battue Ă  coups de pieds En fixant le ciel, derniĂšre complainte sur le bout des lĂšvres J'ai envie de m'Ă©vaderLes Ă©paules les plus solides du monde finissent un moment par craquer D'abord il y a un Ă©clat dans ce verre si lisse et parfait Ensuite cela continue Un peu comme une coquille d’Ɠuf Au dĂ©part il faut taper Mais plus la carapace s’effrite, plus le reste est d'une simplicitĂ© enfantine Ă  enleverAu final il reste une trace Et on peut, oui, tout recoller, faire un puzzle, mais qu'est-ce qu'on est c~n si on croit que les traces vont partir Tout reste, quelque part, mĂȘme avec l'amnĂ©sie prĂ©coce parfois ou lointaine, l'alcool aussi Rien n'y fait, ce n'est que tout reculer, t'as beau essayer, mais ça fonctionne pas Mary en fait les frais, lĂ , titubante, enfolante, en se cognant contre les arbres Ping, pong, poufC'est compliquĂ© de garder la tĂȘte haute Une bouteille, oui, deux, elle en avait beaucoupY'a deux minutesC'Ă©tait la derniĂšreD'un Ă©lan de colĂšre, elle l'envoie valser sur un tronc voisin En s'affalant contre celui en face Puis se couche, ferme les yeux, les idĂ©es peu claires, les cheveux dans la boucheLes sanglots, la colĂšre, en venir Ă  maudire, Ă  aimer, Ă  espĂ©rer C'est fou, tout passe, les images filent, elle veut les attraperEn fait non, elle se trompe, il n'y a pas de Folie ici, entre ses doigts coulent la dĂ©raison Devenue ce qu'elle ne voulait pas Refoulant des pulsions qu'elle n'aurait jamais souhaitĂ© faire devenir rĂ©alitĂ©En se traĂźnant, elle ramasse, un de ces morceaux d'alcool brisĂ© C'est que ça fait mal Et elle hĂ©site, le tenant entre ses doigts Jouant avec Finalement c'est devenue une glace Pour observer un reflet cassĂ© Dans un morceau dĂ©capitĂ© Murmure dĂ©solĂ© ~ MĂȘme toi, j'ai rĂ©ussi Ă  te tuerD'un coup elle se prend pour la mort HĂ©site Ă  crever ses yeux HĂ©site Ă  tomber des cieux À jurer contre les dieux À manipuler les feux ardant Couper les sentiments brĂ»lants Torturer les mots chantants C'est brun, ce qui est entre ses doigts, poudreux, du sable ? Mais ça, elle le voit pas, c'est gris Bordel, ça veut pas se colorer un peuElle connait, une technique, se fracasser le frontHĂ©site, mais elle a trop mal, mal, mal AĂŻe Puis elle se relĂšve, un peu, pour continuer Tant qu'Ă  faire, elle ne voit plus, d'autres solutions, toujours continuer Mais oublie, et les morceaux s'enfoncent dans la plante de ses pieds Alors elle trace un chemin de sang IllusionnĂ© ? Malheureusement non Et alors que le rouge tĂąche le sol, se mĂ©langeant au couleurs d'automne Elle rage grogne crie Pour le coup il ne fait pas nuitIl reste quelque pas, elle sent la descente aux enfers Comme si, dans cette vaste nature il y avait des escaliers Mais HadĂšs ne se trouve pas au fin fond du chemin, Juste, rien, un vide infiniUn jour quelqu'un a dĂ©cidĂ© qu'au bout du monde on tombait Puis un autre, un imbĂ©cile, Ă  prouver qu'il n'y avait pas de finUn cercle, une sphĂšre telle est la TerreElle aimerait le trouver, lui Ce fĂącheux personnage qui s'est cru mieux que tout le monde Et mĂȘmes ceux d'avant, qui sont mortsPour les empĂȘcher de faire des dĂ©couvertes Sans se rendre compte qu'ils les avaient tous mener Ă  leur perte D'humanitĂ© ? Non, cela s'est passĂ© quelques milliers d'annĂ©es avant Mais de fin, de se dire que ouais, y'a plus rien Plus possible, plus maintenant FinalementUn, deux, trois pas Et elle se replonge entre les morts Se prenant pour un ange, battant des bras CrĂ©ant peu Ă  peu son cercueil, ici et lĂ  Vanille FleurySerpentard Re Promenons-nous dans les bois...Vanille Fleury, le Mer 25 Oct - 2023 J'faisais un certain MP et puis... C'est une pause, alors je fais ce que je veuxt'façon je fais toujours ce que je veux Tu es lĂ Au sommet__ de la folie ? Pas cette fois ci, elle plane doucement le regard vers le ciel sur une branche de vie et de perditionelle sourit, Ă©trange sensation les yeux se plissent, le cƓur vibre d'un Ă©clat nouveau et soudain elle oublie tout jusqu'Ă  son propre nom, elle a envie de tout recommencer, une page blanche un passĂ© inexistant il faut poser un dernier soupire avant de sauter dans le vide, les bras Ă©cartĂ©s, l'Ăąme battant aux oreilles d'un rythme doux depuis sa branche elle guette le monde, une main sur l'Ă©corce pour faire Ă©cho au sommeil de l'arbre qui de sa sĂšve figĂ©e lui chatouille encore dĂ©licatement les doigts, elle a les jambes repliĂ©es, sous elle dans une position Ă©voquant vaguement celle d'un oiseau, les cheveux lĂąchĂ©s dans un vent qui les ramĂšne entre ses lĂšvres sans qu'elle n'y prĂȘte la moindre attentiontrop occupĂ©e Ă  ĂȘtre simplement heureuse, c'est une voix qui lui a soufflĂ©e alors qu'en bas elle Ă©tait perdue ce matin, c'est une mĂ©lodie qui l'a prise par la main pour la guider jusqu'Ă  l'ancĂȘtre vĂ©gĂ©tal puis elle est montĂ©e, contre le tronc nouĂ©e, elle s'est accrochĂ©e, comme un cĂąlin dans un refrain, elle n'a fait qu'unses pensĂ©es ont virevoltĂ©, dansĂ© et se sont perdue dans les feuillages dĂ©plumĂ©s, elle s'est fait une couronne de feuille posĂ©e sur ses mĂšches dĂ©colorĂ©es et a attendu longtemps encore elle guette, sans savoir quoi, sans mĂȘme comprendre un quelconque pourquoi, elle est lĂ  parce qu'on lui a demandĂ© et que son cƓur a besoin de trouver une raison de battre il faut se concentrer, sur le balancement des branches que le vent fait siffler, sur les animaux qui avancent furtivement entre les bois sans penser ĂȘtre observĂ©, elle est restĂ©e une journĂ©e et une nuit puis encore quelques heures elle est devenue la forĂȘt, un de ses trĂ©sors, un de ses secrets et maintenant elle cherche le bonheur les doigts pianotent doucement sur le vieil ĂȘtre pour chasser les fourmis qui s'y sont installĂ©e, les forcer peut-ĂȘtre Ă  aller rejoindre une autre colonie qu'elle devine en bas mais celle ci sont invisible alors Ă  quoi bon elle a les pieds nus, se sont ses yeux qui le remarquent en premier en regardant au lieu d'observer parce que le dĂ©tail futile n'a pas d'importance elle n'a pas froid c'est lui qui tiens chaud encore pour un petit moment puis en bas ce sont des plaintes qui parviennent aux oreilles devenues ultra sensible Ă  force de silence, une voix qu'elle connait plus que bien, un timbre qui rĂ©veille en elle l'affection affolĂ©e qu'elle ne peut plus dĂ©verser, alors elle oublie et elle descend sous ses pieds les feuilles ne font plus de bruits, quand elle la voit de dos, elle la trouve jolie puis elle s'avance et pose ses doigts chauds et froids sur les lĂšvres de la mourante approchant son murmure de ses tympans enfin lĂ  ses doigts dans les siens quand elle la tourne vers elle comme une danse Ă  deux, une danse d'amoureux, puis elle lĂąche et recule__ observe avant de se rendre compte de son Ă©tat et ses cheveux se cachent derriĂšre ses oreilles la laissant respirer dans sa petite robe autrefois blanche aujourd'hui verte, sa peau et ses ongles sales comme ses cheveux emmĂȘlĂ©s de feuille, imprĂ©gnĂ©e de l’essence forestiĂšre comme dans un rĂȘvepeut-ĂȘtre que bientĂŽt il sera temps de se fondre dans un arbre et de fermer les yeux pour avouer tu prends le mauvais chemin et reculer d'un pas avant de tendre les doigts aux veines emplies de sĂšve viens avec moi ce sera bien, on peut dessiner demain et une mĂ©lodie qui s'Ă©chappe des lĂšvres, une musique sans paroles fredonnĂ©e sans trop savoir si la raison comprend, si la raison existe, si elle s'ignore qu'importe... GaĂ«lle PanyellaSerdaigle Re Promenons-nous dans les bois...GaĂ«lle Panyella, le Mar 31 Oct - 1729 Une infinitĂ© de pardonsDes bribes de chansonsEt un LALes traits se dessinent, sur le sol, la forme d'un corps meurtri a tendance Ă  se laisser marchanderMalheureusement loin d'ĂȘtre argile, elle s'effacera plus vite que si elle l'avait Ă©tĂ© Un peu comme sa prĂ©sence, une Ă©phĂ©mĂšre, tout le monde l'est, chaque chose, mĂȘme le soleil Si rapide, si lent, le fleuve s'Ă©coule, la vie aussi, puis on tombe Ă  cĂŽtĂ© de la plaque Certains essayent de retourner sur le radeau, les morceaux de bois sont rĂ©parables, tout commence avec un tronc Puis le monde ne s'est pas fait en un jour vous savez, alors les courageux ont tendance Ă  ĂȘtre sauvĂ©sIls s'accrochent, telles des sangsues Ă  la moindre brindille, puis les plus forts vont s'amuser Ă  piquer celle des autres Quant Ă  certains, ils s'habitueront au milieu pour finir naĂŻades Puis d'autres couleront, un peu comme elle, sur ce sol automnale Ă  attendre quelqu'un Ou une apparition Pour fuir ~ oĂč ? ~ Nul part ~ dans un lieu curieux ~ qui ne l'est pas ~ conclusion ~ ça ne sert Ă  rien ~ au final ça fait du bien ~ de se croire mourir, de s'imaginer dĂ©chĂ©ance Parce que mĂȘme quand c'est pas le cas, on se sent sans importance, puis la culpabilitĂ© c'est peut-ĂȘtre juste ne pas assumerNe plus ĂȘtre c'est ĂȘtre remarquĂ© parce que peu peuvent le prĂ©tendre, c'est juste une autre version de la mort ?Elle ne sait pas, elle veut ĂȘtre seule, dans ses/ces nuages de solitude, ouais ça existe, c'est comme çaUne morsure de soi-mĂȘme, un venin translucide qu'on ne voit pas se rĂ©pandre dans les veinesCaresse sur le bout de ses lĂšvres, envie de mordre mais reste muette, Mary s'attache Ă  ce doux contact, jamais elle n'aurait pensĂ© Ouvrir les yeux, puis voir, mais pourtant ne pas reculer, trop voilĂ©e, maintenant elle s'Ă©tonne de trouver dommage que la lame n'aie pas rĂ©ussi Ă  tourner la page de sa vie Alors elle respire, lorsque les yeux se croisent, sans s'Ă©loigner plus jamais plus envie, demande de rester avec cette petite fille Au final toutes deux ne sont qu'ombres, trop restĂ©e dans le Neverland pour pouvoir avoir envie de revenir, la tĂȘte toujours lĂ -bas, le corps complĂštement mĂ©tamorphosĂ©Elle laisse donc faire, quand les doigts se touchent, quand elle se relĂšve, n'Ă©coutant plus la raison, il y en a plus de toute façon, alors voilĂ , avec la meurtriĂšre vipĂšre, qui n'est rien d'autre aujourd'hui qu'une chimĂšre au visage d'angeEt cette promesse tentante aux odeurs allĂ©chantes dessiner demain ~ et pourquoi pas aujourd'hui ?EntremĂȘler les doigts, descendre la pente, suivie et menant, suivant et menĂ©e, on ne sait pas, au final c'est peut-ĂȘtre ce fil Invisible De la vie Qui les malmĂšne Sur la route, traçant encore et encore sur les feuilles mortes Devenant vie en nourrissant Puis les plaies s'infectent et cicatrisentEt elle serre, sur cette pression, ses serres d'aigle enfoncĂ©es dans la peau sans pour autant laisser un sillon Juste un soutient, une bouĂ©e de sauvetageSuivi d'un arrĂȘt, qui laisse percer l'espoir, avec un goĂ»t amer dans le fond de la gorgeY'a un chat pas net qui y est restĂ© enfoncĂ© Elles vont y remĂ©dier ~ Tu te souviens, du monde parfait d'eau et d'espĂ©rance ? ~Penchant la tĂȘte Ă  droite, elle voit comme image floue, de sa haine et des hĂ©sitations Tanguant sur un bateau-chaise, la serpentard Ă©tait mal, puis elle n'a fait qu'empirer avec joie et dĂ©dainAlors que l'intention Ă©tait noble Mary ramasse une brindille, la tend Ă  l'autre, avant de s'en trouver une, puis la jette dans le videL'inconnu LĂ , entre toutes ces branches Comme une promesse d’allĂ©gresse et de tendresse Comme un recule vis Ă  vis des faux-semblants et des truands ~ On voulait ĂȘtre dans ce lieu oĂč nous Ă©tions copines toutes les deux ~L'oiseau l'enfant et la chĂšvre qui s'amusent avec le crocodile, la vache et les abeilles~ Finalement j'ai un peu tout gĂąchĂ© ~Tout serait diffĂ©rent si elle n'avait pas Ă©tĂ© si faible et insignifiante lors de leur premiĂšre rencontreLa marche aux flambeaux des remords se donne une allure de ribambelleLes enfants tournoient, mains dans la mains, entre les chaises, les obstaclesNe se dĂ©faisant pas de la joie qui allume leurs visages Insignifiants, ils ne voient rien~ Tu veux ĂȘtre aveugle avec moi ? ~ Re Promenons-nous dans les bois...Contenu sponsorisĂ©, le Permission de ce forumVous pouvez Vous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum

Toutesles paroles de comptines; Comptines midi; A la claire fontaine; Mon Ăąne, mon Ăąne; Ah mon beau chĂąteau; Ah les crocodiles; Tous les midifiles comptines; Partitions comptines ; Le bon roi Dagobert; A la volette; Ah vous dirai-je maman; Lundi matin l'empereur; Toutes les partitions comptines; Ecouter et tĂ©lĂ©charger 30 comptines; Comptine : Promenons-nous dans les bois . Voici quelques rondes, jeux dansĂ©s et danses collectives Ă  mener avec des Ă©lĂšves de maternelle. Des ouvrages regroupant des rondes, des jeux chantĂ©s et des danses collectives Cette annĂ©e j’ai investi dans le premier tome jeux de doigts, rondes et jeux dansĂ©s aux Ă©ditions Retz. Le premier chapitre prĂ©sente 44 jeux de doigts, le second chapitre concerne les rondes et les jeux dansĂ©s – 61 rondes rondes simples, rondes finissant en position accroupie, rondes avec rebond et accroupi, rondes en avançant et en reculant, rondes changeant de sens, rondes tournant le dos, rondes mimĂ©es, rondes avec des enfants au milieu, rondes Ă©numĂ©ratives, rondes Ă©liminatoires, – 38 jeux dansĂ©s queues leu leu, farandoles, cortĂšges, tresses simples, tresses avec va-et-vient, jeux avec tunnel, jeux avec ponts et farandoles. L’ouvrage est accompagnĂ© des partitions qui seront utiles aux musiciens et Ă©galement d’un CD qui donne l’interprĂ©tation musicale chantĂ©e des 99 rondes et jeux dansĂ©s. Cet ouvrage propose donc une collection d’activitĂ©s sans proposition de progression petit bĂ©mol selon moi. J’apprĂ©cie tout particuliĂšrement cet ouvrage car il s’agit de rondes et jeux dansĂ©s simples et faciles Ă  mettre en place. Parfait pour les instits comme moi qui ne sont pas forcĂ©ment trĂšs Ă  l’aise avec la danse! Je vous est Ă©galement mis le lien vers le tome 2.
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Promenons-nous dans les bois LyricsPromenons-nous dans les boisPendant que le loup n'y est pasSi le loup y étaitIl nous mangerait,Mais comme il n'y est pasIl n' nous mangera pas."Loup, y es-tu?Que fais-tu?""Je mets ma chemise!"Promenons-nous dans les boisPendant que le loup n'y est pasSi le loup y étaitIl nous mangerait,Mais comme il n'y est pasIl n' nous mangera pas."Loup, y es-tu?Que fais-tu?""Je mets ma culotte!"Promenons-nous dans les boisPendant que le loup n'y est pasSi le loup y étaitIl nous mangerait,Mais comme il n'y est pasIl n' nous mangera pas."Loup, y es-tu?Que fais-tu?""Je mets mes chaussettes!"Promenons-nous dans les boisPendant que le loup n'y est pasSi le loup y étaitIl nous mangerait,Mais comme il n'y est pasIl n' nous mangera pas."Loup, y es-tu?Que fais-tu?""Je prends mon fusil! J'arrive!""Sauvons nous!"Lyrics powered by from 50 chansons et comptines pour les crÚches et maternelles LoadingYou Might Like LoadingFAQs for Promenons-nous dans les bois Promenonsnous Dans Les Bois from 50 Chansons Et Comptines Pour Les CrÚches Et Maternelles. Now, listen to all your favourite songs, along with the lyrics, only on JioSaavn.
RequiemNobodyEspĂšce Loup/louvePUF * Gloomi Messages 677Date d'inscription 06/04/2014Âge 26Ta localisation rĂ©elle Sur un petit nuage IdentitĂ© du personnageSpĂ©cialitĂ© Total des PNs 0 PNLun 22 Juin 2015 - 1255Promenons-nous dans les bois~With DaphnĂ© & LibreLune parcourait ce beau champs, noyĂ© dans des feuilles. MalgrĂ© l'Ă©tĂ©, on se croyait encore en automne ! MalgrĂ© tout, ce lieu restait magnifique. D'un coup, il sentit une odeur qui se mariait parfaitement aux senteurs automnales. Ca ne pouvait qu'ĂȘtre un loup appartenant Ă  ces lieux. Vite fait, Requiem sauta dans un buisson. Il n'avait rien Ă  faire ici. Il frotta son visage et son corps au sol, trĂšs rapidement, afin de masquer son odeur initiale. Mais, il doutait de l'efficacitĂ© du attendit un peu, et Ă©pier le lieu Ă  travers le buisson. Il diminuait le rythme de sa respiration pour essayer d'ĂȘtre le plus discret possible. Les oreilles dressaient en avant, il attendait un mouvement, quelqu'un, quelque chose.© Fiche by Gloomi DaphnĂ©NobodyEspĂšce Loup/louve Messages 578Date d'inscription 30/12/2013Âge 28IdentitĂ© du personnageSpĂ©cialitĂ© Total des PNs 0 PNLun 22 Juin 2015 - 1926Pendant que le loup n'y est pasDaphnĂ© marchait Ă  grands pas, effectuant l'une de ses rondes quotidiennes. Sa longue chevelure bleue cascadait de sa tempe et frottait presque le sol, si bien qu'elle devait garder la tĂȘte fiĂšrement dressĂ©e, sous peine de s'accrocher aux racines ou de rĂ©colter une sacrĂ©e dĂ©coration de feuilles et autres brindilles. Cela lui confĂ©rait un port trĂšs altier que ses compatriotes ne devaient considĂ©rer que comme du dĂ©dain, mais grand bien leur fasse, ça les empĂȘchait au moins de l'approcher de trop prĂšs pour l'instant. Ravie des Ă©clats que le soleil faisait jouer dans sa criniĂšre, la Sentinelle commençait nĂ©anmoins Ă  envisager de faire quelque chose pour faciliter son quotidien. Vu qu'il Ă©tait hors de question de couper, peut-ĂȘtre une tresse lui procurerait-elle le rĂ©pit nĂ©cessaire avant de trouver une solution plus viable ?Elle en Ă©tait venue Ă  imaginer comment elle pouvait arranger ça lorsque quelque chose la fit tiquer, et elle stoppa net son avancĂ©e, les sourcils froncĂ©s. Ses yeux jaunes se portĂšrent sur les environs, dĂ©taillant les moindres recoins. Une odeur suspecte flottait dans les parages, et elle Ă©tait prĂȘte Ă  parier que celui ou celle qui la portait se trouvait tapi non loin. Question d'instinct et d'habitude de veilleur... Ne dĂ©tectant rien de prime abord, elle misa sur le franc jeu, et histoire de chasser ou confirmer ses soupçons, lança bien fort d'une voix claire - Qui va lĂ  ?A savoir, une rengaine qu'elle Ă©tait trĂšs souvent rĂ©duite Ă  chanter au cours de ses patrouilles dĂšs que se profilait l'ombre ou le fumet d'un © FieryAmaryllis RequiemNobodyEspĂšce Loup/louvePUF * Gloomi Messages 677Date d'inscription 06/04/2014Âge 26Ta localisation rĂ©elle Sur un petit nuage IdentitĂ© du personnageSpĂ©cialitĂ© Total des PNs 0 PNSam 27 Juin 2015 - 1929Si le loup y Ă©tait...With DaphnĂ© & RequiemA travers son buisson, Requiem voyait une louve beige, rouge avec une chevelure violet-bleu arrivait devant sa cachette. Elle avait l'air d'humer l'air, de chercher la prĂ©sence du loup. On voyait que sur son visage, elle restait trĂšs sĂ©rieuse. Elle avait surement un rang important au sein du clan automnal. Pas Alpha en tout cas, Monsieur Ypso n'avait pas de si beaux cheveux. La femelle, encore inconnue, ouvrit la bouche et en sortit trois petits mots.Qui va lĂ  ?»Requiem ne fit aucun bruit pendant un certain temps, il ne quitta pas des yeux l'automnale. En fronçant les sourcils, il se demandait s'il devait se montrer ou pas. AprĂšs rĂ©flexion, il sortit de son buisson, avança lĂ©gĂšrement en gardant tout de mĂȘme des distances convenable entre elle et lui. Sans sourire, il se prĂ©senta. Bonjour, demoiselle. Je suis Requiem.»Il batta l'air en deux-trois coups de queue, il resta tout de mĂȘme droit, respectueux, et poli. Il ne voulait aucun mal Ă  la femelle. © Fiche by Gloomi DaphnĂ©NobodyEspĂšce Loup/louve Messages 578Date d'inscription 30/12/2013Âge 28IdentitĂ© du personnageSpĂ©cialitĂ© Total des PNs 0 PNSam 27 Juin 2015 - 2302Il te chasseraitPendant un instant, la Sentinelle fut persuadĂ©e d'avoir virĂ© complĂštement parano. La faute Ă  toutes ces rondes au cours desquelles survenait des intrus en veux-tu en voilĂ  !! Elle finissait par imaginer ne plus pouvoir faire une patrouille tranquillement... Mais c'est vrai que l'atmosphĂšre sur Four Seasons Ă©tait relativement tendue en ce moment, ce qui pouvait expliquer le bazar au niveau des transgressions de frontiĂšres. Quoi qu'il en soit, la belle finit par penser qu'elle avait dĂ» rĂȘver cette odeur Ă©trange, ou bien c'Ă©tait celle d'un animal... bizarre... Elle se redressa, et lĂącha un bref alors qu'il Ă©mergea d'un buisson, manquant de peu de lui causer une attaque. Sous le choc, elle faillit perdre le contrĂŽle de son pouvoir et se transformer en un tas de feuilles, mais elle parvint Ă  se maĂźtriser, et seules quelques pointes de ses longs cheveux subirent la mĂ©tamorphose, avant de revenir Ă  la loup en face d'elle Ă©tait grand, gris et vert, avec un petit cĂŽtĂ© punk-rebelle, et se prĂ©senta sous le nom de Requiem. Pas trĂšs avenant comme patronyme... DaphnĂ© Ă©tait mĂ©contente d'avoir Ă©tĂ© surprise, mais la politesse de son vis-Ă -vis aidant, elle dĂ©cida de ne pas l'incendier tout de suite. Ses prunelles jaunes dardĂ©es sur l'intrus, elle afficha une mine froide et un brin Hm. Puis-je savoir ce qui vous amĂšne en Automne, Requiem ?Pour une fois, c'est elle qui allait vouvoyer, tiens ! Mais avec cet air rigide et respectueux, elle se voyait mal tutoyer le loup en face d'elle. En tout cas, elle Ă©tait incapable de lui attribuer un clan d'aprĂšs son odeur, peut-ĂȘtre Ă©tait-il un neutre ?Code © FieryAmaryllis RequiemNobodyEspĂšce Loup/louvePUF * Gloomi Messages 677Date d'inscription 06/04/2014Âge 26Ta localisation rĂ©elle Sur un petit nuage IdentitĂ© du personnageSpĂ©cialitĂ© Total des PNs 0 PNMar 7 Juil 2015 - 1417Mais si le loup n'y est pas..With DaphnĂ© & RequiemDes feuilles. C'Ă©tait cela. La pointe des cheveux de la femelle Ă©taient devenues feuilles ! Mmh... Il devait s'agir de son pouvoir... Requiem trouvait ça Ă©tonnamment original, et 'mignon'. Le mĂąle sourit lĂ©gĂšrement face Ă  la rĂ©action de l'inconnue. Elle n'avait pas l'air mĂ©chante, et avait les couleurs de l'automne, ce qui la rendait sympathique Ă  regarder. Aussi poliment que le mĂąle, elle rĂ©pondit. Hm. Puis-je savoir ce qui vous amĂšne en Automne, Requiem ?»Une fois encore, le LibreLune devait se faire passer pour un neutre, oĂč, s'il le pouvait, ne rien dire sur son appartenance Ă  un certain territoire. Il souffla doucement, cherchant une rĂ©ponse, car en soi "Je me promĂšne" n'Ă©tait pas une rĂ©ponse ! Il posa son fessier au sol, et prit une lĂ©gĂšre inspiration.Voyez-vous... J'admire votre territoire. Je ne fais que passer, profiter de l'air frais, l'odeur des feuilles.. et..»Il s'arrĂȘta lĂ . Il lança un regard aux cheveux de la femelle, pour porter allusion Ă  ses derniĂšres paroles... Il sourit Ă  nouveau, et remua la queue doucement.© Fiche by Gloomi DaphnĂ©NobodyEspĂšce Loup/louve Messages 578Date d'inscription 30/12/2013Âge 28IdentitĂ© du personnageSpĂ©cialitĂ© Total des PNs 0 PNMer 22 Juil 2015 - 1508Il te chasseraitLa Sentinelle observa son vis-Ă -vis tandis que celui-ci s'asseyait. En son for intĂ©rieur, elle fut un peu irritĂ©e de le voir prendre ses aises, mais Irina lui serina une fois de plus qu'on Ă©tait pas Ă  l'armĂ©e et que tant qu'ils Ă©taient polis, les intrus pouvaient bien se permettre de s'asseoir sur le sol automnal... Retenant une grimace exaspĂ©rĂ©e in extremis, la belle simula une toux nerveuse et secoua la tĂȘte, agitant ses longues boucles bleues. Un peu d'inattention et elle aurait sorti une remarque Ă  voix haute devant cet inconnu !! Elle tremblait presque rien que de penser Ă  sa rĂ©action, et prĂ©fĂ©ra se concentrer sur sa rĂ©ponse lorsqu'il reprit la parole. Voyez-vous... J'admire votre territoire. Je ne fais que passer, profiter de l'air frais, l'odeur des feuilles.. et.. »DaphnĂ© arqua un sourcil ; le coup du "je me promĂšne, c'est trĂšs beau ici !" on lui avait dĂ©jĂ  servi de nombreuses fois, elle n'y croyait pas vraiment. En revanche, la suite des paroles de Requiem, ou plutĂŽt ce qu'il laissait entendre la rendit perplexe. IntriguĂ©e, elle regarda ses cheveux, puis fronça les sourcils, sentant la rougeur envahir son visage, dissimulĂ©e sous son masque bordeaux. A quoi pensait-il donc, assis lĂ , souriant, l'air de rien ?? Mal Ă  l'aise, la Sentinelle se racla la gorge, faisant deux trois pas sur C'est ce qu'on me dit souvent... Enfin, presque ce qu'on me dit souvent. VoilĂ  qu'elle s'emmĂȘlait les pinceaux, elle allait se tourner en ridicule ! Se ressaisissant, elle poursuivit plus fermement Ainsi, vous n'ĂȘtes venus que pour vous promener..?Comment accorder crĂ©dit Ă  ces paroles ? La belle se mĂ©fiait des beaux-parleurs, et elle ne savait trop quoi penser de son interlocuteur. Elle ne pouvait pas vraiment le chasser s'il Ă©tait neutre, bien qu'elle en ait envie, or si son but Ă©tait innocent, il pouvait se trouver ici. Comment savoir s'il ne lui mentait pas ? CampĂ©e sur ses quatre pattes, DaphnĂ© pencha lĂ©gĂšrement la tĂȘte sur le cĂŽtĂ©, plissant les Vous n'avez pas l'intention d'espionner l'Automne, de saccager le lieux, ou pire, d'abattre un de nos membres ?MĂȘme s'il en avait l'intention, il Ă©tait peu probable qu'il lui annonce tout de go que c'Ă©tait lĂ  son objectif, la Sentinelle le savait bien. Ce qui l'intĂ©ressait d'avantage que sa rĂ©ponse, c'Ă©tait sa © FieryAmaryllis RequiemNobodyEspĂšce Loup/louvePUF * Gloomi Messages 677Date d'inscription 06/04/2014Âge 26Ta localisation rĂ©elle Sur un petit nuage IdentitĂ© du personnageSpĂ©cialitĂ© Total des PNs 0 PNLun 10 AoĂ» 2015 - 1521Promenons-nous...With DaphnĂ© & s'agissait d'une veilleuse, pour sur ! Cela se voyait Ă  ses questions, Ă  ses rĂ©actions et j'en passe. Elle devait surement croire que Requiem Ă©tait neutre, comme tout le petit monde qui reniflait dĂ©sespĂ©rĂ©ment son odeur, sans reconnaĂźtre une appartenance particuliĂšre. Suite aux paroles du gros pĂ©pĂšre, la curieuse femelle bĂ©gaya et se mĂ©langea dans ses paroles... C'est ce qu'on me dit souvent... Enfin, presque ce qu'on me dit souvent. ... Ainsi, vous n'ĂȘtes venus que pour vous promener..?»Requiem, son fessier toujours collĂ© parmi les feuilles, au sol, resta trĂšs calme, les paroles hĂ©sitante de l'inconnue le faisait intĂ©rieurement rire. Il rĂ©flĂ©chissait Ă  ses futures phrases et excuses. Il n'avait alors pas le temps de rĂ©pondre, que la femelle pencha la tĂȘte sur le cĂŽtĂ©, et continua dans sa lancer Vous n'avez pas l'intention d'espionner l'Automne, de saccager le lieux, ou pire, d'abattre un de nos membres ?»Bien sur que non ! Qu'est ce qu'il se fichait de tuer un loup, d'espionner l'Automne, et de dĂ©truire ne serait-ce qu'un buisson ! Il avait bien mieux Ă  faire, soit de ... De... D'admirer les lieux ! ... Nan, plus sĂ©rieusement, de vĂ©rifiĂ© que tout va bien, juste une petite balade pour veiller sur les automnaux avant d'arriver en hiver. En effet, Requiem aimait tellement ça, voyager ! Il s'empressa de rĂ©pondre, les yeux aussi rond qu'un ballon N'ayez crainte ! S'il vous plait ! Je n'ai nullement envie de dĂ©grader quoique ce soit, ni mĂȘme de faire du mal Ă  quiconque ! J'aime voyager, j'aime les couleurs que porte chaques lieux de Four Seasons !... Et ma foi..., votre pelage Ă  vous regroupe les plus belle couleurs que je n'ai jamais vu...»Il s'inclina lĂ©gĂšrement, respectueux. Non, il ne flirtait pas, il charmait juste un peu c'est tout... Peut-ĂȘtre mĂȘme qu'il en faisait trop... Mais bon... Cette femelle n'Ă©tait pas du genre Ă  gober n'importe quoi, mĂȘme si le mĂąle pensait vraiment ce qu'il disait ! Les couleurs automnales de celle-ci, sa chaleur qu'elle apportait, sa longue chevelure synonyme de sa beautĂ©, tout cela donnaient Ă  Requiem une vague de joie et de bonne humeur ! © Fiche by Gloomi OpiumNobodyEspĂšce Loup/louve Messages 585Date d'inscription 12/08/2012Âge 27IdentitĂ© du personnageSpĂ©cialitĂ© Total des PNs 0 PNLun 14 Sep 2015 - 1214Du coup, Up ? 3 DaphnĂ©NobodyEspĂšce Loup/louve Messages 578Date d'inscription 30/12/2013Âge 28IdentitĂ© du personnageSpĂ©cialitĂ© Total des PNs 0 PNMer 16 Sep 2015 - 2353... dans ces boisSes beaux yeux ambrĂ©s observant Requiem, DaphnĂ© restait songeuse. Sa rĂ©action semblait sincĂšre, et elle pouvait Ă©ventuellement donner du crĂ©dit Ă  ses paroles. Hm, cela devait donc dire qu'elle pouvait le laisser Ă©voluer en paix, espĂ©rant qu'il n'attende pas qu'elle ait le dos tournĂ© pour mettre en Ɠuvre de nĂ©fastes plans... Elle dĂ»t reconnaĂźtre aprĂšs une remarque ironique d'Irina que la surveillance lui montait peut-ĂȘtre un peu trop Ă  la tĂȘte. Si le sĂ©rieux primait dans ses rondes, devenir paranoĂŻaque ne l'aiderait en rien pour interagir avec les divers intrus qu'elle rencontrerait. Sans non plus accorder sa confiance au premier venu, elle pourrait... disons, s'autoriser un geste en faveur du loup aux marques vertes. Cela n'avait absolument rien Ă  voir avec le compliment qu'il avait fait de son pelage, que l'on soit bien clairs lĂ -dessus !! Quoi qu'elle en pense, elle n'y Ă©tait pas indiffĂ©rente. La sentinelle Ă©tait peu habituĂ©e Ă  ce genre d'attentions et de regards, aussi elle sentit son masque de froideur se radoucir en mĂȘme temps que son regard, celui-ci se faisait lĂ©gĂšrement plus Je vois... Il y eut un silence, avant qu'elle ne poursuive. Veuillez pardonner cet excĂšs de rigueur. J'ai tendance Ă  vouloir surprotĂ©ger ces terres, et appliquer le protocole avec belle haussa lĂ©gĂšrement une Ă©paule, dĂ©tournant le regard pour dissimuler une moue gĂȘnĂ©e. Ce n'est pas comme si elle se reconnaissait un tort, elle n'avait fait que son devoir aprĂšs tout, mais le neutre n'en mĂ©ritait peut-ĂȘtre pas autant. Le monde valait certainement mieux que ce qu'elle pouvait en penser, finalement... A nouveau, l'automnale toussota, se redressant, et ses yeux couleur citron, sans l'aciditĂ© du fruit estival, vinrent effleurer la silhouette de son Si vous n'avez aucune mauvaise intention Ă  l'encontre de ces terres ou ses habitants, alors... je ne peux que vous souhaiter une belle visite en le moins qu'elle puisse faire, aprĂšs avoir cherchĂ© Ă  lui faire cracher la vĂ©ritĂ©, dĂ©sireuse de le voir disparaĂźtre de son territoire. Elle ne regrettait pas vraiment ses paroles - il valait mieux en faire plus que moins, seulement de ne pas savoir mieux s'y prendre pour repĂ©rer les nuisibles. Cela pourrait lui Ă©viter certaines crises de nerfs, Ă  l' belle se sentait gauche, debout Ă  ne savoir que faire. Peut-ĂȘtre devrait-elle reprendre sa ronde, mais curieusement, elle semblait attendre... Au fond d'elle-mĂȘme, elle avait envie d'entendre la rĂ©ponse du mĂąle avant de s'en aller. Comme si elle espĂ©rait qu'il la retiendrait... Tsss, balivernes ! Elle n'allait tout de mĂȘme pas prendre goĂ»t Ă  ces compliments, si ?!Code © FieryAmaryllis RequiemNobodyEspĂšce Loup/louvePUF * Gloomi Messages 677Date d'inscription 06/04/2014Âge 26Ta localisation rĂ©elle Sur un petit nuage IdentitĂ© du personnageSpĂ©cialitĂ© Total des PNs 0 PNLun 19 Oct 2015 - 1116Promenons-nous...With DaphnĂ© & aux paroles du mĂąle aux tĂąches vertes, la femelle semblait rĂ©flĂ©chir Ă  ce qu'elle allait faire de Requiem. Peut-ĂȘtre que grĂące au doux compliment de celui-ci, elle le laisserait continuer sa marche. Je vois... Veuillez pardonner cet excĂšs de rigueur. J'ai tendance Ă  vouloir surprotĂ©ger ces terres, et appliquer le protocole avec hargne.»La femelle tourna le regard comme pour Ă©viter celui du mĂąle. S'attendait-elle Ă  ce que Requiem se fiche d'elle ? Ce qu'il ne fit pas. Il lĂącha juste un sourire amusĂ©. Elle venait de s'excuser, et il aimait ça. Alala, il en fait tomber des femelles le pĂ©pĂšre !! HĂ©sitante, elle reposa ses yeux sur le soi-disant neutre. Lui, posa son fessier au sol et garda son sourire dĂ©diĂ© spĂ©cialement Ă  l'automnale. Si vous n'avez aucune mauvaise intention Ă  l'encontre de ces terres ou ses habitants, alors... je ne peux que vous souhaiter une belle visite en Automne.»Dressant les oreilles sur son crĂąne, Requiem remua de la queue. En soi, sa visite Ă©tait dĂ©jĂ  magnifiquement agrĂ©able, mais il savait quoi rajouter. Sans mĂȘme rĂ©flĂ©chir, le sourire maintenue sur ses babines, il ajouta Ma visite en automne serait bien plus belle si vous acceptez de rester avec moi, demoiselle.»Requiem pencha doucement la tĂȘte sur le cĂŽtĂ©, il se redressa sur ses quatre pattes et de ses yeux verts, quĂ©manda la veilleuse...© Fiche by Gloomi DaphnĂ©NobodyEspĂšce Loup/louve Messages 578Date d'inscription 30/12/2013Âge 28IdentitĂ© du personnageSpĂ©cialitĂ© Total des PNs 0 PNDim 10 Jan 2016 - 1402Promenade dans les bois automnauxDaphnĂ© & Requiem Ma visite en automne serait bien plus belle si vous acceptez de rester avec moi, demoiselle.»DaphnĂ© ne put s'empĂȘcher de redresser vivement la tĂȘte. Ses yeux ambrĂ©s, grands ouverts, fixaient avec stupeur le loup en face d'elle. Comment ? Que voulait-il dire par-lĂ  ?! C'Ă©tait bien la premiĂšre fois que quelqu'un souhaitait sa prĂ©sence... avec de tels mots... Eh bien, elle avait ce qu'elle voulait, non ? Il l'avait une nouvelle fois complimentĂ©e, et voilĂ  Ă  prĂ©sent qu'elle dĂ©tournait le regard, empreinte d'une pudeur touchante. Elle avait l'impression que son visage Ă©tait en feu, mais si la couleur cramoisie de sa peau Ă©tait dissimulĂ©e sous son masque bordeaux, ses yeux exprimaient clairement son trouble. Est-ce que c'est un rendez-vous ??Stop. Du calme. Depuis quand se laissait-elle aller Ă  accepter de frĂ©quenter n'importe qui, sur des belles paroles ? Elle avait du mal Ă  se reconnaĂźtre ! Qu'avait ce loup qui le diffĂ©renciait des autres ? En apparence, rien, seulement qu'il s'Ă©tait montrĂ© courtois dĂšs le dĂ©but de leur conversation. Tandis que tout autre loup de sa connaissance se serait dĂ©jĂ  approchĂ©, un sourire narquois aux lĂšvres, aprĂšs avoir ricanĂ© avec sa meute de copains dĂ©biles. Requiem semblait diffĂ©rent. Plus mature, peut-ĂȘtre ? Quoi qu'il en soit, elle devait tout de mĂȘme rester sur ses Vous me belle expira calmement et releva la tĂȘte, plongeant ses yeux clairs sur le mĂąle. Elle avait retrouvĂ© ses esprits ; rien ne l'empĂȘchait de profiter encore un peu de la compagnie du neutre - entendre des compliments Ă©tait vraiment plaisant en fait - mais elle ne devait pas se laisser aller Ă  succomber Ă  son charme. Il Ă©tait sĂ©duisant, certes, debout en face d'elle avec ce sourire charmeur. Mais elle avait un devoir Ă  accomplir, et il passait devant Mais si cela vous tente vraiment, que diriez-vous de m'accompagner dans le reste de ma ronde ?A proposer une telle chose si calmement, elle avait presque du mal Ă  se reconnaĂźtre ! Pourtant, sa voix n'avait pas tremblĂ©, ni faussĂ©, elle Ă©tait restĂ©e Ă©gale. Et son regard n'avait pas cillĂ©. OĂč diable puisait-elle une telle assurance, alors qu'elle Ă©tait effarouchĂ©e un instant avant ??© AnimaDaph' KumaOmĂ©gaEspĂšce Loup/louvePUF * Jihyeon Messages 661Date d'inscription 31/10/2013Âge 25IdentitĂ© du personnageSpĂ©cialitĂ© EducateurTotal des PNs 0 PNMer 2 Mar 2016 - 1029» Up ! LaylaNobodyEspĂšce Loup/louvePUF * Lay' Messages 482Date d'inscription 19/02/2015Âge 22Ta localisation rĂ©elle Bretagne !IdentitĂ© du personnageSpĂ©cialitĂ© Total des PNs 0 PNDim 29 Mai 2016 - 1214 » Up ! Contenu sponsorisĂ©
ComptinecĂ©lĂšbre " Loup y es-tu? " est une chansonnette qu'on chante souvent pour les jeux de cache-cache. Avant de fuir le loup, les enfants chantent en ronde et apprennent le nom de diffĂ©rents vĂȘtements pendant qu'il s'habille. D'ailleurs, on peut rajouter autant d'Ă©lĂ©ments qu'on veut. Loup y es tu ? (une variante de Promenons-nous dans
Prom'nons-nous dans les bois Pendant que le loup n'y est pas. Si le loup y était, Il nous mangerait. Mais comme il n'y est pas, Il nous mang'ra pas. Loup, y es-tu ? Que fais-tu ? le loup Je mets mes lunettes. REFRAIN le loup Je mets ma chemise. REFRAIN le loup Je mets ma culotte ! REFRAIN le loup Je mets ma veste ! REFRAIN le loup Je mets mes chaussettes ! REFRAIN le loup Je mets mes bottes ! REFRAIN le loup Je prends mon fusil ! REFRAIN le loup J'arrive !, Mes plus belles chansons, ill. Mathilde Lebeau, Millepages
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